Im a little drunk and I need you now.. ♫ (Remy)

L'un. l'autre. la question qui se pose. la question qui s'expose. la question qui explose. et la réponse qui se fait désirer. personne n'a été capable de te l'apporter sur un plateau d'argent, comme on a toujours fait. personne ne l'a fait. ni même l'alcool d'ailleurs, qui coule actuellement dans ton sang. ça aurait pu, pourtant. ça l'a déjà tellement fait. mais c'était quand tout était simple. c'est quand ta vie roulait sur ses quatres roues. aujourd'hui, tu ne sais pas s'il y en a plus que trois, ou six. même cinq. ton coeur est explosé, en un millier de morceaux qu'on tente de recoller pendant que quelqu'un l'autre les recasse. et rien n'y fait. rien. ça ne s'arrange pas. et cette douleur, affreuse. cette douleur que tu voudrais éteindre, comme une lumière. comme une machine. un mécanisme qui peut s'arrêter, voilà ce dont tu rêves la nuit. des souvenirs lointains de quand il n'était pas là, de quand ton coeur était encore sous ta responsabilité. et dans ce bar ce soir, tu na vu que des opportunités pour être heureuse une nuit. pour tout foutre en l'air, encore. pour souffrir un coup, et tout laisser passer. tout laisser couler. un verre de plus, un sentiment de moins. tu prends un peu plus de confiance en toi, à chaque lampée d'alcool. tu subis, tout ça. tu le subis, aussi fort que ça puisse arriver dans ton corps. Tu réalises finalement que t'es plus tout a fait au bar ou tu était il y a quelques minutes, mais sur la plage, les chaussures dans une main, tu commences a perdre quelques bouts de ta soirée.

Puis t'entend une voix, une joli voix. ton oreille droite, ta tête qui se tourne. en face de toi, un visage. t'as l'impression de le connaître, mais tout se mélange. l'obscurité de tes souvenirs. l'obscurité de ton âme. tu plisses les yeux, tu souffres de cet effort. si seulement il n'était pas si transparent, pour toi. si seulement tu pouvais y voir quelque chose. mais rien, rien n'en ressort. ton cerveau ne fonctionne plus. qui es-tu ? qu'elle dit, cette voix. et toi, tu te contentes de hausser les épaules. tu ne sais plus, tu ne sais plus qui tu es. tu bois, doucement. car tu a réussi a te faufiler du bar - bouteille en main. de toute façon jusqu'ici c'est tout ce que tu sais faire à l'heure qu'il est. le reste est vide. plus personne. tu réponds, la gorge nouée. t'as remis tes yeux sur la mer et t'as laissé tes larmes se noyer dedans. t'as voulu sécher le tout, avec une nouvelle gorgée. mais au contraire, ça n'a fait qu'irriter plus ton corps. ton coeur. ta confiance en toi. la voix, elle est toujours là. tu tournes la tête, un peu étourdis, tu ne vois toujours rien. pourtant, cette voix persistes, il y a bien quelqu'un qui marche vers toi, car ta surement pas le droit d'être ici a une heure pareil, et vu ta sale mine. Tu ne sais pas trop comment réagir, ni quoi dire, tu reste un peu bouche-bée, c'est qu'il est encore plus beau a chaque pas qu'il entames vers ta personne. Ta surtout un peu honte d'être dans l'état lamentable que tu es, assise les fesses dans le sable, ta bière a la main, comme une vrai championne. T'aimerais bien te caché très loin, mais tu tente te caché ta bière entre tes jambes repliées et tu lèves les yeux vers lui.

« hé Remy tu pars déjà ? la soirée ne fait que commencer ? mec, un autre verre.  » tu observes ton ami qui t’interpelle. Tu aimerais bien rester, mais tu te connais trop bien. Si tu restes, tu vas boire, tu vas boire à ne plus te souvenir de combien de verres tu as déjà consommé. Demain, tu en subiras les conséquences et tu devras assurer ton poste. Tu préfères arriver à jeun que complètement saoul. Ton métier est important, tu ne peux pas te permettre de mettre en danger les autres à cause de ton état. « Je suis désolé, je dois rentrer. Il y en a qui bosse, pas comme certain » Tu lui tape alors sur l’épaule, ton ami est encore en train de faire des études. Des études qui ont l’air assez barbante, il veut être ingénieur en je ne sais pas quoi, toi, t’es gendarme est ça te suffit amplement. Les études ce n’étaient pas pour toi, puis tu voulais fuir le cocon familial. Ça se passait mal depuis que tu avais seize ans, ils n’appréciaient pas le train de vie que tu menais alors tu étais partie pour Rochefort. « à la prochain les mecs et à toi aussi Léa » tu salues une dernière fois tes amis et tu te diriges alors vers ton chez toi. L’air est frai, il commence à faire bon pour une fin de mois de Mai. Aujourd’hui la météo a était clémente pas de pluie, il a juste fait un peu frai, mais tu aimes ses températures. Finalement, tu n’as pas envie de rentrer directement chez toi. Tu te diriges alors vers la plage du Miramar. Tu aimes bien t’y rendre, seul. Tu aimes te retrouver comme un électron libre dans cet univers. Le soir, il n’y a pas grand monde, enfin en cette saison. Tu sais d’avance qu’à partir du mois prochain, les touristes affleurons vers Biarritz et que vous seriez à pied d’œuvre pour veillez à ce que tout ça se passe bien. Tu retires tes chaussures pour te retrouver pied nu dans le sable. Qu’est-ce que tu aimes cette sensation à croire que tu es né sur la plage. Malheureusement, t’es né dans la ville pluvieuse qu’est Londres. Tu vas vers l’océan, tu commences une promenade le long de l’eau. Tu te souviens que depuis tout gamin tu fais ça, tu marches sur la partie du sable qui est mouillé par les vagues qui se brisent sur la plage. Tu es dans tes pensées quand tu remarques une silhouette féminine se poser lourdement sur le sable. Ton instinct de brigadier ressort, il y a un truc qui sort. Alors au lien de continuer ton chemin tranquillement, tu remontes vers cette jeune personne.   « Mademoiselle ? » aucune réponse de sa part. Tu t’approches un peu plus, en quelques enjambées, tu es as sa hauteur. « Mademoiselle vous allez bien ? » toujours aucune réponse de la blonde. Tu attends qu’elle te donne une réponse positive ou négative, t’attends seulement une réponse. Puis tu aperçois son visage. T’es sur le cul, tu t’installes alors près d’elle. « tiens blondie, je vous retrouve enfin » t’es agréablement surpris, tu ne pensais ne plus jamais la revoir cette fille. Il y a deux ans, tu l’observais depuis la croisette. Tu l’observais de loin, en espérant un jour l’approcher. Quand tu en avais eu enfin le courage, elle était partie. Aujourd’hui, elle était une fois de plus sur cette plage. Tu étais près d’elle, elle n’avait pas l’air bien.  

