(mia) je me battrais jusqu'à la fin

« je suis une femme Mino. j'ai trop attendu ce moment. alors, je me fiche d'être qu'un lot de consolation, je prends le rôle. je me fiche d'être qu'un pansement à ta douleur. qu'importe. je suis là, à toi, pour le temps qu'il te conviendra. » elle attend ce moment ? tu ne comprends pas pourquoi elle dit ça. Enfin, tu as une petite idée, mais ça ne doit pas être possible. Elle n’a jamais eu ce genre te regard envers toi. Non, c’est impossible. Elle s’offre à toi, tu ne l’as force pas, elle se donne à toi de son plein gré. Tu ne réfléchis pas longtemps. Depuis plus d’un mois, tu n’as plus touché de femme. Bien avant même, depuis que Gaby t’avait dit pour le bébé, tu ne l’avais plus touché. Pas par dégout, mais tu avais peur de faire du mal au bébé. Idiot Mino, ça ne lui aurait rien fait, mais tu ne voulais pas tenter le diable. Tu vis sans sexe depuis deux mois au final. C’est long ! tu enlèves le chemisier de Mia et tu te retrouves devant sa poitrine. tu passes le bout de tes doigts sur sa peau lisses et douces, tu y joins tes lèvres. « ça ne sera pas doux Mia, ne t’attends à ce que je sois le prince charment, je suis pas comme ça » tu l’averties. Il ne faut pas qu’elle s’attende à quelques choses de magique, de doux, de romantique. Non, ce n’est pas toi. Tu es dans l’urgence. Tu te fais pressant dans tes caresses, tu lui retires rapidement ses vêtements, ainsi que les tiens. Tu attrapes un préservatif qui traine dans ton portefeuille, on est jamais trop prudent. Les aléas de la vie ne pardonnent pas. Tu enfiles la capote et tu reviens te glisser entre ses jambes. Tu t’installes correctement et avant de la pénétrer, tu lui demandes « tu es sûr ? » Tu ne lui laisse pas le temps de répondre. Si elle te dit non, tu en serais malade. Tu ne lui laisse plus le choix, tu t’enfonces en elle. C’est libérateur. C’est bon. Tu avais besoin de ça, tu avais besoin d’elle. tu avais besoin que ce soit elle. Seulement, c’est chose là, elle ne le sera jamais. Tu commences alors de longs et brutaux vas et viens. tu lui mords la chaire de son épaules, tu l'agrippes fortement entre tes mains.

Il hésite, quelques secondes, il reste là, à te regarder, comme s’il tentait de comprendre ce que tu dis, comme s’il essayait de se faire une idée plus claire, mais finalement, il réagit oui. Ses mains se placent sur ton chemisier, rapidement, il l’enlève dévoilant ton soutien-gorge en dentelle noire. Il te fixe, longuement, ses doigts venant titiller ta peau, tu as déjà chaud alors que ses lèvres viennent se poser ici à leur tour, tu trembles doucement quand il prend la parole. « ça ne sera pas doux Mia, ne t’attends à ce que je sois le prince charment, je suis pas comme ça » et il ne le sera jamais, parce que Mino n’est pas un prince charmant, n’est pas ton prince charmant, Mino est un homme à femme, tu ne seras pas passagère, il faudra t’y faire. Tu n’en as pas envie, non, tu n’as pas envie de t’y faire, mais tu t’en fiches, là maintenant, tu te contentes d’hocher la tête, avide de sentir ses mains contre ton torse, sa peau contre la tienne. Tant pis. Il te déshabille, rapidement, tu n’as pas le temps de l’aider, de faire de même avec lui. Ses gestes sont pressants, mais tellement précis que ça te fait mal au cœur. Il a simplement l’habitude lui, tellement l’habitude de répéter ces gestes. T’essaies de ne pas y penser alors qu’il vient se placer entre tes jambes que tu écartes, sagement, pour le laisser faire. « tu es sûr ? » sauf que ce n’est pas une question qui se pose alors qu’il est là, entre tes cuisses, tu ne réponds pas non alors qu’il entre déjà en toi. Tu jettes ta tête en arrière sous l’effet produit. Tu trembles de plaisir et tu laisses échapper un crie de surprise alors qu’il commence à bouger contre toi. Ses dents se perdent sur ta peau, ta bouche se cogne dans son cou pendant que tes jambes l’agrippent fortement. Tu essaies d’accompagner ses mouvements, comme tu peux, tu essaies de l’accompagner alors qu’il ne te laisse aucun moment de répit. Tu souffles, tu soupires, tu gémis, tu commences à crier, mais tu tentes d’étouffer tes cries contre sa peau, du mieux que tu peux. C’est brutal, c’est pas doux, c’est pas tendre, non, c’est autre chose, et ce n’est pas que tu n’aimes pas, mais c’est vrai que tu ne voyais pas ta première fois avec Mino de cette manière. Tu gémis encore et encore, alors qu’il te torture de ce plaisir si intense, si fort. Tes mains se perdent dans son dos, mais tu n’oses pas le toucher, non, tu n’oses pas, comme s’il ne t’appartenait pas le droit de poser tes mains sur lui. Ce qui est le cas, quelque part, Mino n’est pas à toi, il n’est à personne, même si ça fait saigner ton cœur, c’est le cas. C’est comme ça. Ton plaisir grimpe encore et encore, et tu sais que tu ne tiendras pas longtemps sous ce rythme effréné.

