(Matt) maybe

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Ariane n’avait pas menti quand elle disait qu’elle était en manque. La jeune femme a fondu sur lui à une vitesse interstellaire dépassant Mach 3. Elle a su lui transmettre cette envie incandescente qui partout se répand comme un poison exquis qui coule dans les veines. Parce que Matt n’est pas complètement tourné vers l’acte et pourtant tous ses sens sont en émoi. Il pense à Louise, au goujat qu’il est de lui faire un tel affront, mais en même temps, il ne peut pas résister à la bombe humaine qu’est la jeune Tellier. Il s’est laissé convaincre parce qu’il veut profiter l’enfant de Biarritz. Il ne veut pas se marier, il ne veut plus s’enchainer à quelqu’un à seulement 21 ans. Ca fait trop de changements dans sa vie entre le rugby et les relations sociales. C’est triste, mais il ne se voit pas père comme ses parents si jeune, il ne veut pas des responsabilités. Tout ce qu’il veut à cet instant, c’est chérir le corps d’Ariane comme si c’était la huitième merveille du monde. Et c’est ce qu’il fait. La sentir contre lui est une sensation inexplicable, comme si le monde n’existait plus et s’arrêtait à cette pièce pourtant loin d’être exceptionnelle. Il s’enivre des baisers fougueux d’Ariane qui est clairement décidée à remédier à sa période de chasteté. Il sent le corps d’Ariane monter en température contre le sien, sa poitrine se soulever avec intensité et lui bouillonner d’envie. Le souffle saccadé il peine à trouver sa respiration proprement, lui qui est pourtant sportif. C’est tout l’effet qu’elle lui fait, et elle s’occupe tel un TGV, de lui retirer ses vêtements et les siens, leurs corps s’appelant irrémédiablement. Au rythme des baisers, leurs langues rentrent dans une danse lascive et effrénée qui semble trop grisante pour la stopper. Alors qu’Ariane laisse parcourir ses lèvres sur le corps quasiment nu du rugbyman, il laisse échapper un râle, soufflant : « T’arrêtes pas… » Il l’implore presque car cette sensation, ce sentiment d’éternité d’être chéri comme une divinité, ça le transporte dans une toute autre dimension. Elle saisit alors sa main pour le trainer vers les douches en tenue d’Adam et d’Eve, prêts à commettre le péché de tentation divine. L’eau se met à se déverser sur eux et attise encore un peu plus l’envie d’elle chez l’Anglais qui sous l’emprise d’un certain choc thermique frissonne de tout son être. Ses mains, tandis que ses lèvres ne quittent plus les lèvres pulpeuses de la jeune étudiante, elles glissent sur les courbes galbées de la jeune femme, il redécouvre chaque détail jusqu’à ce qu’elles effleurent l’intérieur de ses cuisses, et qu’une de ses deux mains effrontées rentre en contact avec l’intimité de la belle Tellier, attisant un peu plus le feu qui les consume tous les deux, ne la quittant plus du regard, alors qu’il ne souhaite qu’une chose à présent, s’unir à elle dans une explosion d’ivresse. S’approchant de son oreille, quittant momentanément ses lèvres, il soupire et lui murmure : « J’ai envie de toi comme jamais… » Elle a réussi à le transformer en feu ardent.

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« T’arrêtes pas… » qu'il murmure alors que tu déposes tes lèvres sur son torse. non, oh non, tu ne comptes pas t'arrêter, ça jamais, il faudrait te mettre une camisole de force pour que tu cesses tout mouvement, pour que tu t'écartes et t'en aille. t'en es strictement incapable. t'as trop envie, de lui, de tout ça, de sentir ses mains encore et encore contre ton corps, de sentir sa peau contre ta peau. rapidement, tu l'entraînes dans les douches, retrouvant votre proximité. l'eau froide vient ruisseler sur vos corps, sur ton corps, qui en tremble presque alors que tes mains sont plaquées sur le corps du rugbyman, tandis que lui, est parti à la découverte, ou plutôt la redécouverte de ton corps. tourbillon de sensations. multiples saveurs, tu gémis immédiatement quand sa main descend plus au sud. cette sensation, elle t'avait manqué, cette sensation elle t'avait bien trop manqué, et là, tout de suite tu ne veux pas qu'il s'arrête non, tu veux qu'il continue, tu veux qu'il continue encore et encore. ta tête à du mal à ne pas se pencher vers l'arrière sous l'effet, tu résistes, comme tu peux alors que tes mains trouvent appuie sur ses épaules. en un mouvement, vos lèvres se quittent tandis que les siennes glissent jusqu'à ton oreille. tu le laisses venir alors qu'il vient murmurer quelques mots. « J’ai envie de toi comme jamais… » le feu ardent jailli en toi, c'est ton bas-ventre qui réagit, c'est ton ventre qui se tort, ton coeur qui explose dans ta poitrine. il n'imagine même pas le quart de l'effet qu'il a sur toi, le quart de l'effet de ses mots qui viennent se perdre dans ton esprit. il a envie de toi .. de toi. sans plus tarder, tes lèvres agrippent les siennes, descendent dans son cou, son torse, tu descends encore, trouvant son ventre, tu le cherches, tu veux encore plus attiser ce feu, mais au final, tu sais que tu craqueras la première parce que tu en as trop envie, bien trop. c'est inhumain.« porte-moi .. » que tu souffles alors en levant une de tes jambes qu'il attrape rapidement. ton corps se colle contre le sien et tes lèvres repartent à la recherche des siennes. la danse commence à peine mais tu ne peux pas t'empêcher de suffoquer de plaisir et d'envie envers ton ex. il t'anime, c'est indéniable, il réveille quelque chose en toi qui était endormi pendant bien trop longtemps. « moi aussi Matt .. j'ai envie de toi. » c'est comme un accord non dévoilé pour qu'il joue de son corps sur le tien, contre le tien.