Tu te laisses porter. tu te laisses mourir. t'as plus la force de tenir. alors tu ne sais plus qui tu es, et tu l'affirmes. t'as pas honte de le dire, même si t'as honte de le battre. « Mademoiselle ? » qu'il dit mais t'es complètement perdue. tu serres un peu ta bière, t'aurais préféré resté seule. Parce que la t'es pas du tout a ton meilleur. « Mademoiselle vous allez bien ? » qu'il redemande. mais tu te contente de boire à nouveau. comme s'il n'y avait que ça pour affirmer, assumer qui tu es. toi, la grande, la forte, qui se retrouve faible et triste. qui se retrouve mangée et sacrifiée. tu ne sais plus qui tu es, parce que tu te laisses avoir par tes sentiments et par ce que certaines personnes sont capables de te faire. tu te tournes vers ce jeune-homme, tu le fixes, pendant une longue minute. « Ça va » que tu réponds alors, sans quitter son regard. toujours blessée, toujours au bord du gouffre et prête à tomber. on n'a juste à te pousser. malgré tout, tu te sens retenue. sans savoir par qui, par quoi. Tu viens de lui répondre assez froidement, c'est pas dans tes habitudes, t'aimes qu'on te vois a ton meilleur, t'es pas cette fille qui se prend des cuites pour oublier et qui fini en larmes. Tu c'est même plus qui tu es... « Tiens blondie, je vous retrouve enfin » qu'il dit, tu fronces les yeux, tu n'est pas certaine de le reconnaître, mais lui semble te connaitre ce qui est assez flippant. Tu observes chaque trait de son visage, il s'est installé lourdement a tes cotés, et tu te sent mal dans ta peau. C'est l'alcool qui ta fait oublier qui il est ou quoi ? Tu prend une autre gorgée en détournant le regard. sourcils un peu froncés en cherchant quoi lui répondre. « On se connais? » que tu avoues finalement, tournant ta tête vers lui a nouveau. t'as envie de pleurer, tu te retiens. t'as trop bu pour que ce ne soit que quelques larmes. Tu tente de remettre ton masque de femme forte, tu sèches tes larmes du mieux que tu peu d'un revers de main tête retournée - t'aurais préféré rencontré ce beau jeune homme ailleurs, dans un meilleurs état, pas sans presque plus de maquillage, les yeux rouges, complètement bourrée sur cette plage les fesses pleines de sable. T'es minable. Personne au monde ne connais cette facette de toi, la fille un peu trop sensible, enfin, elle n'existait pas cette autre toi, depuis Noam...tu comprend même pas en fait - toi qui est si détachée - qui fuit les relations, tu t'était fait prendre a ton propre jeux, c'était lui qui se fichait de tes sentiments, et qui ne te rendais aucun d'eux, ta pleuré, t'était en colère, ta réussi a passé le cap, alors pourquoi t'es en larme et complètement bourrée a remettre ta vie en question? Tu devrais déja être rentré chez toi, ou avec quelqu'un et être en train de faire des folleries. Mais t'a plus envie de ça, d'une relation d'un soir, tu sais plus ce que tu veux en fait. Qu'es que tu veux Lizzie Powell? Tu te pince les lèvres et tend ta bière a cet homme qui s'est installé a tes cotés, tu sais pas pourquoi mais tu lui tends, il y a quelques secondes tu était prête a prendre tes chaussures et t'enfuir, mais la , c'est trop tard il t'a vu,  il a vu cette autre toi, et tu lui esquisses un sourire, tu ne sais pas vraiment ce qu'il va dire, t'espère au fond qu'il ne te questionnera pas trop, et tu détournes le regard a nouveau pour le posé sur les vagues qui viennent séchouées pas très loin de tes pieds.

