ION + (they got friends on the other side.)

• l'eau chaude coule sur ta peau caramel, et tu laisses échapper un son de satisfaction, proche du ronronnement. tu adores l'eau chaude. c'est bien pour toi, c'est une catastrophe pour les autres. tu as attaché tes cheveux pour ne pas les mouiller, tu les as lavés hier, ils sont parfaitement propres. l'odeur du savon envahit par vagues langoureuses et délicates la salle de bains et tu souris. tu te rinces et tu sors. le miroir au-dessus du lavabo te renvoie le reflet de ton corps sublime. les marques des coups se sont presque résorbées, à part pour quelques unes. tu as toujours mal aux côtes, mais tu n'as pas eu le temps d'aller voir ton médecin. il faudra bien que tu le fasses, des fois que ce soit un truc un peu plus grave que juste quelques ecchymoses. mais tu satisfaire avec la douleur. t'as bien réussi à danser avec les pieds en sang et un ongle dans un état absolument indescriptible. t'avais fini par l'enlever et ça t'avait fait moins mal ainsi. toi et ton foutu entêtement à réussir certains pas sur pointes. t'avais trop forcé. pas très étonnant venant de ta part de toute façon. tu enfiles tes sous-vêtements, noirs en dentelle. sobres et pas trop provocants, juste ce qu'il faut. tu fais pas le tapin, tu vas voir un ami. tu sors de la pièce et va dans ta chambre. les gars vaquent à leurs occupations, y a que mercure qui est parti bosser déjà. tu fouilles dans ta garde-robe, et tu en sors deux. tu compares, tu essaies d'imaginer laquelle t'ira le mieux. incapable de te décider, tu finis par aller demander à tes aînés. tu leurs tends les deux cintres. « la rouge ou la noire ? » « la rouge. même si elle fait un peu pute, la noire fait un peu trop enterrement. 'fin, on suppose que tu vas coucher avec la personne ? » tu lèves les yeux au ciel, avec un sourire amusé. s'ils savaient ce que tu mettais, pour faire 'un peu pute'. mais tu ne réponds pas, parce qu'en fait, t'en sais rien. l'avenir vous le dira, si vous couchez ensemble.
• tu sais très bien quel bateau c'est. tu sais même où il est amarré, c'est pas la première fois que tu montes dedans. est-ce que vous allez rester dans le port où est-ce que vous allez vous balader, t'en sais rien. tu verras avec lui, ou bien les cartes décideront pour vous. tu aimes bien tout ça. le fait de s'en remettre au hasard. tes journées sont trop monotones pour que tu n'apprécies pas. tu sais qu'il ne va pas forcément te sauter dessus, à peine entrée. et puis vous discutez, en même temps qu'il t'apprend les significations de chaque tirage. il est loin d'être bête et puis il a de l'humour. quand tu penses que tout a commencé avec un stupide pari. te voyant embrasser une fille, ils en avaient déduit que tu étais lesbienne. eh bien, que d'intelligence au sein de cette petite bande. tu retires tes talons avant de monter, perdant quinze centimètres d'un coup. ça c'est quelque chose qui te déplaît, avec les bateaux de ce genre, c'est qu'il fallait retirer ses chaussures. et du coup, ce crétin était plus grand que toi. c'est que sans tes échasses, t'es pas du genre grande asperge, toi. juste ce qu'il faut pour faire de la danse, et encore, t'as failli ne pas être prise à cause de ça. tu rentres et tu le vois. il s'est même pas levé le bougre. alors, toi, tu prends ton air un peu hautain, dans le genre princesse. tu le snobb complètement, pour aller t'asseoir en face de lui, croisant les jambes, et posant tes escarpins à côté de toi. « on se lève pas pour m'accueillir à bras ouverts, honoré de ma magnifique présence ? »