tu as un putain d’électrochoc. Tu vois le regard de Mia. Tu as l’impression qu’elle s’attend à autre chose. Qu’est ce tu es con, bien sûr qu’elle s’attend à autre chose. Mia c’est la fille que tu veux depuis toujours. La fille que tu attends en fessant le con avec d’autres. Là, tu la baise comme un mort de faim, comme tu le ferais avec une autre. Tu es peut-être en manque de chaire, mais bordel c’est Mia.« désolé Mia » que tu souffles doucement à son oreille. Tu ralentis alors le rythme, tu y vas plus doucement. Tu t’enfonces un peu plus en elle, tu y vas plus en lenteur, en douceur. C’est étrange, c’est bizarre, mais c’est agréable. Tu as toujours été dans l’urgence, dans le besoin animal que tu as à assouvir. C’est bien la première fois que tu agis de la sorte. La seule fois où tu l’avais fait avec Gaby – parce que oui, il n’y avait eu qu’une seule fois – tu n’avais pas changé de comportement. Là, tu voulais qu’elle se souvienne de toi. Certes, c’était très mal partie, mais tu as envie de changer la donne. Mia c’est surement la fille qui arrivera à te changer. Elle a dit qu’elle serait là pour toi, tu veux qu’elle reste. Plus tu y vas doucement, plus tu ressens les choses. C’est nouveau et c’est ce qui te fait chavirer. Tu t’enfonces une dernière fois dans sa chaire. Tu exploses en elle. Tu grognes contre ses lèvres. Tu te retires en suivent. Cependant tu restes sur elle. Tu embrasses sa peau meurtrir par tes lèvres. Tu as marqué ton territoire. S’il y a un autre homme dans sa vie, il sera qu’elle est à toi, qu’il ne fait pas le point. Enfin, tu espères. Tu es en train de poser des baisers sur sa poitrine. « est-ce que je peux te demander de rester avec moi cette nuit ? » tu l’observes, tu es trop occupée à jouer avec sa poitrine. Après l’avoir malmener, tu as envie de lui faire du bien. Mia, j’espère que tu te rends compte de ce qu’il est en train de faire pour toi. Il n’a jamais fait ça. « j’ai besoin de toi Mia, j’ai toujours eu besoin de toi. Seulement, tu étais le fruit défendu. » Tu descends doucement vers son triangle d’or. Tu as besoin d’elle oui. Pas que sexuellement parlant, tu l’as veut tout entier. Tu veux qu’elle lui appartienne. Tu es près à arrêter l’alcool pour elle. Il n’a pas pensé à Gaby depuis qu’il l’a retrouvé. « est-ce que tu peux rester s’il te plait ? Pour une nuit ou plusieurs, enfin c’est toi qui choisit Mia, c’est toi qui décide. Tu as mon salut entre tes mains » tu te stoppe devant son entrejambe. Tu attends sa réponse. Du bout des doigts, tu caresses cette peau si douce.

