(primu ceccaldi)

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Tiago Ceccaldi

We begin by joints or condoms ?

prénom : tiago, c'est pas banal et c'est sans doute pour ça que tu le portes bien. on pourrait y déceler quelques consonances espagnoles alors qu'il ne trahit que simplement tes origines paternelles, héritage du peuple corse. nom : ceccaldi, et autant d'erreurs de prononciation. parce que ça sent la corse, encore, terre de ton père et de vos ancêtres. mais un nom comme celui là, on en retrouve pas des masses chez les basques. âge, date de naissance : dix-neuf ans, t'es majeur, mais en soit t'es encore qu'un gosse. t'es né le deux mai, en premier. parce que vous étiez deux ce jour là, et c'est toi qui t'es pointé avant calypso. lieu de naissance : tu t'es pointé à biarritz, comme ta mère et sans doute ta grand-mère avant elle. et biarritz tu l'as pas quitté, ou très peu. t'as pas voyagé tant que ça, mis à part ajaccio chez les grand-parents paternels. t'aurais sans doute voulu en voir plus, du pays, mais c'est comme ça. origines, nationalité : mi-basque, mi-corse, en soit t'en reste pas moins français. mais manquerait plus qu'une autre branche vienne du nord que tu te retrouverais avec la panoplie des gênes caractériels. orientation sexuelle : tu t'es jamais vraiment posé la question, en fait ça t'es paru comme une évidence, mais t'en sais fichtrement rien. tu te penses hétérosexuel, parce que c'est la base et que t'as toujours craqué pour la beauté des femmes. mais t'as peut être juste pas trouvé d'hommes qui te fassent virevolter. peut-être. occupation : tu rêves d'aventure, de musique, parce que t'es un passionné, un romanesque. t'aimerais te retrouver dans un car en compagnie d'autres roadies comme on dit, mais t'es bloqué parce que les études passent avant tout. t'es coincé, deuxième année de fac d'informatique. tu sais pas bien pourquoi t'es parti là-dedans, tu sais même pas ce que tu comptes faire de ce diplôme. t'as même pas envie de bosser dans cette branche, mais c'était trop tôt pour choisir. puis tu bosses aussi, souvent l'été, nageur-sauveteur c'est l'idéal, une évidence aussi. puis ça te donne un foutu charisme et tu craches pas dessus. situation financière : convenable, c'est ce que tu penses. parce que vous êtes issus d'un milieu modeste et que t'en connais des gens plus fortunés que toi. t'es obligé de bosser pour te payer le moindres de tes caprices, mais finalement c'est peut être ça qui va te forger dans la vie. statut civil : célibataire endurci, l'âme sensible tout comme l'organe. t'es encore libre, comme les airs que tu fredonnes. tu serais pourtant du genre à cocher c'est compliqué ces derniers temps, si on te donnait l'occasion de gueuler ton désarrois. t'es paumé dans un no man's land, au milieu d'une frontière si mince qu'il te faut déployer des talents de funambule. traits de caractère : à l'écoute, accessible, accueillant, actif, adroit, affectueux, ambitieux, amusant, anxieux, appliqué, ardant, artistique, astucieux, attachant, attentif, attentionné, audacieux, authentique, autonome, avenant, aventureux, bavard, bienveillant, borné, boudeur, câlin, caractériel, casse-cou, chaleureux, compatissant, compétitif, complice, compréhensif, confiant, courageux, créatif, cultivé, curieux, débrouillard, décidé, dévoué, désordonné, digne de confiance, direct, distrait, droit, dynamique, empathique, énervant, entêté, enthousiaste, entreprenant, franc, humble, immature, imprudent, impulsif, indiscret, indulgent, infatigable, instable, intègre, intrépide, intuitif, inventif, irresponsable, jaloux, joueur, jovial, libéré, libre, loyal, malin, observateur, optimiste, ouvert d'esprit, passionné, persévérant, pétillant, pragmatique, procrastinateur, protecteur, rancunier, rassurant, respectueux, rêveur, sans gêne, sarcastique, sincère, sournois, spontané, téméraire. célébrité : jack gilinsky. groupe : il est kiffant.

