loreleï | rien qu'un euphémisme.

ಌ

Loreleï Bazarov

We begin by joints or condoms ?

prénom : Loreleï, ou le prénom du rocher qui surplombe le Rhin. C’est cool, j’ai un nom de rocher ! Bon, certes c’est le nom de la sirène d’un mythe, puis un prénom qui tenait à cœur à ma mère –haha, la grosse blague-. Puis si on part dans ce sens, y’a un poème de ce cher Guillaume Apollinaire qui s’appelle comme ça, ou encore une chanson de Thiéfaine. Fin bon, ils auraient quand même pu me trouver un autre nom. Mais il est quand même mieux que mon second prénom, que je préférerais que vous oubliez. Elizaveta, qui était le prénom de ma "grand-mère paternelle", et pour lequel mon père à dû insister pour que je puisse le porter. nom : Bazarov, pourrait y avoir mieux, pourrait y avoir pire, c’est un nom de famille Russe quoi. Patronyme qui montre mes "origines" très ouvertement, enfin, façon de parler… âge, date de naissance : j’ai vingt-trois piges, bientôt vingt-quatre, née une nuit, le vingt-sept décembre quatre vingt douze. lieu de naissance : née en France, près de Lilles. origines, nationalité : Disons que c’est un peu compliqué, toutes ma vie j’ai crû être d’origine Russe, alors qu’en fait j’ai bien plus de sang Espagnol que de Russe, enfin, y’a aucune goutte de sang Russe qui coule dans mes veines, si vous voulez tout savoir. Puis sinon, née et France, alors française. orientation sexuelle : les nanas me déplaisent pas, on va dire qu’avec certaines j’ai su prendre mon pied, avec d’autres non. Mais les hommes restent les plus présents dans ma vie, et m’attirent plus. occupation : je suis actuellement en fac de droit pour devenir avocate, et ça me plait pas mal. A côté je suis vendeuse dans la boutique de lingerie "au mille plaisirs". situation financière : ma mère et celui qui m'a élevé paient mes études, pour le reste je me débrouille. J'suis pas au bord du gouffre, quoi. statut civil : pas amoureuse, pas mariée, pas fiancée de force, j’m’en sors pas mal comme célibataire. traits de caractère : Loreleï est une jeune femme très joviale. Elle aime rire, elle aime profiter de la vie, participer à des fêtes, boire, s’amuser… Mais derrière cette manière de vivre, c’est une femme qui fait attention aux autres. Elle est à leur écoute, elle les analyse. Pour être une bonne avocate, c’est un bon point. Elle est très investie dans ce qu’elle entreprend et déteste ne pas arriver au bout. Elle ne peut pas supporter avoir tord, ce qui peut facilement amener à des débats qui peuvent durer des heures. Elle se plaint tout le temps. Elle est ambitieuse, mais elle sait s’arrêter de rêver quand il faut, d’ailleurs, ce n’est pas une grande rêveuse. Elle garde les pieds sur terre, ce qui peut parfois blesser la manière de voir les choses de certaines personnes car elle ne les voit pas de la même manière, et elle n’hésitera pas à le dire. Elle est franche, peut-être même trop franche parfois, mais elle ne s’en veut pas pour ça. Pour elle, elle dit la vérité et tant pis si ça ne plait pas, ça ne changera pas sa vie pour autant. Quand elle n’est pas contente, elle le fait aussi comprendre, et elle n’hésite pas à montrer son état d’esprit, quitte à en agacer plus d’un. Mais elle sait aussi abandonner, même si c’est généralement pour faire réagir des personnes, comme son meilleur ami. Derrière ça, c’est tout de même quelqu’un de loyal qui veut le mieux pour son entourage et qui peut être très jaloux. Dans sa bande d’amis, uniquement composée de garçons dont son meilleur ami, elle à tendance à trouver leurs jeux et défis puérils, et à les réprimander pour ça, et même s’ils ne l’écoutent pas, elle continue chaque fois : elle garde la foi. C’est une fille qui a plutôt confiance en elle et qui n’a pas honte de se montrer sous un mauvais jour ou d’être ridicule. En soit, elle a un sale caractère, et elle l’assume. célébrité : Adelaïde Kane groupe : « il est relou ! »