tu ne t'attendais pas à ça, c'est vrai, mais qu'est-ce que tu pouvais faire après tout. tu le connaissais Mino, tu savais comment il est. tu ne ne pouvais pas t'attendre à ce qu'il change pour tes beaux yeux. ça ne fonctionne pas comme ça la vie. alors tu essaies de ne pas trop y penser. « désolé Mia » que tu entends là, au creux de ton oreille. t'en trembles de toute part, tu sens que tu trembles alors qu'il ralentit presque immédiatement ses mouvements, qu'il cesse d'être brutal, d'un seul coup. ton coeur bondit dans ta poitrine, il veut s'échapper alors que ton corps se cambre sous la pression du sien. c'est fort, c'est doux, mais c'est si intense que tu en gémis sans gêne. dans un dernier coup de bassin, tu te laisses tomber, tu te laisses aller. cependant, il ne s'échappe pas de toi, il reste là, il embrasse ta peau, pendant que tu ne bouges pas. tu te cambres légèrement sous ses baisers qui descendent sur ta poitrine. « est-ce que je peux te demander de rester avec moi cette nuit ? » il continue d'embrasser ta peau, tu n'as aucune réponse à lui fournir, tu essaies de te remettre de tes émotions, doucement. « j’ai besoin de toi Mia, j’ai toujours eu besoin de toi. Seulement, tu étais le fruit défendu. » qu'il te clame, qu'il te lance alors que tu soupires doucement, de plaisir devant ses mots. qu'est-ce que tu dois comprendre au juste ? tu n'arrives pas à comprendre, tu ne peux pas comprendre. « est-ce que tu peux rester s’il te plait ? Pour une nuit ou plusieurs, enfin c’est toi qui choisit Mia, c’est toi qui décide. Tu as mon salut entre tes mains » qu'il termine là, contre ton corps, contre le tien qui en tremble encore. « je .. » tu quoi au juste petite Mia ? est-ce que tu peux te confier comme lui ? est-ce que tu peux tenter quelque chose ? « je reste. » que tu finis par conclure. « je reste cette nuit. » et tu le fais parce qu'il a ralentit la cadence, tu le fais parce qu'il t'a fait l'amour et qu'il ne t'a pas juste baisé comme il avait commencé. tu ne sais pas où ça va te mener, parce que Mino est inaccessible mais tu n'arrives pas à lui dire non pour le moment. « je reviendrai les nuits suivantes, si c'est ce que tu veux Mino. » tu rajoutes en te relevant sur tes coudes et en l'observant. cette vision est si excitante de le voir là, si bas. tu regardes ton corps, tu vois des petites marques rouges. tu poses tes mains sur ces dernières. « tu avais besoin de marquer ton territoire Mino ? » tu lui demandes en relevant ton regard dans le sien.

« je .. » elle quoi ? Elle reste ? Elle part ? il la regard tendrement, il espère tant qu’elle passera la nuit avec lui. Il a dit à sa propre sœur que la seule qu’il aurait souhaité dans sa vie, c’était elle. Il espérait tant qu’elle dise oui. Les chances étaient peut-être diminuées avec sa réaction primaire et bestiale qu’il avait eue. Qu’est-ce que tu es con Mino. Il faut qu’il réfléchisse un peu plus avant d’agir, mais c’est sa marque de fabrique. C’est dans sa personnalité. Il frappe et après il analyse si c’était nécessaire. Une vraie tête brulée le petit Mino Favre. « je reste. je reste cette nuit. » c’est comme si son cœur réapprenait à battre. Elle n’a pas l’air de se rendre compte à quel point elle lui fait plaisir. Mia, tu es en train de faire revivre Mino. Il reprend espoir le petit « je reviendrai les nuits suivantes, si c'est ce que tu veux Mino. » il hoche la tête. oui, c’est exactement ça qui veut « c’est ce que je veux Mia. Si ça ne tenait qu’à moi, tu resterais avec moi longtemps. » ouai, il aimerais qu’elle reste toute sa putain de vie avec lui. Seulement, il rêve, ce n’est pas un mec pour elle. enfin pour le moment « tu avais besoin de marquer ton territoire Mino ? » il rit doucement entre ses cuisses. Il n’avait pas remarqué les traces qu’il avait laissées quelques instants plus tôt. « Il faut croire Mia. Tu es chasse gardée. » il mord tendrement un bout de chair pas loin de son triangle d’or. Il ne se contrôle pas trop quand il est dans un état de trans. Au mois, il ne lui met pas des coups de poing. C’est déjà pas mal. « enfin si tu me le permet » il attend sa réponse. Il attend de savoir si elle s’offre à lui uniquement. Il ne veut pas la partager. il ne peut pas, il l’a déjà laisser filer. Il a lassé un autre homme avoir sa virginité, sa première fois, ses premières fois. Il ne peut pas la laisser fuir. Il attend sa réponse avant de finir ce qu’il a entreprit. Il caresse du bout des doigts la peau de ses cuisses. Qu’elle lui répondre vite, la vision qu’il a juste devant lui le tente machiavéliquement.