tu l’observes à la dérobe, elle ne te réponds pas. A-t-elle un souci. Devrais-tu appeler le SAMU ? Tu vois bien qu’elle n’est pas dans un état normal. Enfin, elle a l’air plus triste que la dernière fois que tu l’as observé. Deux ans se sont passées, elle a dû en vivre des choses, puis tu ne la connais même pas cette fille. « ça va» ce ça va n’est pas du tout, un ça va qui dit qu’elle va bien, elle  « On se connais?» tu prends la bière qu’elle te tends. T’es sensé faire quoi avec ? La boire ? La garder dans tes mains ? Lui rendre ? Et puis merde, tu mets le goulot à tes lèvres et tu bois une première gorgée. « heu non pas vraiment. » tu passes ta main dans tes épais cheveux brun, tu ne sais pas si tu dois lui faire cette confidence. Elle a l’air ivre, donc peut-être tu pourrais soulager ta conscience. Peut-être que si tu lui dis que tu l’observe de loin depuis deux ans, cette obsession partira peut-être. Autant tenter le diable, au pire, demain, elle ne se souviendra pas de ce que tu lui as dit. Tu le vois bien avec tous les jeunes que vous ramenez en cellule de dégrisement, la plus part ne se rappel de rien le lendemain matin. Une fois que l’alcool n’est plus, les souvenirs sont vagues. « Je vous ai remarqué sur cette même plage, il y a deux ans. » «  Depuis deux ans, durant l’été je vous observe de loin. Votre chevelure blonde m’intrigue depuis lors. » merde tes mots sont vraiment mal choisie, elle te trouble vraiment cette fille. Tu n’es pas du genre à perdre tes mots, à faire des phrases à doubles sens. En général, tu ne dragues pas les filles viennent vers toi. L’uniforme attire, puis tu n’es pas vilain comme garçon, dont tu n’as jamais eu à aller vers les femmes. Là avec cette femme, c’est différent. Elle a ce truc qui t’attire, qui te fais devenir le mec pré-adolescent que tu n’as jamais été au final. Tu es tous chose devant cette fille. Reprend toi mon pauvre.   « Ne pensez pas que je suis un pervers, loin de là, je suis gendarme » Tu t’excuses comme tu peux, enfin c’est vraiment pas la meilleure idée que tu as eu. Elle est ivre et va croire que tu l’amènes au poste. « Je m’appelle Remy si cela peut vous aider. » tu lui offre ton plus beau sourire et tu lui tends ta main. T’es con mon pauvre, ce n’est pas un supérieur. Technique de drague zéro. D’ailleurs, tu n’es pas en train de la draguer. Tu ne draguerais pas une fille ivre morte.

« heu non pas vraiment. » qu'il te réponds très franchement, tu te met a te faire des scénarios, qui sait il ta peut être croisé au bar ce soir, et il a quelque chose derrière la tête, sa se trouve c'est un tueur en série, mais ta pas très froid au yeux, tu souris bêtement, il ne te dis rien, mais il a ce quelque chose qui te donne envie de continuer a le regarder, alors qu'il restes tu n'en a aucun problème avec ça, tu l'observes prendre une gorgée, tu peu déjà te dire que le mec il n'est pas la pour te faire une leçon de morale, chose qui est quand même assez bien. « Je vous ai remarqué sur cette même plage, il y a deux ans. » «  Depuis deux ans, durant l’été je vous observe de loin. Votre chevelure blonde m’intrigue depuis lors. » qu'il te dit en ramenant ses yeux du large vers ta personne, tu fronces légèrement les sourcils, il y a cette toi super en confiance, qui aurais tellement profité de ça, qui aurais dit tout ce qu'il faut pour être celle qu'il a vu il y a deux ans de ça, mais tu réponds à la place « Ça se trouve je ne suis pas du tout celle que tu recherches aussi, des blondes sur cette plage il y en a beaucoup. » ton rire s'entend a la fin puisque tu lui souries, ta toujours se sourire communicatif, se sourire qui s'entend, t'es pas comme ça d'habitude, mais quand l'alcool te frappe un peu trop fort, tu deviens cette autre partie de toi un peu insouciante, qui manque de confiance, qui est nostalgique.. a fleur de peau.. t'aimerais bien croire que c'est de toi qu'il sagit, mais se genre de chose n'arrive que dans les films. Tu serres un peu les dents sur les vous qu'il mentionne a ton égard « J'ai l'air si vieille et moche que ça, pour être vouvoyé ? Tu peut m’appeler Lizzie tu sais... » que tu lui réponds le plus doucement du monde en reprenant ta bouteille pour la porté a tes lèvres, vous serez très bientôt a court a deux sur une même petite bouteille, peut-être que c'est mieux comme ça au final, vu ton état, le retour serais quelque chose a envisagé très bientôt avant de tomber de fatigue dans les bras de ce parfait inconnu. « Ne pensez pas que je suis un pervers, loin de là, je suis gendarme » Tu souris de plus belle, tu aimerais bien l'avoir remarquer plus tôt, c'est qu'il a l'air d'être quelqu'un de bien, et ça tu le sent, bon t'es complètement bourrée aussi tu pourrais aussi bien te faire ami ami avec ta bouteille, mais tu sais pas pourquoi mais tu te sent en sécurité pour le coup, tu l'imagines en habit de travail, lui reproposant ta bouteille, tu te dis surprise qu'il ne soit pas en train de te viré de cette plage, enfin c'est peut être dans ses plans aussi. Mais pourtant il est là a boire a tes cotés au lieu de ça. Il doit bien voir que t'es complètement ivre. Tu ne cesse de t'en vouloir pour le coup, tu te dis que tu aurais bien aimé le rencontrer dans un autre état que celui-ci « Un très joli gendarme que vous devez faire. » que tu lui lâches a l'arrache, pourquoi tu dis ça Lizzie ? tu sais pas parler au hommes de son type, enfin pas ce genre d'homme surtout, tu manques soit de tact, dis trop franchement les choses et tu les fait fuir. Tu réussis a détacher ton regard du sien, qui y était encré, intriguée il passais d'un oeil a un autre en faisant la navette, comme hypnotisée, mais la tu pose ton regard au loin, ta tête tournes un peu. « Je m’appelle Remy si cela peut vous aider. » que tu entends, « Quel joli prénom » souffles-tu avant de tomber de fatigue, ta tête venant heurté son épaule et tes paupières se fermant lourdement alors que tu pars complètement dans je ne sais quel rêverie.