Banana Split

ton plat préféré : le Crumble au pommes. C'est bien le meilleur moyen de me faire être de bonne humeur. C'est con, moi, je cuisine pas. ta boisson alcoolisée préférée : Aaron, j’te sens arriver, mais fais gaffe. Je craque toujours avec un bon kir breton au cassis. plutôt chat ou chien : chien, chat, c’est quoi la différence ? Rien que pour vous faire chier je vais dire serpent, nah. ta relation avec tes parents en un mot : Euh… t'es un bon menteur : je sais bien mentir, oui. Encore faut-il que je le fasse. quelles sont les trois choses que t'apporterais avec toi sur une île déserte : une tente, du feu et un bateau à moteur pour pouvoir rejointe la ville la plus proche et m’acheter de quoi bouffer ou me laver, c'est important, ça. une de tes peurs : devoir m’occuper de marmots, comme ça, du jour au lendemain, sans pouvoir revenir en arrière parce que ce serait trop tard. ton adolescence en un mot : mensonge. le pays que t'aimerais visiter : les antilles ? c’est pas un pays, certes, mais j’suis à peu près sûre de pas avoir d’origine antillaise caché, genre comme on m’a caché pendant dix-huit ans que j’avais pas de sang russe… ton plus grand regret : avoir essayé de draguer cet… uuh. ta plus grande fierté : avoir su rembarrer Aaron avant qu’il joue avec moi. Ouais, ça c’était cool. ta chanson du moment : écrire ici.

toi et la clope, c'est souvent ? 1. J’suis plus alcool. est-ce que tu vas souvent au McDo ? 5, mc do et tous les autres fast-foods : je sais pas cuisiner. t'aimes les repas gastronomiques ? 4. Tant qu’on bouffe, moi j’aime en soirée, tu commences d'abord par la bière ? 5. Je m’en enfile une ou deux avant de commencer les shots. le petit-déjeuner le matin, c'est obligatoire ? 5. De toutes manières si j’ai le bide vide j’me réveille pour bouffer, alors. les animaux, c'est ton truc ? 1. C’est comme les gosses, quand il faut s’en occuper, j’suis pas là. C’est pour ça que j’ai un serpent. Fleur. Un serpent c’est cool, j’lui file sa bouffe, son eau, et puis de temps en temps de nettoie sa cage : je met tout aux ordures et je refout son sol chelou. Et encore, pour la bouffe il se débrouille très bien sans moi. Il a bouffé Chou, mon rat. C'est pour ça que maintenant il s'appelle Chou-Fleur. la plage, t'aimes ça ? 0. Aah, le soleil, l’eau, la chaleur, le sable, les pina colada… Nan. tu rêves de vivre à la campagne ? 0. c’est chiant, c’est calme, il se passe rien, on prend trois plombs pour aller à la ville la plus proche et les routes c’est que des virages. voyager fait partie de tes plans pour l'avenir ? 3. Ça peut être cool, encore faut-il que j’me retrouve pas à me trouver un père à tous les coins du monde. les enfants, ça te fait peur ? 5. Putain, sont choux, ouais, quand ils chialent pas, quand ils parlent pas, quand ils ont pas faim, quand ils ont pas besoin qu’on les amène à l’école et quand ils nous offrent pas de dessins. biarritz, c'est une ville animée ? 5. Y’a un côté calme, y’a un côté animé. Moi ça me va. quand tu sors, tu rentres seul(e) ? 1. Pas souvent seule, nan. tu respectes le code de la route ? aucune idée, j’ai pas mon permis.

Strawberry fields

Pseudo

pseudo/prénom : j’suis toujours connue sous le pseudo d’Apy, et j’m’appelle toujours Maloé. loreleï | rien qu'un euphémisme. 3259770864

âge : j'ai toujours 15 piges. loreleï | rien qu'un euphémisme. 2389628975

pays : j’ai pas déménagé de pays, donc toujours en france. loreleï | rien qu'un euphémisme. 2928427356

type de personnage : inventé #prélienVenduSurSkypeParLoulahetlautreCupcake qu'est-ce que tu penses de LOL : c’est une tuerie. loreleï | rien qu'un euphémisme. 708903757

loreleï | rien qu'un euphémisme. 708903757

tellement que je suis accroc, nah. loreleï | rien qu'un euphémisme. 3259770864

quel niveau d'intervention laisses-tu à aléas de la vie : 3, parce qu’avec Lo’ j’suis folle ! loreleï | rien qu'un euphémisme. 2509967829

loreleï | rien qu'un euphémisme. 2574701014

crédits : écrire ici.dernier mot : le string est toujours aussi cool. loreleï | rien qu'un euphémisme. 2486528855

Code:: <mt>Adelaïde Kane</mt>◊ loreleï bazarov

ಌ

c'est l'histoire de ma vie

faites gaffe, c'est compliqué.