Banana Split

ton plat préféré : les pancakes, c'est pas vraiment un plat, mais tu tuerais sans doute pour quelques bouchées. ta boisson alcoolisée préférée : vodka, sans doute. tu bois tout, tu fais pas de jaloux. plutôt chat ou chien : chien, peut-être parce que c'est plus dynamique qu'un chat. ta relation avec tes parents en un mot : bonne, typique, mise à part les détails sur votre conception, t'as pas grand chose à en dire. t'es un bon menteur : tout dépend quoi et qui, mais tu t'en sors assez bien généralement, faut juste pas trop que ça te tienne à coeur parce que sinon t'es capable de te cramer en un rien de temps. quelles sont les trois choses que t'apporterais avec toi sur une île déserte : quelqu'un pour te tenir compagnie, de quoi survivre et un hamac. une de tes peurs : vivre la mort d'un de tes proches, c'est pire que ta propre mort. et tu sais bien que ça arrivera un jour, que c'est dans l'ordre des choses, que tu devras assister à l'enterrement de tes parents, mais t'as les jetons, t'as pas envie de perdre qui que ce soit, surtout après ce qu'a enduré calypso. ton adolescence en un mot : vivante, parce que t'en as et t'en profite toujours autant. le pays que t'aimerais visiter : the american dream darling, comme beaucoup. ton plus grand regret : tu vis plus avec des remords qu'avec des regrets, mais si t'y réfléchis bien peut être que t'en aurait un seul, mais c'est pas fini encore, tu peux changer les choses, tu crois, enfin si t'en as envie, en fait tu sais pas. ta plus grande fierté : ta planche préférée, celle dont tu as pris soin, que tu as orné de dessin, ton objet le plus précieux. ta chanson du moment : jack garrat - worry.

toi et la clope, c'est souvent ? 2, c'est rare, mais ça arrive. est-ce que tu vas souvent au McDo ? 4, avec les potes, tout seul, quand t'as la flemme. t'es adepte de la mal bouffe de toute façon. t'aimes les repas gastronomiques ? 1, juste pour la décoration, à la télévision, mais t'as pas vraiment ce qu'on peut appeler des goûts culinaires très raffinés. en soirée, tu commences d'abord par la bière ? 4, souvent une petite binouz pour te mettre en selle puis c'est la décadence. le petit-déjeuner le matin, c'est obligatoire ? 1, c'est pas ta priorité, t'es souvent trop en retard pour y penser, tu manges sur le pouce si t'as faim, mais c'est généralement le repas que tu sautes le plus. les animaux, c'est ton truc ? 3, t'en as eu quelques uns, t'aimes ça, mais t'es pas franchement capable de t'en occuper. la plage, t'aimes ça ? 5, c'est ton terrain, ton élément, tu ne te vois pas vivre ailleurs qu'en bord de mer. tu rêves de vivre à la campagne ? 0, c'est bien pour les vacances, mais toi tu te vois mal quitter tes vagues. voyager fait partie de tes plans pour l'avenir ? 5, t'y comptes bien, t'en rêves même. t'es du genre aventurier, tu te vois partir des mois, voir des années, sur les routes, à travers les pays. mais t'es pas encore prêt à quitter tes proches, alors tu restes et t'essayes juste de quitter la france pendant les vacances. les enfants, ça te fait peur ? 2, ceux des autres non. mais t'en veux pas pour toi même, du moins pas tout de suite. t'as ben compris la leçon de ta mère et de ses amies et ce pacte à la con, toi tu le passerais pas. biarritz, c'est une ville animée ? 5, t'as connu que ça et t'en es plutôt fier. quand tu sors, tu rentres seul(e) ? 2, généralement non, mais rien n'est dit que tu conclues après. mais t'es respectueux comme garçon, ça se perd. tu respectes le code de la route ? 4, tu tiens assez à ta vie pour, mais il t'arrive de conduire bourré, défoncé ou de rouler trop vite, comme tout le monde. t'as parfois tendance à te croire invincible sur ton petit cyclindré.

Strawberry fields

Cynthia - rosebud

pseudo/prénom : écrire ici. âge : écrire ici. pays : écrire ici. type de personnage : inventé/scénario/pré-lien. qu'est-ce que tu penses de LOL : écrire ici. quel niveau d'intervention laisses-tu à aléas de la vie : écrire ici (pour t'aider). crédits : écrire ici.dernier mot : écrire ici.