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Comment en est-il arrivé là ? Lui qui était sûr de ses sentiments envers Louise se retrouve dans les vestiaires en passe de s’envoyer en l’air avec Ariane. Le pire dans tout ça, c’est qu’il n’y pense même plus, vibrant sous l’impulsion des baisers chauds de l’étudiante, en redemandant sans relâche. Elle sait alimenter le désir chez le rugbyman, après tout ils se sont déjà fréquentés par le passé ; elle sait ô combien Matt est sensible sur certaines zones bien plus érogènes. Le contact des lèvres d’Ariane sur sa peau le transcende, les gémissements de la belle jeune femme irradient son corps d’un bien-être pourtant loin d’être à son paroxysme. Alors il continue effrontément, sous l’eau qui continue de se déverser sur leurs corps en fusion, de laisser ses doigts experts glisser sur la partie la plus intime de la jeune femme, jouant avec le contact, tandis qu’il dépose des baisers et des morsures au creux de son cou, avidement. L’envie d’elle se fait oppressante, et il semblerait qu’elle partage impunément la même envie puissante que de s’unir l’un à l’autre. Le langage du corps parle pour eux. Si Ariane essaie de résister à l’envie qui la consume petit à petit, elle n’est pas avare en partage de sensations, et le corps de Matt se contracte et se cambre sous l’effet impétueux de l’exploration de son corps par la jeune étudiante. Matt lâche des soupirs de plus en plus fréquents, joint ses mains à celles de la jeune femme, serrant ses phalanges à ne plus en avoir. Il est temps qu’ils scellent leur désir commun pour atteindre des sommets jamais effleurés. A sa demande, l’Anglais attrape la jambe de la belle et reprend l’objet de la tentation dans ses bras. Retrouvant ses lèvres, leurs langues rentrent dans une longue danse effrénée, interminable, leurs souffles se raréfiant tout en se maintenant en vie par leur partage. Putain qu’il la désire. Son corps est bouillant, crevant l’envie de succomber à cette tentation divine qu’elle représente, et sous les mots qu’elle prononce enfin il se déplace légèrement pour s’unir à elle dans un premier coup de reins qui sera suivi par de nombreux autres, entrecoupés de râles, de gémissements et de prénoms bien particuliers jusqu’à la délivrance, le soulagement d’avoir accompli un désir devenu ingérable. « Des fois je me demande pourquoi on s’est séparés… » Souffle-t-il alors qu’il s’écarte d’elle et qu’il se saisit d’une serviette dans son sac qu’il tend à Ariane. Lui s’en prend une seconde et se rapproche d’elle en lui souriant : « J’espère que tu regrettes pas d’avoir mis un terme à ton abstinence… »

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la délivrance est telle que tu as presque l'impression que c'est la première fois que tu le fais. presque, évidemment. c'est la redécouverte des sensations qui t'ont terriblement manqué. tu t'en demandes presque comment tu as fais pour tenir autant de temps sans connaître ces plaisirs de la peau contre la peau, de la chaire entrant en contact avec l'autre. c'était bon, tellement bon que t'en redemanderais presque, mais il faut que tu te montres sages. évidemment? « Des fois je me demande pourquoi on s’est séparés… » qu'il te souffle en te tendant une serviette; tu t'en empares tu la cales autour de ton corps, sagement et tu hausses les épaules en le regardant. « tu avais le rugby, j'avais le rugby, on était dans nos mondes respectifs et on n'avait pas l'temps de se donner du temps quelque part. alors j'pense que c'est pour ça qu'on s'est séparé Matt. tu avais tes priorités et j'avais les mêmes. mais quelque part, sans cette rupture, on aurait possiblement pas vécu ça dans les douches des vestiaires. » tu lui dis simplement en souriant alors qu'il s'approche de toi. « J’espère que tu regrettes pas d’avoir mis un terme à ton abstinence… » qu'il te souffle alors et tu souris, un grand et beau sourire. « attends, laisse moi réfléchir .. je pense que je ne verrai jamais plus ces douches comme avant. » tu lui réponds, le sourire aux lèvres, comme toujours. tu t'approches à ton tour, tu réduis la distance, tu te mets sur la pointe des pieds pour atteindre son visage et tu déposes un baiser juste là, au coin de ses lèvres, le regard brillant de sensualité. « tellement qu'il faudra qu'on remette ça. si tu veux. » tu lui souffles, à ton tour avant de reculer et de retirer la serviette pour t'occuper de sécher ta chevelure. tu fais exprès, c'est vrai, te retrouver de nouveau nue devant lui, pour lui donner envie, évidemment.