« Ça se trouve je ne suis pas du tout celle que tu recherches aussi, des blondes sur cette plage il y en a beaucoup. » c’est vrai qu’ici à Biarritz les blondes sont monnaie courante. Tu ne peux pas passer cinq minutes sans en voir une. Les brunes, les rousses, elles sont devenus rares ici. D’ailleurs, tu as eu pratiquement que tes ex-petites copines blondes, il y a jamais rien eu d’autre dans ta vie.     « Peut-être qu’il y en a beaucoup, mais pas des comme vous » non c’est la seule qui a retenu ton attention, celle que tu cherches du regard quand tu es en patrouille près de cette plage « J'ai l'air si vieille et moche que ça, pour être vouvoyé ? Tu peux m’appeler Lizzie tu sais... »  alors comme ça elle s’appelle Lizzie. Est-ce un diminutif d’un prénom plus complet ou simplement son prénom. Elle a une tête à être une Lizzie. Tu secoues la tête quand elle te dit que si tu la vouvoies c’est à cause du fait qu’elle soit vieille et moche. Oh que non Lizzie, oh que non. Bien au contraire, tu es dans la fleur de l’âge et tu es magnifique. Tu ris doucement avant d’ajouter « Oh non vous êtes enfin tu es loin d’être vieille et moche. Bien au contraire. » puis elle reprend parole, tu es envouté par sa douce voix. « Un très joli gendarme que vous devez faire. Quel joli prénom » elle te dit ses mot et plus rien. Tu sens alors sa tête tombée sur toi. tu sens son souffle régulier frôler ta peau. Tu tournes alors la tête « Lizzie… Lizzie » tu essaies de réveiller, mais elle a du ingère bien trop d’alcool. Tu ne peux pas la laisser là. Il faudrait que tu l’amènes à l’hôpital non ? Non, ce n’est pas la peine. Alors tu te redresses tant bien que mal, en évitant de la faire tomber. Tu la prends dans te bras et tu te dires alors vers ton chez toi. Ce n’est pas loin, tu en as même pas pour cinq minutes. Elle va surement te prendre pour un pervers à la fin, mais tu n’allais quand même pas la laisser seule sur le sable non ? Quel mauvais gendarme ferais-tu. Tu l’as dépose dans ton lit doucement. Tu as le temps d’aller chercher un verre d’eau et de l’aspirine. Tu sais qu’elle aura un mal de crane terrible demain. « Bonne nuit » Tu poses un baiser sur sa joue et tu pars t’installer dans ton canapé.

« Peut-être qu’il y en a beaucoup, mais pas des comme vous » des comme toi ? qu'es que tu projettes de différent pourtant ?, t'es presque sur qu'il se trompe pour le coup, ta vu trop de films comme ça, et se genre de choses là, sa n'arrive jamais dans la vrai vie. Tu bloques un peu, tu ne lui réponds rien tu aimerais bien sentir les vagues sur tes pieds mais vous êtes trop loin, tu fermes légèrement les paupières en te laissant imaginé « Oh non vous êtes enfin tu es loin d’être vieille et moche. Bien au contraire. » tu ne saurais même pas aligné deux mots, alors une phrase complète, oublies, t'es la bouteille en main, lèvres près du goulot mais t'en peu plus, tu continues bêtement a boire, comme si c'était la solution pour revenir a la réalité. Car c'est un mirage tout ça, c'est sur, tu te dis que t'es complètement dans les vapes en train de dormir ça se trouve. « Lizzie… Lizzie » t'es déjà partie, mais ton subconscient l'entends, t'es calée contre son épaule, yeux fermés, ta plus de force, ni de parler, ni de boire, tu te rends compte que au final tu as réussi a rester sage ce soir, tu n'est pas rentré chez personne, pour assouvir tes désirs l'espace d'une seule nuit, comme pour te prouver que tu es capable de passé par dessus ta dernière séparation. Chose que tu est définitivement incapable de faire, parce qu'il restes toujours là dans un coin de ta tête, tu le vois un peu partout ou tu vas, mais jamais il ne fait le pas, il se fiche bien des sentiments que tu avais, les siens n'étaient probablement pas comme ceux que tu éprouvaient a son égard. Mais t'en a marre de butiner de fleurs en fleurs, tout ce que tu cherches au fond, c'est l'exception, celui qui te fera complètement oublier tout ça, qui te fera rire, qui t'aimeras a ta juste valeur, te le rappellera tout les jours, ou le plus souvent que possible, ya pas photo tu rêvasse encore a son sujet, tes juste trop conne en fait, de resté accroché a cette histoire, alors qu'il a surement continuer son bout de chemin lui, t'es tellement pas comme ça d'habitude, tu fuis les relations, mais t'a grandi , ouais ta grandi Lizzie Powell, et tu veux d'une relation comme on t'es copines, fiancées, mères, mariées, tu veux la total, la maison, la voiture, le boulot, la cuisine a deux, le chien, les soupé romantiques, tout ça quoi... [...]