(le mystère de la naissance) accrochez vous, parce que j’vous promet pas que vous allez comprendre. Cette partie est complexe. Ma mère à commit un adultère avant ma naissance, avec un allemand –parce que, comprenez, elle est passionnée par l’Allemagne, la culture, et tout ce qui tourne autours-. Mais bon, comme elle se sentait très coupable, elle l’a dit à mon père. Pendant neuf mois, ils ont préparés ma venue, mon père à décidé qu’il s’occuperait de moi malgré tout, et tout le tralala, parce que, t’manière, il voulait un gosse. Et puis, y’a eu ma naissance. Bon, au final, s’est passé que, quand j’ai grandit, j’étais ni blonde, ni rousse –parce que monsieur ledit papa était apparemment roux- et que j’avais pas les yeux bleus –que lui et ma mère avaient-, puis je lui ressemblait que dalle. Du coup, ma mère à eu la confirmation que j’étais pas la fille du gars allemand –cool, le prénom qui à plus aucun sens-, mais elle l'a surtout pas dit à son mari. Alors la madame Bazarov s’est dit « ah bah, si c’est pas la fille de bidule, c’est pas celle de m’sieur Bazarov non plus, alors ça doit être la fille de Vicente ! ». Vicente, aka César Vicente, aka mon prof d’espagnol de première et terminale sur qui j’avais un putain de crush et qui, pour m’expliquer pourquoi il repoussait mes avances, m’a sorti la phrase du siècle : « Je suis ton père ! ». Ouais, bref, vous l’aurez compris, j’l’ai mal pris, d’ailleurs j’suis pas retournée en cours d’espagnol jusqu’à la fin de l’année. Merde quoi, jamais j’aurais cru que ma mère se tapait des p’tits jeunes de dix-huit piges quand elle en avait vingt-trois. Bref, t'manière, comme je fais plus du tout confiance à ma mère, j’lui fait pas confiance quand elle dit qui est mon père.
(l’histoire ratée du blaze) Loreleï. Prénom allemand, dans la légende, c’est une sirène qui envoûterait les marins pour qu’ils s’échouent contre les falaises du Rhin. Selon une autre légende, c’est une pauvre fille qui se serait fait trompée par son mari. L’ironie de l’histoire ? Ma mère qui avait trompé mon père, et qui pensait que j’étais la fille d’un allemand. Pas la peine d’expliquer plus, vous voyez le rapprochement ?
(la découverte qui tue) quand j’ai appris que mon père, bah, c’était pas mon père, j’ai pété un câble. D’abord mon prof s’est retrouvé avec une trace rouge comme je sais pas quoi sur la face, avec les lignes de mes mains bien dessinées sur sa joue –d’ailleurs j’vous dis pas la réaction d’Aaron quand il a vu la gueule du prof’ après, alors qu’il savait que j’allais le voir-. Ensuite, y’a eu mon père, enfin, celui qui m’a élevé, à qui j’ai finit par tout balancer, pendant une engueulade familiale très courante chez toutes les familles un peu normales. Ma mère était devenue blanche comme un linge et elle a dû avouer à mon père que, au final, elle l’avait trompé deux fois –enfin, c’est ce qu’elle a dit devant moi et mon frère, on sait pas, peut-être qu’elle ment-. Bon, j’vous passe les détails, mes parents ont divorcés quelques mois après et mon frère –qui est bien leur enfant à tous les deux- a refoutu la faute sur moi. Non mais, vraiment ?
(honte à moi) d’un côté, j’suis contente d’avoir appris, pour mon père. Je les connais, ils me l’auraient jamais dit autrement. Ou sur le lit de mort de l’autre, à coup sûr. Mais, si jamais pas eu ce crush sur mon prof d’espagnol… si j’avais pas été, à dix-sept piges, intéressée par les hommes plus vieux, je l’aurais jamais su. Mais le pire, c’est que ça ait été mon père. J’ai toujours aimé les hommes plus vieux, de toutes manières, si ç’avait pas été lui, c’aurait été un autre, mais tomber sur lui, comme par hasard, ça m’a fait un choc. C’était la coïncidence à éviter. Tellement qu’après avoir appris qui il était, j’suis allé dégueuler aux chiottes, et Aaron et les gars ont dû me calmer pour m'empêcher d'aller tout déballer à mes parents.
(Narcisse le magnifique) Aah, Aaron. Enfin, Narcisse. Enfin, Aaron, parce que c’est comme ça qu’il à choisit qu’on l’appelle et j’suis un peu la seule à savoir c’est quoi son vrai nom, parce que j'ai fouiné. Lui, il est venu me causer en seconde, on sortait d’un collège différent pour se retrouver dans le même bahut. Avec sa belle gueule et son air de monsieur parfait-pas-si-parfait-que-ça, j’avoue qu’au début j’y croyais un peu, à son jeu. Mais il me plaisait pas, puis j’ai vu ses potes derrière, avec leurs gros yeux de voyeurs, et j’ai compris. Alors j’l’ai rembarré, parce que ça se voyait comme son nez au milieu de sa face, qu’au final, c’était un putain de défi qu’il faisait avec les autres cons. Puis, me demandez pas pourquoi, mais on est devenus potes, et maintenant on se connait comme un frère et une sœur. Il a été là pour moi dans ma passe ‘putain j’sais pas j’suis la fille de qui’ et j’suis là pour lui dans ses passes différentes. C’est mon Narcisse à moi, quoi.