Code:: <mt>jack gilinsky</mt>◊ tiago ceccaldi

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nos doigts qui s'écorchent
à la couleur des roses

You call It madness, but I call It love

(01) ta naissance, tout du moins l'histoire de ta conception est loin d'être banale. pourtant, t'aimes pas qu'on vous catalogue, tes amis et toi, par ce pacte stupide qu'on mis en place vos mères respectives. elles avaient chacune entre dix-sept et dix-neuf ans et, cet été, elles avaient toutes décidé de tomber enceinte en même temps afin d'élever leur progéniture ensemble. elles avaient tout prévu pour vous, sauf sans doute la difficulté qu'est d'élever un enfant qui plus est aussi jeune. alors qu'elle ne fut pas la surprise pour tes parents lorsqu'ils apprirent qu'ils n'attendaient pas un, mais bien deux enfants. calypso et toi. des jumeaux, un cadeau tombé du ciel. (02) c'est toi qui t'es pointé le premier, de pas longtemps, quelques minutes tout au plus. mais c'est bien toi et ça c'est ta petite fierté. t'aimes te la raconter grand-frère alors que calypso ne supporte pas cet air surprotecteur. t'aimes te vanter d'être plus vieux, plus grand. mais elle te sort souvent que t'es surtout plus débile, racontant que d'une certaine façon étant sorti le premier tu devais sans doute avoir été conçu le second. logique imparable, logique qui donne le mal de crâne. (03) toi, t'étais pas contre, de toute façon ça s'est imposé à vous comme une évidence. la bande. elle s'est formée par le biais de vos mères, c'était ce qu'elles attendaient de vous de toute façon. pour autant vous auriez très bien pu ne pas vous entendre voir même ne pas pouvoir supporter la présence des uns ou des autres. mais non. la bande, c'est ta deuxième famille, c'est la chair sans le sang, c'est ceux que t'as choisi sans vraiment les choisir. tu les aimes, c'est indéniable. ta vie, tu ne te la représente jamais sans eux, même si t'as parfois l'impression d'étouffer, de suivre des lignes toutes tracées, d'être dépendant, lié d'un peu trop près à leur destin. t'as parfois l'impression de pas être si libre, finalement. (04) toi donc grand rêve c'est de partir. tu rêves voyage, découverte, mais surtout tu rêves route et musique. parce qu'on dit que c'est ton obsession, que c'est qu'illusoire, mais toi t'y crois à ce rêve. tu te vois sillonnant les routes, ta couchette dans le car, non loin des stars. tu t'y croirais presque à suivre le groupe de rock le plus en vogue du moment durant leur tournée. tu t'en moques du confort dérisoire, toi tu ne vois que la magie, l'aventure. mais c'est qu'un rêve et la réalité est telle que tu te retrouves le cul coincé sur une chaise à réciter des cours que t'as gobé comme une oie et qui, soyons clairs, ne te serviront sans doute jamais. (05) la musique, ça t'a pris quand t'étais gosse. le piano d'abord, la guitare ensuite. t'as pas une voix dégueulasse, mais tu préfères de loin la magie de tes doigts sur les touches, les cordes, voir même derrière un crayon. parce qu'il t'arrive de composer un peu, d'écrire des trucs, pas toujours moches, mais pas scandaleux non plus. t'es doué derrière ton instrument et pourtant tu t'es jamais vu sur le devant la scène. (06) on dit souvent qu'un homme a deux femmes dans sa vie, sa mère et sa femme. toi pour l'instant t'en as déjà trois et, si tu te maris un jour il se pourrait bien que t'en ais quatre. la première c'est ta mère, parce qu'on en a généralement qu'une et que t'es quand même sorti de son vagin un jour. la seconde c'est ton double, ta soeur, calypso. et la troisième, c'est ton âme soeur - amicalement parlant -, l'amie apportée sur un plateau d'argent, chiara. et tu serais sincèrement prêt à remuer ciel et terre pour elle, à donner et faire tout ce qui est en ton pouvoir pour leur bien être. t'es peut être trop mielleux finalement, mais elle représente ton monde à elles seules. (07) calypso elle a beau être ta jumelle, vous avez très peu en commun, si c'est un certain caractère, les parents, les potes - et encore - et l'amour pour la musique. alors vous vous battez, souvent, encore maintenant. mais vous vous aimez et t'aimes le lui rappeler. parce que vous taquiner c'est un peu votre refrain. parce que vous trouvez toujours le moyen de vous retrouver. ton instrument, sa voix, juste vous deux. (08) t'es du genre à pouvoir garder un secret, vraiment. même si ça te démange parfois de cracher le morceau, ta bouche restée scellée. alors quand t'as finalement appris pour calypso et son soit-disant boulot, t'as