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Tu clignes des yeux deux ou trois fois, t'es pas chez toi ça c'est certain, t'es pas dans ton grand lit baldaquin, avec tes rideaux blanc de fille riche, mais t'es pas dans un trou perdu non plus, le lit est confortable... mais t'es ou ? chez personne que tu ai l'habitude de te retrouver dans tout les cas. Tu sais même pas comment réagir, te levé en panique ? t'enfuir en douce ou bien refermer les yeux en espérant te réveiller d'un mauvais rêve, t'as cet arrière goût de bière au lèvres, ce mal de crane imminent, tu te prend la tête d'une main, te retournant légèrement la tête contre l'oreiller, c'est la que tu vois un verre d'eau et de l'aspirine, ça se trouve c'est Noam qui va revenir , ou une fille, ou les deux t'sais ? mais ou est-ce que t'a bien pu finir comme ça Lizzie, tu fermes les yeux a nouveaux.. t'essaies de recoller les morceaux, tu te lèves doucement du lit, ton regard sillonne la pièce en recherche d'indices, les couleurs sont bien agencées, une vrai chambre de garçon pourtant, tu découvres quelques truc ici et la, tu ouvres finalement les rideaux doucement en plissant les yeux face au soleil matinal, tu baisse légèrement les yeux voyant ton reflet , tu constates que t'es en sous-vêtement, t'es pas nu , chose anormale, c'est plutôt bon signe non ? tu les a peut être viré pendant ta nuit de sommeil, tu ne connais pas cette rue, cette vue dehors ne te dis rien, tu continues le pas jusqu’à sa penderie, fouines que tu es, tu l'ouvres, chemises , jeans et cravates y sont de mises, tu souris, quelque peu rassurée, tu entend quelques pas venir au loin, et tu refermes aussitôt celle-ci en attrapant les draps blanc pour t'en couvrir. « Je hum, c'est pas ce que tu crois...je cherchais une robe de chambre ou quelque chose a enfiler.. je ne trouvais pas mes vêtements... »

ta nuit sur le canapé a été des plus douloureuse. Il est peut-être temps que tu penses à le changer. Enfin logiquement, tu n’es pas sensé dormir ici, tu as ton lit bien à toi, mais occupé pour le moment. Habituellement, ça ne te dérange pas temps que ça d’occuper ton lit avec une femme, seulement là, ce n’est pas pareil. Tu ne la connais même pas, elle était ivre quand tu l’as ramené. Tu ne veux pas passer pour un salopard. Tu préfères avoir des courbatures de partout qu’on te reproche d’avoir profité de la faiblesse d’une femme. Puis depuis que tu es gendarme, tu ne fais plus autant le con. Tu n’as pas envie que ton boulot saute à cause d’un plainte ou d’une femme qui vient faire des ragots à ton compte au commissariat. Tu te lèves quelles heures plus tard, il est encore tôt et comme tu n’as pas de gueule de bois, tu te lèves en forme. Enfin mise à part les douleurs que tu as au dos. Tu vas te prendre un café fumant, avant de vouloir prendre une douche bien chaude. Merde tes affaires sont dans la chambre. Qu’est-ce que tu dois faire ? y aller ? Attendre qu’elle se réveille. Elle risque dans avoir pour des heures à émerger vu dans l’état dans lequel tu l’as trouvée. Tu appelles le commissariat, leur demandant une journée. Tu ne peux pas laisser cette fille seule ici. qu’est-ce qu’elle risque de faire en ton absence. Tu vas prendre tes affaires discrètement à pas de loup. Elle dort encore, elle gigote, c’est bon signe, elle est encore en vie. Il est midi, tu es encore sur ton canapé à zapper ne trouvant rien de bien intéressant à la télé. Tu es en train de boire un café, un faux mouvement et le liquide brun se repend sur ton tee-shirt. « hé merde. » faut que tu retournes dans ta chambre, tu peux pas rester comme ça. Elle ne doit pas encore être levée, tu n’entends pas de signe de vie. Tu ouvres doucement la porte et tu regardes ton lit. Il n’y a plus personne. « oh pardon, je croyais que tu dormais encore » tu l’as trouvé devant ton placard enroulée dans ton draps. Elle est magnifique comme ça. « Je hum, c'est pas ce que tu crois...je cherchais une robe de chambre ou quelque chose a enfiler.. je ne trouvais pas mes vêtements... » tu hoches la tête, c’est toi qui les as, seulement, elle ne le sait pas. « tes vêtements, je me suis permit de les prendre, ils sont en train de sécher, je fais une lessive. » quand tu as vu ses fringues au pied de ton lit remplis de sable, tu n’as pas réfléchi longtemps, elle ne peut pas repartir d’ici comme ça. que diront tes voisins s’ils la voient sortir d’ici comme ça ? puis tu ne peux pas la laisser partir comme ça. « en attend, si tu veux, tu peux enfiler ça. » tu sors de ton armoire, les fringues de Marlow. Tu as toujours une ou deux affaires à elle, quand elle passe la nuit chez toi. Enfin, ça fait bien longtemps qu’elle n’est pas venue « c’est à ma sœur, vous devez faire la même taille. » tu préfères préciser, qu’elle croit pas que tu es une copine ou une femme. Pour qu’elle psychote pas trop à l’idée que tu es dormi chez un mec maqué. Tu retires alors sans gêne ton tee-shirt sale avant d’en enfiler un nouveau. « ça va la tête ?»    