« c’est ce que je veux Mia. Si ça ne tenait qu’à moi, tu resterais avec moi longtemps. » longtemps ? mais qu'est-ce que longtemps pour lui exactement ? c'est une chose que tu ne comprends pas encore. non, tu ne comprends pas comment il peut te dire de telles choses là, maintenant ? peut-être que longtemps ça représente seulement quelques semaines, quelques temps, un soir de temps en temps, comme ça, parce qu'il en a besoin, simplement. tu n'oses rien répondre, alors tu ne réponds rien, simplement. « Il faut croire Mia. Tu es chasse gardée. » qu'il te dit quand tu lui fais remarquer les traces qui résident sur ton corps. ses mots te font perdre la tête tandis que ses dents sur ta peau te laisse soupirer d'aise. tu sens même ton corps se cambrer très légèrement sous son effet. « enfin si tu me le permet » qu'il reprend, qu'est-ce que ça signifie ? « je .. je comprends pas Mino. » tu lui murmures alors en te relevant pour le voir juste là, si proche de ta zone érogène. tu pourrais juste te taire, juste le laisser faire et voir les questions plus tard, mais non, ça ne prend la tête. « qu'est-ce que tu attends de moi ?» tu lui demandes cette fois en te relevant complètement pour terminer assise sur le canapé. tu as trop de caractère pour te laisser aller à ses mots, tu as besoin de mettre les choses au clair, t'as besoin de ça. tu vas sûrement le perdre, mais c'est trop dur pour toi finalement, de juste te content de ça. « je veux bien être là, là pour toi, mais .. l'exclusivité ? c'est ce que tu sous-entends ? »

« je .. je comprends pas Mino. » il allait s’approchait un peu plus de cette zone quand Mia la pipelette refait surface. Il oubliait à quel point les femmes pouvaient avoir du débit. Surtout les italiennes, il allait être servir avec la Peretti. Il se redresse alors, quittant avec regard cette partie charnelle qui le tourmenté. « qu'est-ce que tu attends de moi ?» il se redresse sur le canapé, attrape son boxer et l’enfile. Il jette son propre t-shirt. Elle veut avoir un conversation sérieuse, alors qu’elle se couvre un peu, sinon Mino sera trop tenter par ce qu’il a en face de lui. il y a gouté une fois, il tentera d’y gouter une seconde fois, pour être sûr que tout cela est bien réel. Peut-être qu’il est dans un foutu rêve. Il espère bien que non, qu’il ne va pas se réveiller et que tout ça est faux. Que Mia est à l’autre bout de l’Italie et qu’il a fait un rêve érotique à la con. « je veux bien être là, là pour toi, mais .. l'exclusivité ? c'est ce que tu sous-entends ? » oui c’est ça qu’il entend. Il se voit mal la partager avec un autre. il n’a pas envie de ça. il n’est pas ce genre de mec-là. Certes, il a eu la réputation de courir de droite ou de gauches, mais il n’a jamais été infidèle à une seule fille. En même temps, c’était pas compliqué ça ne durée qu’une nuit ou deux. Il n’en a jamais eu l’occasion, enfin si avec Gaby. Il n’a pas été voir une autre femme alors qu’il était en manque. « on peut me reprocher pas mal de chose Mia, mais pas l’infidélité ou de courir deux lièvres en même temps » subtile comme comparaison Mino, tu t’enfonces encore plus là. « oui j’aimerais que tu sois qu’à moi Mia. Je n’ai jamais été du genre à partager et maintenant qu’il s’agit de toi, j’aimerais que je sois le seul. » il se passe une main dans les cheveux avant d’ajouter « enfin jusqu’à ce que tu trouves un bon gas. Un mec bien, un mec pas comme moi. Enfin peut-être c’est d’ailleurs le cas. »