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« T’as raison…Quelque part, ça me convient. » Qu’il avoue alors. Tous les deux se seraient ennuyés si leur relation avait continué sur la distance. Elle est dans le vrai Ariane. Ce qu’il leur faut à tous les deux, c’est peut-être un peu de sexe régulier, de quoi se faire plaisir, de dégourdir les jambes, sans penser à l’avenir, sans songer à se mettre en couple. Ce mot lui revient en tête, parce qu’évidemment Matt n’est pas célibataire. Il s’affiche aux bras d’une autre que celle avec qui il vient de vivre un moment intense et grisant au possible. Le pire dans tout ça ? C’est qu’il ne culpabilise pas, qu’il le referait si c’était à refaire, et qu’il y prendrait gout. Louise n’est pas tombée sur la bonne personne, il faut croire. Il n’est pas celui qu’elle pensait qu’il serait. Il décevrait tout le monde si ça se savait. Mais, personne n’est obligé de le savoir. Il a beau être une star du ballon ovale, il est capable de conserver des secrets, et cette petite escapade aux côtés d’Ariane peut en être un. « Je crois que je suis pas fait pour être en couple de toute façon… » Une suggestion implicite. Toutefois, il a l’intime conviction que ça n’en restera pas là. Elle l’attire indéniablement, tel un aimant. Elle attise un feu crépitant ardemment au sein de son être et l’alimente par son attitude mutine. Cet endroit sera marqué à tout jamais par leurs ébats torrides. Il ne lui reste plus beaucoup de temps à passer ici, mais à chaque fois qu’il y reviendra, il songera de nouveau à leurs corps unis, aux gémissements répétés de la jeune femme sous l’impulsion de son bassin comme à ses lèvres pulpeuses qu’il dévore comme un bonbon. « Pour le peu de temps qu’il me reste ici, maintenant, je penserais à toi systématiquement… » Qu’il avoue enjôleur au possible. Ariane comble une nouvelle fois la distance entre eux, déposant un baiser à la commissure de ses lèvres pour l’inviter à remettre ça. Il ne se pose pas la question. Pour lui, il n’est plus question de bon comportement. Il la désire ardemment, il sait déjà qu’ils remettront ça. « Tu sais te faire désirer… » Admet-il en la contemplant sans ménagement aucun, se mordillant la lèvre d’envie. Et puis il vient entourer sa taille de ses bras forts, et la force à se relever pour lui faire face, capturant avec virulence ses lèvres, n’hésitant pas à les mordiller. Et puis, il descend dans son cou, laissant une marque bleuie visible, comme pour sceller un pacte, avant de dire : « Je propose qu’on remette ça dans des endroits différents à chaque fois. » Ca permettrait d’éviter qu’on les trace.

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« Je crois que je suis pas fait pour être en couple de toute façon… » qu'il te sort alors, et toi, tu souris doucement. tu penses avoir gagné et en même temps perdu. oui, bien sûr que tu t'en veux pour louise, c'est mal ce que tu fais ... mais tu penses comme lui, tu ne l'as jamais vu pour être en couple. t'es presque sûre que lorsqu'il était avec toi il a du te tromper, de temps en temps, ça ne te choquerait même pas. est-ce si grave que ça ? t'en sais trop rien, mais tu t'en fiches. « j'suis un peu pareil » tu sors alors, tout simplement. t'es même trop similaire, t'es pas faite pour être en couple, t'as essayé, t'as tenté, mais tout se retourne sans cesse contre toi. « Pour le peu de temps qu’il me reste ici, maintenant, je penserais à toi systématiquement… » qu'il te répond, sous ses airs qui te font vibrer presque immédiatement. toi aussi, tu vas repenser à ce moment, toi aussi, tellement que tu lui demandes de recommencer, encore et encore. c'est ça, juste un peu de sexe, de temps en temps, pour vous canaliser, ensemble, t'en demandes pas plus, tu ne lui en demandes pas plus à Matt. « Tu sais te faire désirer… » qu'il sous-entend avant de te capturer. tu te laisses aller dans ses bras qui t'encerclent immédiatement. cette force qu'il exprime dans ses gestes, c'est tout ce que tu veux, tout ce à quoi tu ne peux résister. t'en as trop besoin. il embrasse, tes lèvres, ta peau, ton cou, tu fermes les yeux un instant. « Je propose qu’on remette ça dans des endroits différents à chaque fois. » qu'il chantonne, et tu souris. « avec plaisir .. » tu murmures avant de t'habiller rapidement. tu t'approches, tu plantes un baiser sur ses lèvres, bien trop innocent par rapport à ce que vous venez de vivre puis tu t'éloignes vers la porte que tu déverrouilles. « à la prochaine Matt .. » tu lui lances, sourire aux lèvres avant de disparaître.

» test me (Matt)
» outlaws w/Matt
» (MATT) oh man, this is going to be a long day!
» matt & numa
» mattonny is real (w/ matt)