pas pipé mot. tu le gardes pour de toi, mais tu t'empêches pas de lui faire remarquer à quel point c'est débile et que t'es contre. mais tu l'as connais calypso et tu sais qu'elle en démordra pas. alors tu lui fais comprendre que t'es simplement là, en cas de besoin, de pépin. et tu te tiens prêt à péter la gueule au premier client qui osera passer sa main sous sa jupette. (09) t'es complètement gaga du petit. ce môme de deux ans désormais sous la tutelle de calypso, suite au décès de sa meilleure amie. tu la connaissais peu, mais ça a été triste pour toi aussi alors pour calypso ... t'as essayé d'être présent, tout comme tu l'es aujourd'hui. parce que ce gosse tu l'aimes comme s'il était vraiment celui de ta soeur, parce que tu le sors, tu t'occupes parfois de lui et que t'aimes ça en plus. tu te voyais pas papa et c'est sans doute toujours le cas, mais tu sais désormais que c'est le genre de chose qui ne te déplairait pas, qui viendrait très vite si la situation s'y prêtait. (10) tomber amoureux, ça ne t'es encore jamais arrivé. ou si peut-être, une fois, ou non. t'en sais rien, t'étais attaché, t'avais des sentiments, mais t'as pas ressenti la passion qu'on lis dans les romans à l'eau de rose. et de toute façon tu t'es fait entuber, lâcher, larguer, comme une pauvre petite merde. alors ça t'as marqué. je ne dis pas que t'es devenu un petit con après ça - tu l'étais déjà, con - simplement que t'es plus sur la réserve désormais. tu te livres beaucoup moins et tu t'attaches pas non plus. tes relations sont éphémères, elles s'évaporent avant même que l'on puisse les considérées comme sérieuse. t'as le temps de toute façon, tu comptes pas avoir la bague au doigt à dix-neuf ans. (11) depuis que t'as signé pour ton entrée à la fac d'informatique, tu partages un appartement qui pourrait être plus spacieux - il faut le dire - avec l'un de tes potes de toujours, Ektiel. le choix n'en a pas réellement été un, parce que malgré que vous vous aimiez tous, les groupes se font et se défont et à cet instant c'est lui qui s'est présenté à toi, ou toi à lui, c'est pareil. et parce que la musique vous rapproche, parce que lui aussi aime fredonner des airs. (12) vous roulez pas sur l'or, tu le sais bien. tu t'en rends encore plus compte quand Ozcar déballe son fric - non pas que ça te déplaise, finalement. alors t'as durement économiser, pour t'offrir une virée à deux, sous les cocotiers, avec chiara. ouais, c'est platonique entre vous, c'est pas comme si tout le monde vous comparait à un couple, sans les avantages d'un couple. mais toi, tu t'en fiches, parce que tu sais ce que c'est, vous deux. et tu t'es senti bien con quand, à la fin de ces deux semaines, vos lèvres se sont rencontrées. t'as aimé, mais t'as ris avec elle. vous étiez ridicules. vous en êtes resté là, en sachant tous deux que ce n'était rien de plus. et pourtant ... toi tu rumines, t'y songes, en fait ça te hante un peu et ça te déboussole de penser à ça tout le temps, à quel point elle te manque pendant ces deux mois d'absence. alors tu te poses des questions, évites les réponses, t'arraches les cheveux. tu bois ta tequila, t'embrasses des meufs, mais elles ont pas le même goût, la même saveur. et ça s'arrête là. (13) en plus de la musique, il y a cette autre passion que tu partages avec calypso. le surf. t'es un mordu de la vague, t'es un accroc des tunnels, de ta main effleurant l'eau, de toi sur cette planche maîtrisant l'océan. t'es capable de te lever à des heures inimaginables pour surfer sur les meilleures vagues, de faire des heures de conduites juste pour pouvoir monter sur ta planche et kiffer. simplement. (14) t'as le permis, conduite accompagnée. mais pas la voiture. de toute façon tu roules en scooter depuis presque trois ans. c'est plus pratique autant pour conduire que pour te garer, puis c'est pas comme si t'avais besoin d'amener du monde avec toi. et si c'était le cas, tu ferais comme à ton habitude, t'irais choper les clés de ta mère. (15) t'es loin d'être pudique. tu te trimbales en caleçon toute la journée, qu'importe qui te tient ou ne te tient pas compagnie. et t'as la fâcheuse tendance à trop souvent finir à poil quand t'as bu un peu - beaucoup, vraiment trop - tu t'en fous, en réalité. on est tous fait pareil, alors t'as rien à cacher sauf pour les âmes sensibles. c'est plus facile quand t'as bu, mais même sans ça t'es le premier pour relever les défis. t'es capable de tout, près à même ta fierté de côté, te demandant parfois même si t'en as une, de fierté.