(avocat du diable) je sais pas trop comment c’est arrivé, mais ça m’a pris. Cette envie de devenir avocate, de permettre à des personnes de ne pas être accusées injustement ou de protéger d’autres personnes dont on pourrait se servir. Bon, j’avoue qu’au collège quand j’étais déléguée, aux conseils de classe, j’étais du genre à défendre mes potes même quand ils foutaient rien, mais j’avais tellement de bons arguments que les profs revenaient –un peu- sur leur décision. Peut-être que c’est ça, qui m’a décidée ?
(atteinte à ma solitude) j’ai beau voir Aaron tous les jours –ou presque-, c’est pas pour autant qu’on habite ensembles. Nan mais sérieux, vous me voyez habiter avec ce gars ? Déjà aucun de nous deux ne sait faire la cuisine, alors ça aide. Quitte à m’installer avec quelqu’un, autant qu’il sache faire la cuisine. Puis, si c’est pour que tous les soirs quand il rentre de soirée il me ramène la nouvelle proie de leurs défis à la noix à lui et aux gars… Non merci ! Bah oui, parce qu’ils continuent, même huit ans après. La maturité ça sera pas avant trente ans, pour eux. Nan et puis, mon serpent-rat et moi, on vit très bien sans lui. Et Chou-fleur est d’accord, hein Chouf’ ?
(atteinte à ma liberté) je n’ai jamais été en couple. Nan, sérieux, j’ai jamais été amoureuse, j’ai jamais embrassé un gars –ou une nana- en publique, jamais tenu la main de personne, niet. Bon, ça me manque pas, sérieux. C’est mieux les histoires d’un soir ou de quelques nuits, on s’attache pas, on rêve pas de fonder de famille, et tout va pour le mieux. Nan mais de toutes manières, si un jour mon mec me dit qu’il veut des gosses, j’le vire et j’en trouve un autre qui voudra pas de marmots.
(mais t'es pas là, mais t'es où ?) fut un temps où on vivait bien, notre petite vie à quatre, ma mère, mon « père », mon petit frère et moi. Mais toute bonne chose à une fin, non ? Mon père s’est barré en Russie, ma mère est rentrée en Allemagne, mon frère est je-ne-sais-où en France pour faire ses études –d’ailleurs je sais même pas s’il fait des études ce con- et je n’ai de contact avec personne. Sauf mon « père », des fois, un mail, une carte, de l’argent. Lui et ma mère continuent de payer mes études et se partagent le prix, et puis moi je me débrouille pour le reste, avec un peu d’aide pour l’appart. Mais bon, j’ai Aaron et les gars, ça vaux toute les familles du monde, nan ?
(lui) puis y’a lui. On couche ensembles, depuis plusieurs mois. Il est dans la bande, lui aussi. C’est peut-être le plus timide des cinq imbéciles pour qui je fais la mère poule. Je sais, c’est bizarre. Je me comporte comme une grande sœur et… ouais. Aaron est pas au courant. vous imaginez, un peu, s’il l’apprend ? il sera mort, et moi… bah moi Ron me fera rien, mais merde, quand même ! C’est pas que je l’aime, oh non. Non-non. Il aime tout ce que je déteste, à noter la plage, les gosses, les animaux. Il est toujours positif, lui. Et il rêve, oh ouais, ça j’peux vous le dire. Et à chaque fois, je le casse dans son délire de grande envolée. Alors nan, je l’aime pas, je l’aimerais jamais. Même s’il est beau, même s’il est à l’écoute de tout ce que je peux avoir à lui raconter, et que je ne peux pas dire à Aaron, même s’il sent bon, même s’il à un sourire à faire tomber par… ouais, bref. Il m’écoute parler, raconter ma putain de vie, et il dit rien. Au final, on fait pas que coucher ensembles. Je l’aime bien, c’est ma famille, de toute manière. Il m’aime bien aussi, enfin, je crois. Mais non, il m’aime pas. Il sait très bien comment je suis, il sait très bien que je suis invivable. Tous les gars de la bande la savent, et ils s’en plaignent tout le temps, d’ailleurs. Alors il peut pas m’aimer, et moi non plus. Et c’est très bien comme ça, et on est très bien tous les deux à se voir de temps en temps, passer une nuit ensembles et parler. Lui, c’est… lui, quoi.

Invité

re-bienvenue parmi nous
adélaïde tèrs bon choix d'avatar, le pseudo est super. bon courage pour ta fiche, qui est déjà pas mal avancé.
j'viendrais te demander un petit lien par la suite