t'entends des pas, t'entends quelqu'un qui arrive, tu bouges pas, tu te lèves pas de la banquette de ton bateau, non. ce doit être valentin, ou peut-être même timéo. c'est pas loreleï c'est sûr, puisqu'elle ne veut pas s'approcher de l'eau, elle déteste, elle en a peur. finalement tu vois de belles gambettes arriver. ton regard se perd sur cette peau halée, lentement, pas assez, remonte, petit à petit pour finalement voir la crinière de lion. tu la regardes, la brune, tu la regardes, la métisse, tu souris alors qu'elle t'ignore pour venir se poser sur la banquette juste en face de toi. tu restes scotché sur son regard, sur ses lèvres, sa peau. elle est belle vénus, elle a ce truc en plus, ce truc qui attise l'envie, la passion. elle a quelque chose en plus la métisse, c'est certain. « on se lève pas pour m'accueillir à bras ouverts, honoré de ma magnifique présence ? » tu souris, encore, tu finis par te lever et venir prendre place à ses côtés, tu te colles à elle, s'en gêne, aucune.  tu as été bien trop discrète en arrivant sinon je t'aurai accueilli comme une princesse voyons. tu souris un peu plus tes doigts viennent s'emparer d'une de ses boucles. tu joues avec, distraitement, tu t'y perds, tu finis par te lever, comme devenu une boule d'énergie ne pouvant pas rester en place.  tu veux un verre ? tu veux boire quoi vénus ? tu demandes, doucement, tu ouvres le minibar, sans gêne, pour qu'elle puisse regarder, tu finis par te relever et prendre tes cartes en main. tu sais qu'elle aime ça, tu sais surtout qu'elle a les mêmes croyances que toi, la métisse, elle est superstitieuse.  sinon, une dame équivaut à du champagne, un roi à du whisky, le valet à du rhum, et le reste de la vodka. qu'est-ce que t'en penses toi ?

• il se colle à toi et tu souris. venant de lui ça te dérange moins. parce que tu sais qu si ça ne te convient pas, il te laissera te décaler. et puis, il y a toujours du respect avec lui, et c'est super important pour toi. comme quoi, un métier peut vous changer complètement, vous et vos relations au monde. tu as toujours eu une préférence pour les femmes, mais elle s'est d'autant plus démarquée quand tu as commencé à faire le trottoir. tu voyais le pire chez les hommes, alors tu avais du mal à ne pas calquer cela sur les autres. c'est pour ça que la confiance et le respect étaient devenues si importants. si tu ne te sens pas bien avec quelqu'un, avec un homme, si son regard est trop lubrique, alors, tu t'en vas, purement et simplement. on t'insulte en général, on te traite d'allumeuse, incapable de voir que tu n'étais pas dans le bain. incapable de voir que certains petits gestes n'arrivaient qu'à te dégoûter. mais avec ion c'est différent. parce que c'est ni lui ni toi qui décidez de l'issue de la soirée, mais les cartes. toujoues les cartes. et puis il est de bonne compagnie, d'un point de vue général. il se lève et ouvre le mini-bar. alors tu te rapproches, pour mieux voir. tu ne sais pas quoi prendre. tu t'apprêtes à lui signifier qie tu es en pleine hésitation et que tu as besoin d'aide, qu'il te propose une autre solution. le hasard. tu souris, fermes les yeux et tu pioches une carte dans le paquet. dame. tu prends ton air satisfait. "je crois que tu vas devoir sortir les flûtes." tu aimes bien le champagne, plus que la vodka. mais pour toi, ça ne vaut pas un mojito. c'est que t'as des goûts de luxe. t'as l'habitude que des gars payent tes verres, alors t'hésites rarement. et puis t'es pas bête et tu sais économiser ton fric. si bien que t'es pas non plus à la rue.