Après être lourdement tombé a cause de l'alcool la nuit dernière, ta trop bien dormi, comme un bébé, le reveil n'est jamais bien agréable, comme toujours, tu regrettes un peu, même si t'a aucun souvenirs, tu te dis, qu'il serais temps de faire un peu plus attention lorsque tu bois, et trouver tes limites et t'y tenir, afin que ça ne dérappes plus comme hier soir. Quand tu commences a manqué des bouts, c'est pas super quoi. Il te surprend, enroulée dans ses draps blanc devant sa penderie refermée tu ne sais pas du tout comment réagir, pour le coup tes joues rosies te trahissent « Oh pardon, je croyais que tu dormais encore » Tu l'observe longuement de la tête au pieds - perdue dans cette vision plus que grandement agréable, tu as même un long moment d’absence qui semble s’éterniser. Ta lèvre inférieure se retrouve prisonnière entre tes dents alors que tu détourne le regard un vif instant... pour finalement retourné vers lui de plus belle. « Je viens tout juste de me réveiller » Tes yeux descendent jusqu’à la ceinture de son pantalon avant de remonter et de se confronter au regard surpris du jeune homme. « tes vêtements, je me suis permit de les prendre, ils sont en train de sécher, je fais une lessive.» Tu pinces tes lèvres a nouveau, ça te plait bien qu'il soit gentleman, et qu'il ai pris soin de laver tes vêtements plein de sable, et probablement qu'ils devaient empester l'alcool aussi.. t'a jamais vraiment eu se genre de petites attentions lorsque tu découchais de la maison, t'es surprise voilà, t'es prise au dépourvu, t'es même un peu gênée de ne pas te rappeler de son prénom. - Merci ... que tu lui réponds doucement, avec ta mine toute timide. T'es pas toi, t'es pas du genre a te laissé intimider par personne pourtant, mais il te déstabilises complètement. « en attend, si tu veux, tu peux enfiler ça. » il te tend des vêtements de femme, un jean, un haut, une robe, il te donnes un peu l'embarras du choix, mais tu optes pour le bon vieux jeans et le t-shirt, pour le coup tu te sent pas très a laise de porter les vêtements qu'il t'offres, ils sont a qui d'ailleurs ? « c’est à ma sœur, vous devez faire la même taille. » Qu'il poursuit aussitôt, ce qui te permet de viré cette idée d'homme marié de ta tête, t'en est plutôt soulagée, tu souris en guise de remerciant. « C'est exactement a ma taille.. merci beaucoup  » Il retires tout a coup son t-shirt, t'avais remarquer cette tache avant qu'il le vires, il le fait sans gêne, t'es la juste devant lui, quel genre de nuit avez vous eu ? Tu dois avoir l'air un peu ridicule a te cacher avec ses draps alors qu'il ta surement vu cette nuit, tu ne réfléchis pas plus que ça, tu remet la couverture sur le lit, attrapes le t-shirt, l'enfiles par la tête, les épaules et l'ajustes comme il faut. C'est un joli haut, sa soeur a du goût ça c'est certain. Il te va comme un gant, tu fait la même taille que sa soeur. Tu souris. « ça va la tête ?» comment va ta tête ? elle est un peu en vrac pour dire vrai, tu te rappelles seulement de quelques bouts de ta soirée, tu te souviens l'avoir vu hier soir, mais ou, quand, et comment ? tu te sent complètement conne de ne pas t'avoir souvenue de son prénom pour le coup. T'aimerais bien qu'il te rafraîchisses un peu la mémoire, mais t'ose pas en même temps, tu replaces tes cheveux, prend le jean, l'enfiles une jambe après l'autre, remonte la fermeture et le bouton en relevant les yeux vers lui, c'est presque mignon de le voir détourner les yeux, il te plait ce garçon. « Un peu mieux, merci pour les aspirines et le verre d'eau... je heum... j'ai jamais aussi bien dormi pour dire juste.. »