il te jette en quelques sortes son t-shirt alors qu'il se relève. tu as du le vexer avec tes questions, mais t'arrivais pas à te taire non, t'avais beosin de parler, de comprendre, seulement voilà, tu as peut-être trop demander. alors tu l'enfiles ce t-shirt, rapidement, tu l'enfiles et tu viens te recroqueviller sur ce canapé. tu l'observes alors qu'il bouge, se lève, passe une main dans ses cheveux. contrarié ? « on peut me reprocher pas mal de chose Mia, mais pas l’infidélité ou de courir deux lièvres en même temps. oui j’aimerais que tu sois qu’à moi Mia. Je n’ai jamais été du genre à partager et maintenant qu’il s’agit de toi, j’aimerais que je sois le seul. enfin jusqu’à ce que tu trouves un bon gars. Un mec bien, un mec pas comme moi. Enfin peut-être c’est d’ailleurs le cas. » tu ne comprends pas où il veut en venir alors tu mets un certain temps avant de répondre. tu remets une mèche de cheveux derrière ton oreille et tu détournes ton regard. « je .. Mino .. tu n'es pas .. et je .. » tu ne t'attendais certainement pas à ça. déjà, tu ne t'attendais pas à faire l'amour avec Mino en le retrouvant, non vraiment pas, ce moment tu l'attendais depuis tellement longtemps .. mais maintenant, il te dit qu'il te veut toi ? « déjà, je n'ai personne, je n'ai personne dans ma vie je .. » tu secoues la tête doucement, sans trop comprendre. « je ne te comprends pas, pourquoi moi ? tu m'as toujours ignoré, tu .. tu n'as jamais voulu de moi, alors pourquoi maintenant ? » et tu te lèves alors, rapidement. « non, non, stop, ne réponds pas, s'il te plaît, ne réponds pas, je .. j'ai besoin de réfléchir, j'ai besoin de comprendre. je .. je vais prendre une douche. » tu l'informes alors, simplement. oui, une douche, ça te ferait du bien. c'est ça ou al fuite, et t'as pas envie de fuir non. alors tu files vers la salle de bain, tu enlèves ce t-shirt et tu entres dans al douche. toi, il te veut qu'à lui.

« je .. Mino .. tu n'es pas .. et je .. déjà, je n'ai personne, je n'ai personne dans ma vie je .. » il est soulagé, elle n’a personne dans sa vie. Personne pour le moment, personne dans l’immédiat. Il est soulagé, elle sera rien qu’à lui le temps de quelques jours, de quelques mois. Il prendre ce qu’elle lui donne. « je ne te comprends pas, pourquoi moi ? tu m'as toujours ignoré, tu .. tu n'as jamais voulu de moi, alors pourquoi maintenant ? non, non, stop, ne réponds pas, s'il te plaît, ne réponds pas, je .. j'ai besoin de réfléchir, j'ai besoin de comprendre. je .. je vais prendre une douche. » elle ne lui laisse même pas le temps de répondre. Il était prêt à lui dire, mais la jeune italienne ne devait pas être prête à entendre ce genre de chose. C’était peut-être un peu prématuré de lui faire ce genre de révélation. Avant qu’elle ne ferme la porte de la salle de bain, il lui lance « tu n’aurais qu’à me rejoindre si tu le souhaite. » avant d’ajouter « si tu veux partir, laisse ouvert derrière toi, fait juste attention que Simone s’échappe pas. » il se redresse et part jusqu’à sa chambre. Il fixe le plafond. Est-ce qu’elle le rejoindra ou prendra-t-elle la fuite ? il ne le sait pas pour le moment, la journée a été longue, la fatigue commence à prendre le dessus. Il s’endort alors que l’eau de la douche s’arrête de couler.