• tu le regardes remplir la flûte et tu souris en voyant pétiller les bulles. tu attrapes le verre et tu trempes tes lèvres dedans. "si tu me laissais mettre tes chaussures sur le pont, tu m'aurais entendue. enfin bref. on quitte le port ou pas ?" tu attrapes les cartes et tu les regardes, avant de couper le paquet et de les mélanger. puis tu les étales en éventail dans ta main, face vers le sol. "si c'est une figure, on se trouve une crique sympa, déserte, tranquille. si c'est une autre, on reste dans le port." et vous vous y tiendrez. ta grand mère savait utiliser les cartes, elle t'avait fait un tour de madame irma, et ça avait marché. elle n'avait pas voulu t'apprendre à les utiliser, elle te trouvait trop jeune. mais c'était le hgenre de choses avec lesquelles tu ne rigolais pas. si les cartes avaient dit que vous ne quitteriez pas la jetée, vous obéirez. tu préférais ne pas savoir à quoi tu t'exposais si tu en décidais autrement. si le hasard en avait décidé ainsi, c'est qu'il y avait une bonne raison. tu attends qu'il fasse son choix. tous les deux, vous réfléchissez toujours avant de prendre une carte, ce n'est pas vraiment de la rigolade. tu sais que mars et jupiter trouvent que ce sont des histoires à dormir debout, et tu sais que mercure te réciterait une loi scientifique qu'il a lue quelque part pour te prouver que tu as tort. mais tu ne peux pas t'en empêcher. tu crois en ce genre de chose, comme ta mère croit en dieu, et croit qu'aller à l'église permet d'être mieux entendu par lui. chacun fait ce qu'il veut de son esprit et ça te va très bien comme ça.

je crois que tu vas devoir sortir les flûtes. tu souris en regardant al carte, en effet, tu vas devoir prendre des flûtes à champagne et c'est immédiatement ce que tu fais. tu te lèves, et tu vas chercher deux flûtes que tu viens poser avant de prendre la bouteille de champagne entre tes mains. tu la l'ouvres, très lentement, tout doucement, et ce, jusqu'à ce que le bouchon explose et s'en aille dans les airs en laissant suinter un léger bruit. tu remplis deux flûtesi tu me laissais mettre tes chaussures sur le pont, tu m'aurais entendue. enfin bref. on quitte le port ou pas ? t'as pas idée du prix que ça coûte de faire lustrer le pont toi, ça se voit. puis, t'es mieux sans talon. tu lui dis, simplement. c'et vrai que ça coûte cher, trop cher ... bon t'es pas à ça près d'ailleurs, mais ça, tu te retiens de le dire, peu de personnes savent qu'en réalité, tu as des millions sur ton compte bancaire. si c'est une figure, on se trouve une crique sympa, déserte, tranquille. si c'est une autre, on reste dans le port. tu hoches la tête et tu regardes les cartes, les divines. tu ne jures que par elle. c'est dangereux, des fois, tu t'es retrouvé dans bien des mauvaises positions, mais c'est plus fort que toi, t'as besoin de quelque chose pour te dicter ta vie, tu ne peux pas faire sans. alors alors ... la crique ou le port; tu souffles, tu passes ta main au dessous des cartes, tu hésites, par ici et par là, tu te perds sur les cartes tu finis par en toucher une et tu la sors sans qu'elle ne la voit. tu voulais faire quoi toi? que tu demandes, malicieux, avant de retourner la carte pour lui montrer une belle dame de coeur. je vais aller détacher le bateau. tu lui lances, finalement, tu bois ta flûte, cul sec et tu détaches le bateau du port. tu te débrouilles pour mettre en route le petit moteur comme il n'y a pas de vent et tu te mets devant le gouvernail. c'est parti. si tu veux, je sortirai mes autres cartes après ... celles qui disent l'avenir, celles dont tu ne te sers pas sur toi, parce que tu sais que tu ne pourrais pas t'auto-prévoir l'avenir. ça serait bien, mais impossible. alors alors, une crique déserte et tranquille, ça devrait se trouver ça. d'ailleurs, qui dit crique dit baignade non ?