toi ça te gêne pas vraiment de te mettre torse nu. Tu n’es pas pudique pour un sous, donc c’est comme si tu te mettais torse nu pour aller à la plage. Puis tu te doutes très bien que des torses, elle a dû en voire dans sa vie. Elle n’a pas l’air du genre fille prude, qui rougis pour un rien, non, elle a l’air de ce genre de filles qui a plein d’assurance, qui n’a peur de rien ou presque et tu n’as pas peur de donner son opinion. Ce genre de fille qui te plait. tu n’as pas besoin d’une énième cruche à ton bras, tu en as un peu marre de ce genre de fille. De toute façon, pourquoi tu penses à ça vous en été pas du tout à vous mettre ensemble. tu ne sais que son prénom à cette fille. « C'est exactement a ma taille.. merci beaucoup » tu enfiles donc le fameux tee-shirt, sur toi tu connais son nom et son corps maintenant. Est-ce que c’est le fait que tu te foutes à moitié à poil qui lui fait agir comme ça. tu es un peu gêné, ouai, t’es assez gêné quand même. tu es du genre à profiter de la vue quand une jolie fille est près de toi. là c’est pas pareil, tu comprends pas pourquoi tu agis comme un jeune puceau. Tu baisses les yeux « ah… heu… désolé. Je me retourne » et tu te tournes et tu attendent patiemment qu’elle s’habille. Elle a quand même un corp magnifique cette fille. si tu l’avais connu quelques années avant, quand tu étais encore le jeune Rmy pas trop sage, tu lui aurais déjà sauter dessus. Tu serais déjà dans ton lit entre ses longues jambes. Seulement, tu n’es plus ce gars-là, tu es plus calme maintenant «Un peu mieux, merci pour les aspirines et le verre d'eau... je heum... j'ai jamais aussi bien dormi pour dire juste.. » elle doit avoir fini de s’habiller alors tu te retour. Bordel, t’aimes ta sœur, mais ça lui va beaucoup mieux à elle. Enfin elle est plus en forme que ta sœur, enfin tu n’as jamais eu ce genre de regard sur elle. là tu baverais presque. Merde ressaisit toi Remy « ah ben j’en suis heureux que tu es bien dormi dans mon lit, pour ma part, j’ai passé la pire nuit de ma vie. Mon canapé n’est pas du tout agréable. » puis avec un air taquin, tu lui dis. « J’aurais peut-être du te rejoindre » puis tu vois qu’elle est assez songeuse, alors dans le vent tu essaie de la rassurer   « ah et pour info, le Remy sérieux était de sortie hier, je ne t’ai pas toucher. Je vois bien que tu es en train de te poser des questions. tu as faim ? tu as soif ? enfin en non alcoolisé, je veux dire »

« ah… heu… désolé. Je me retourne » tu trouves ça complètement mignon, tu sais pas vraiment, mais il a ce quelque chose qui le différencie de tout ses hommes chez qui ta pu finir. Enfin un avec de la classe, t'es pas habitué a ça, même toi tu sais pas tellement comment agir, t'as pourtant cette envie de grimper directement sur le lit, sauter dans ses bras, et l'embrasser sauvagement tellement il est beau, t'imagines bien la scène quoi, c'est toi, t'es comme ça, mais t'a cette envie de faire différent, ta plus d'alcool dans le sang non plus, donc t'es pas chaude comme la braise, lui faire peur, c'est pas vraiment ce que tu recherches. t'enfiles les vêtements de sa soeur, t'es pas pour restée en sous-vêtements, même si au fond c'est quelque chose qui ne te gênerais pas du tout « Ah ben j’en suis heureux que tu es bien dormi dans mon lit, pour ma part, j’ai passé la pire nuit de ma vie. Mon canapé n’est pas du tout agréable. » t'échappes un petit rire, il te confirme avoir dormi sur le canapé, encore quelque chose que tu n'est pas tellement habitué de vivre. N’importe quel imbécile heureux aurais profiter du fait que tu était complètement ivre la nuit dernière. « Oh... tu aurais pu prendre le lit et moi le canapé. Déja que t'as pris soin de me ramener.. » tu marques une pose t'imagine bien le réveil que t'aurais eu, un peu surprise, mais t'aurais fini par te dire, oulala, c'est avec lui que j'ai terminer ma soirée, quel homme. « J’aurais peut-être du te rejoindre » tu répliques, «  J'avoues que j'aurais été un peu plus sous le choc au réveil, mais je ne pense pas que j'aurais pris la fuite .. qui prendrais la fuite devant quelqu'un d'aussi séduisant. » que tu souffles finalement avec franchise. Tu te demande depuis combien de temps il est levé, si il a réussi a dormir un peu aussi t'sais. « Ah et pour info, le Remy sérieux était de sortie hier, je ne t’ai pas toucher. Je vois bien que tu es en train de te poser des questions. tu as faim ? tu as soif ? enfin en non alcoolisé, je veux dire » tu souris de nouveau, le Remy sérieux ? alors il y en a un pas sérieux, ça t’intéresse ça, t'en prend note dans un coin de ta tête, tu acquiesces d'un petit signe de tête, tu veux bien manger un morceaux histoire de remettre ton estomac en forme ce matin après ta cuite d'hier « Tu fait de bon déjeuné au moins ? » que tu lui lance taquine, un sourire au coin des lèvres bien décidé a passer la journée avec ce charmant inconnu.

Spoiler:

