Sujet: [Libre] When the sun goes down... Dim 21 Fév - 5:42
When the sun goes down...
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Ce soir le temps est plutôt bon, alors comme j'ai l'habitude de le faire régulièrement je sors de chez moi pour remonter jusqu'à côte des Basque pour aller me balader et admirer le coucher de soleil alors comme d'habitude je remonte tranquillement le long du chemin jusqu'à arriver au virage de la villa Belza. Je finis par m'asseoir sur la murette, exactement à l'endroit même où je me trouvais il y a deux ans avec Chris ce jour là. Le jour où il m'a embrassé pour la première fois. Oui je suis d'humeur un peu fleur bleue ce soir. Chris me manque. Il est partit depuis bientôt un mois et je sais même pas où il est. Depuis que j'ai du quitter l'armée à cause de ma blessure je n'ai plus le droit de savoir les petits trucs secrets du genre les localisations des missions de l'équipe et tout ça. Je regarde l'horizon, le soleil qui disparaît dans l'océan. Il y avait peu de vagues ce soir. Et presque pas de vent, ce qui était assez agréable en cette période de l'année. J'avais quand même le sourire. En revenant vivre ici je m'offrais l'occasion de retrouver tout les jours les souvenirs de cette permission qui avait scellé le début de ma vie de couple avec l'homme qui partageait ma vie aujourd'hui. Et ces souvenirs étaient des plus utile pour moi parce qu'ils me permettaient de supporter le manque. Autour de moi, des couples se baladaient ensemble, des groupes d'amis. Il y avait encore quelques irréductibles qui étaient à l'eau en train de chasser les dernières vagues de la soirée. Et moi j'étais là tranquille sur mon muret, une bière dans la main et les pieds dans le vide à regarder les dernières lueurs du jour se refléter dans l'océan. D'une main je touche mes cicatrices vers mon coeur. Comme souvent quand il fait bon le soir je ne portais qu'une légère veste ouverte sur le dos. Ces cicatrices m'avaient coûté mon rêve. Le souvenir de ce jour là était encore très vivant dans ma mémoire. J'avais mal sécurisé ma zone et un homme avait pu arriver dans mon dos pour me tirer dessus. Je m'étais fais avoir bêtement et j'avais faillis y laisser la vie.
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Ce soir le temps est plutôt bon, alors comme j'ai l'habitude de le faire régulièrement je sors de chez moi pour remonter jusqu'à côte des Basque pour aller me balader et admirer le coucher de soleil alors comme d'habitude je remonte tranquillement le long du chemin jusqu'à arriver au virage de la villa Belza. Je finis par m'asseoir sur la murette, exactement à l'endroit même où je me trouvais il y a deux ans avec Chris ce jour là. Le jour où il m'a embrassé pour la première fois. Oui je suis d'humeur un peu fleur bleue ce soir. Chris me manque. Il est partit depuis bientôt un mois et je sais même pas où il est. Depuis que j'ai du quitter l'armée à cause de ma blessure je n'ai plus le droit de savoir les petits trucs secrets du genre les localisations des missions de l'équipe et tout ça. Je regarde l'horizon, le soleil qui disparaît dans l'océan. Il y avait peu de vagues ce soir. Et presque pas de vent, ce qui était assez agréable en cette période de l'année. J'avais quand même le sourire. En revenant vivre ici je m'offrais l'occasion de retrouver tout les jours les souvenirs de cette permission qui avait scellé le début de ma vie de couple avec l'homme qui partageait ma vie aujourd'hui. Et ces souvenirs étaient des plus utile pour moi parce qu'ils me permettaient de supporter le manque. Autour de moi, des couples se baladaient ensemble, des groupes d'amis. Il y avait encore quelques irréductibles qui étaient à l'eau en train de chasser les dernières vagues de la soirée. Et moi j'étais là tranquille sur mon muret, une bière dans la main et les pieds dans le vide à regarder les dernières lueurs du jour se refléter dans l'océan. D'une main je touche mes cicatrices vers mon coeur. Comme souvent quand il fait bon le soir je ne portais qu'une légère veste ouverte sur le dos. Ces cicatrices m'avaient coûté mon rêve. Le souvenir de ce jour là était encore très vivant dans ma mémoire. J'avais mal sécurisé ma zone et un homme avait pu arriver dans mon dos pour me tirer dessus. Je m'étais fais avoir bêtement et j'avais faillis y laisser la vie.