• il te dit que t'es mieux sans talons et tu rigoles. toi, t'aimes pas être plus petite que les autres. t'aimes pas te sentir en infériorité, c'est comme ça. t'es trop fière et tu l'as toujours été. alors tu te relèves sur la pointe des pieds. et même s'il voulait te faire tomber, il n'y arriverait jamais. on ne fait pas tomber une danseuse comme ça. c'est une pose que tu sais tenir depuis que tu as trois ans, et tu as un très bon sens de l'équilibre. il ne t'a pas fallu très longtemps pour apprendre à marcher avec des talons, d'ailleurs, grâce à ça. puis il choisit une carte, et avant de te la montrer, il demande ce que toi tu voulais faire. alors tu lèves les yeux au ciel « si je t'ai demandé de choisir une carte, c'est parce que je suis moi-même incapable de me décider, tu penses pas ? montre. » tu as toujours été curieuse aussi. et pas très patiente. tu aimes pas qu'on te fasse mariner comme ça. t'as beaucoup de petits défauts. mais tu sais que ça fait rire les gens qui t'apprécient, alors tant mieux. il te montre sa dame de cœur et tu souris, le laissant décrocher le bateau de son amarre. tu reprends ta place dans la banquette. tu entends le moteur ronronner, et tu souris. tu adores partir en mer. tu n'as pas tellement de souvenirs que ça de quand tu étais gosse, mais tu sais que tu as passé de sacrés bons moments comme ça, avec tes frères.
• il propose de sortir ses autres cartes et tu hoches la tête. « tu sais bien que je dis jamais non. jvais finir par te mettre un turban dans les cheveux et par te filer mes bracelets. t'auras plus qu'à rouler les r, et on pourra t'appeler madame irma. » tu rigoles un peu, à l'idée de le voir empêtré dans une dizaine de jupes, un turban sur la tête, et exagérant un faux accent, juste pour te faire chier. puis il te demande si une crique n'équivaut pas à une baignade et tu rigoles encore un peu, avant d'ajouter, sur le ton de la confidence. « c'est pour ça que, tu as de la chance, j'ai pensé à prendre un maillot de bain dans mon sac. » tu y avais pensé, évidemment. tu n'es pas du genre à te laisser dépasser par les événements. tu viens près de lui. tu ne sais pas conduire de bateau, et ça ne t'intéresse pas. mais tu dois avouer que ion est quand même plutôt canon, comme ça, les cheveux dans le vent. c'est pas juste un bon ami, c'est aussi un très bon coup. faut être honnête avec toi-même, tu regrettes rarement de coucher avec lui. et puis, comme c'est les cartes qui décident pour vous, tu n'as pas l'impression que c'est juste un client. tu bois ta coupe, doucement. t'es pas du genre à boire cul-sec, t'aimes bien te donner des airs de princesse. même si t'es loin d'en être une. « n'empêche qu'on te voit presque plus en ce moment, avec les filles. tu passes même plus nous faire chier. on va finir par croire que tu nous aimes plus. » et voilà que tu fais ta moue boudeuse, faussement triste.

« si je t'ai demandé de choisir une carte, c'est parce que je suis moi-même incapable de me décider, tu penses pas ? montre. » tu hausses les épaules, finalement, une figure et vous sortez du port. tu conduis, sagement, un projecteur venant éclairé juste devant vous. tu navigues, consciencieusement, parce que ce bateau, c'est ton bébé finalement. « tu sais bien que je dis jamais non. jvais finir par te mettre un turban dans les cheveux et par te filer mes bracelets. t'auras plus qu'à rouler les r, et on pourra t'appeler madame irma. » tu souris, doucement, si elle savait le nombre de fois où on te la faite cette blague inutile, stupide, mais tu souris, encore et toujours parce que c'est ça sans être ça. toi, c'est vrai, t'y crois, vraiment, à 100%. c'est ton truc, ta cam même tu pourrais dire. ouais, sans tes cartes, t'es perdu, sans elle, tu nages vers l'inconnu simplement et tu te sens mal, perdu. inapte à gérer convenablement. toujours la peur de faire une bêtise, la sensation de se tromper. « c'est pour ça que, tu as de la chance, j'ai pensé à prendre un maillot de bain dans mon sac. n'empêche qu'on te voit presque plus en ce moment, avec les filles. tu passes même plus nous faire chier. on va finir par croire que tu nous aimes plus. » elle est maintenant à côté de toi, tu la reluques, sans gêne, aucune. tu la mates, carrément. elle est belle vénus, elle est même bonne, t'as pas honte de le penser. t'as déjà goûter à sa douce chair, t'as déjà eu ce privilège, t'avais pas choisi. pas vraiment. elles avaient choisi, les cartes, évidemment. qui a dit qu'on avait besoin d'un maillot pour se baigner vénus ? tu la reprends, gentiment, avant de bloquer le gouvernail et te déplacer pour lui faire face, tu attrapes ses hanches, tu la rapproches de toi, tu plantes ton regard dans le sien et tu al fixes, intensément. doux mélange de sensation. dois-je te rappeler que vous faire chier est une passion chez moi mais je te l'accorde, j'suis pas venu depuis un moment. tu finis par confirmer, tu la lâches, quelques secondes, tu perds tes lèvres dans son cou, un baiser, un autre, et tu t'éclipses vers les cabines, tu descends, tu vas chercher ton paquet de cartes, celui avec diverses figures, diverses significations et tu reviens. alors mademoiselle, une petite envie de savoir quelque chose. une petite question que vous vous posez ? tu lui souffles en revenant, victorieux.

• il bloque la barre et tu souris. tu ne sais pas si ça veut dire qu'il va t'embrasser, mais qu'il va te draguer, vu comment il te matait il y a quelques instants, oui, très certainement. ce n'est pas un souci. tu ne t'offusques plus qu'on te reluque. en toute modestie, tu sais que tu es plutôt canon. c'est bien pour ça que tu es sur le trottoir. il est rare que les gens prennent les laiderons -ou bien elles trichent en se maquillant à outrance-. « je pensais que les bains de minuit complètement nus étaient réservés aux films. mais je ne dis pas non. » tu le reluques aussi. tu as toujours remarqué qu'il était bien sexy dans on genre. sinon, tu n'aurais jamais été intéressée par lui. tu aurais ri de son pari ridicule mais tu ne l'aurais jamais accompagné chez lui. tout ça pour en plus ne rien faire, à part discuter de ses cartes, au final. il t'attrape par les hanches et te rapproche de lui, et tu souris. il le fait délicatement, et c'est ça que tu aimes chez les gars avec qui tu couches pour le plaisir. c'est différent. contrairement à certaines filles et certains gars que tu connais et qui font le même métier que toi, tu n'es pas dégoûtée par le sexe. tu ne l'es plus. tu sais faire la différence entre le boulot et ta vie privée. et ce soir, tu as bien envie de te laisser aller. il t'accorde qu'il n'est pas venu depuis un moment, et tu souris, tandis qu'il t'embrasse le cou. « mm. et notre passion c'est de te remballer. » c'est un jeu plutôt drôle qui vous sort de la monotonie de votre quotidien. il vient vous taquiner, et vous le remballez de pas mal de façons différentes, en lui demandant souvent d'aller demander aux cartes si elles sont pas ailleurs. il finit par te laisser là, et tu n'as absolument aucun doute sur ce qu'il est parti faire. c'est pour ça que lorsqu'il revient, un large sourire orne tes lèvres. tu observes le paquet aux figures bien plus complexes qu'un simple jeu, et tu réfléchis à la question que tu pourrais te poser. tu sais que pas mal de gens demanderaient quelque chose en rapport avec leur travail, ou bien s'ils vont bientôt rencontrer le grand amour. mais tu crois pas au grand amour, et ton travail, tu ne veux rien savoir dessus. tu t'approches, une moue pensive aux lèvres, tes doigts parcourant son torse, presque distraitement « je sais pas, avoues-tu d'un air qui semble ingénu. une idée de ce que je pourrais demander ? »