elle rit, au moins. Son rire remplis ta chambre, remplis ton cœur. a croire que tu n’avais jamais encore entendu une femme rire. Non tu en as entendu des masses de rire, seulement celui-ci est particulier. Il est cristallin, vrai et il a le don de te charmer encore plus que de la voir. « Oh... tu aurais pu prendre le lit et moi le canapé. Déja que t'as pris soin de me ramener.. J'avoues que j'aurais été un peu plus sous le choc au réveil, mais je ne pense pas que j'aurais pris la fuite .. qui prendrais la fuite devant quelqu'un d'aussi séduisant. » tu lui souris, tu es flaté dans ton égo de mec. Oui, elle te trouve a son gout, à moins qu’elle ne te dise ça juste pour te faire plaisir. Qu’elle est polie. Enfin toi, tu veux que ça soit un compliment. Alors c’est un compliment qui vient de sortir de sa bouche. « Tu fais de bon déjeuné au moins ? » elle te regarde un peu trop fixement dans les yeux. Ce sourit t’appelle, te tende. Le Remy sérieux disparait doucement, laissent place au Remy frustrée de ne pas avoir pu toucher son corps. Alors sans t’en rendre compte, tu t’avances vers elle. « Normalement oui, mais j’ai faim d’autre chose. »tu sais pas ce qui te prends exactement, mais tu as cette envie qui grandit en toi. Tu ne peux pas la contrôler, tu te contrôle plus du tout. Tu t’approches d’elle, tu laisses tes mains attrapes les anses du jean et de l’approcher de ton corps. Tu plantes tes lèvres sur les siennes, tu n’y vas pas avec douceur. Non, tu n’es pas comme ça, cette envie présente te fais perdre tout ton bon sens. Tu la fais reculer vers ton lit. Elle y tombe à la renverse et tu la suis. Tu continues à embrasser ses lèvres avec la même fougue. Puis soudain, ton esprit refait surface. Tu lâches ses lèvres et tu te roules sur le côté, te retrouvent ainsi allongé près d’elle. Tu fixes le plafond et tu t’excuses doucement. Elle doit être surprise de ton attitude. Tu lui dit que tu es sérieux et tu lui sautes presque dessus. « excuse-moi, je ne sais pas ce qui m’a pris » tu attrapes une mèche de ses longs cheveux blonds et tu l’enroules autour de ton doigt. Putain qu’est-ce qu’elle te fait faire cette femme !    

« Normalement oui, mais j’ai faim d’autre chose. » il avance le pas vers toi, tu ne prend pas la fuite, on peu déja voir le sourire qui s'installe au coin de tes lèvres, t'aime ça au fond de toi quand quelqu'un perds ses moyens devant toi, t'es même très surprise qu'il ne t'ai pas rejoint plus tôt, pendant la nuit même, peut-être qu'au final c'est une bonne chose, que vous partiez d'une autre base, t'es pas habitué a se genre de situations, au lendemain comme ceci, sa réponse te surprend un peu, c'est justement le Remy pas sérieux qui viens de passer au mode on, t'aime ça, ses mains attrapes les anses de ton jean pour t'approcher contre lui, ta main s'aggripe instinctivement a sa nuque lorsque vos lèvres se rejoignent, tes paupières se referment doucement, tandis que tes lèvres se moulent parfaitement au siennes , prolongeant se baisé rempli de fougue. Il te fait basculer sur le lit défait, tes mains se font baladeuses elles aussi, et l'appel de son corps contre le tien se fait ressentir en toi, elles glissent sous son t-shirt pour s'accrocher a son dos, l’égratignant légèrement au passage afin de lui montrer le désir que tu éprouves pour qu'il continues. Mais tout a coup il relâche tes lèvres, se roulant a tes cotés, il semble pensif, ça t'agace un peu,  tes sourcils se froncent, ta fait quelque chose de mal ? « Excuse-moi, je ne sais pas ce qui m’a pris » tu te retournes vers lui, l'insitant a levé son bras pour te lover dans le creux de celui-ci, ta main se posant sur son torse, du bout des doigts tu caresses sa joue pour la faire basculer dans ta direction, et tu lui souris, parce que t'es comme ça, ton regard fait la navette dans son regard, puis tu lui lances a ton tour, « Ne t'excuses surtout pas pour ça » , tu suit son regard lorsqu'il joue avec une mèche de tes cheveux et du bout du doigt tu caresse ses lèvres, soucieuse. « Et si tu recommençais ? sans te prendre la tête.... » car c'est trop tard, ta envie de lui maintenant, tout de suite, tu te fiche pas mal de ne pas le connaitre, de tout le reste, au fond t'es habitué comme ça, les relations t'es pas douée pour ça, tu n'attire pas les mec sérieux.

tu sais pas ce qui t’as pris, non tu sais pas ce qui t’es passé dans ton cerveau pour que tu agisses de la sorte. Lizzie a eu l’air d’apprécier ton geste, toi aussi, faut pas se mentir. Ça fessait longtemps que tu n’avais pas ressenti ce truc quand tu embrasses avec plaisir une femme. Tu sens ses mains griffer ton dos, tu n’as pas mal au contraire ça te fait basculer un peu plus dans le Remy qui tu essais de ne plus être. C’est à ce moment-là que tu reprends tes esprits, tu ne dois pas faire ça, ce n’est pas bien du tout. Tu t’écartes d’elle, même si ton corps voudrait rester tout près, elle se calle alors dans le creux de ton bras et tu sens le bout de ses doigts sur tes lèvres. Bordel, qu’est ce qu’elle te fait cette fille. Elle te chamboule, te bouscule, te fais revenir en arrière. Est-ce une bonne chose ? tu sais pas vraiment  « Ne t'excuses surtout pas pour ça et si tu recommençais ? Sans te prendre la tête.... » sans te prendre la tête ? Est-ce que c’est possible. Tu sais quel genre de mec, tu es quand tu ne penses à rien.  « je ne voudrais pas que tu penses que je profites de la situation » tu observes son visage, tes yeux se posent directement sur ses lèvres. Tu as envie de recommencer, ce n’est pas un bonne d’idée et puis merde ! « seulement j’ai envie de toi depuis que je t’ai vu sur cette plage, il y a deux ans. » Tu approches tes lèvres de siens et tu te perds une fois de plus. Tu prends avec fougue ses lèvres, tes mains sont aussi baladeuses que les siennes. Tu passes sous le t-shirt qu’elle vient à peine d’enfiler et tu caresses sa peau douce, agréable, envoutante.  

HRP: