meet our new friend (elise)

Dure journée au karting. Elle avait due s’interposer entre deux coqs persuadé d’être plus rapide que l’autre, persuadé que l’autre l’avait poussé. Elle avait pris un coup de poing perdu dans la pommette. Évidemment, les deux étaient bannis du karting et elle n’avait qu’une hâte, rentrer chez elle, mettre de la glace sur l’oeuf qu’elle avait sous l’oeil et prendre un bon bain. Elle avait complètement zappé que Casey était censé aller leur chercher un chien. Elle espérait vainement ne pas rentrer et trouver un champ de bataille à la place de son appartement. Bien vainement. Elle pousse la porte de l’appartement. Soupire quand elle voit l’état du chantier. Bon, adieu le bain. Elle pose son perfecto sur le porte manteau. Elle est accueilli par les aboiements joyeux du chiot. Elle sursaute. Elle avait toujours eu un peu peur des chiens, mais plutôt mourir que de l’avouer. Elle ferme les yeux, elle serait bien frappé le front d’avoir accepté puis oublier qu’elle avait accepté. Il était trop mignon, digne des chiots tout mignons dont on vous spamme vos instagrams à longueur de journée, mais ça non plus ne comptait pas sur elle pour l’avouer. Elle enjambe la petite chose poilue et surexcité pour rejoindre le congélateur et prendre le premier sac qui lui tombe sous la main et le poser sur sa pommette. Ignorant la position de son compagnon qui était probablement en train de se cacher pour éviter ses éternels foudres, elle crie presque. "CASEYYYYYYY!" Attendant une réponse de sa part qui tardait à venir "Weren't you supposed to clean the apartment before getting the damn puppy??????"

Reste calme Liz, reste calme. Une phrase qu’elle ne se disait que trop souvent en présence de l’australien. Phrase qu’elle avait beaucoup de mal à mettre en pratique. Il faisait exprès d’être aussi exaspérant, c’était pas possible autrement. Il arrive tout sourire. « Good afternoon baby ! » Elle hausse un sourcil, se mord l’intérieur de la joue pour ne pas s’énerver. Elle lui fait un sourire, d’une fausseté sans pareil en répondant, d’une voix presque mielleuse. "Cut the crap « baby » i’ve had a bad enough day as it is!" Tenant toujours la poche glacée sur sa joue, elle ferme les yeux prenant une grande respiration quand il lui rétorqua que le nettoyage de l’appartement ne faisait pas partie du marché pour le chiot. Les quelques cours de yoga qu’elle avait pris sur internet n’était que de très peu d’aide dans cette situation où il se plaisait à titiller ses nerfs pour qu’elle sorte de ses gonds. Quand elle réouvre les yeux elle se retrouve nez à museau avec le chiot. Il fait les présentations, elle sourit au chiot qui n’y ait pour rien. Elle repose ses yeux sur son compagnon qu’elle fusille du regard. "Hi Ozzie I hope you didn’t get to attached to daddy yet cause mommy is very very close to killing daddy" Sourire crispé, voix faussement douce pour ne pas effrayer le chiot. De sa main libre, elle se frotte l’oeil dont elle n’est pas en train de s’occuper. Long soupir. "So cute." Un nouveau sourire faux. Elle le regarde reposer le chiot par terre qui se met à courir gaiment dans tout l’appart’. "No you wanker, i didn’t fall in the stairs, I got punched at work!" Ses doigts se ressert sur la poche de glace qui craque sous la pression de ceux-ci. Elle se reprend. "I really need a nice relaxing bath right now, you better clean all this shit before I get out of it or the dog is out!!" Ne lui laissant pas le temps de répondre, elle se dirige vers la salle de bain où elle fait couler l’eau pour un bain, espérant ne pas être déranger. Probablement peine perdue.

Si son regard pouvait mettre des baffes, Casey aurait les joues bien rougeoyantes à présent. Ça pour l’avoir vu en pire état, il l’avait vu en bien pire état. Même si elle avait toujours fait en sorte de ne rien montrer, de rester forte, de tenir bon quand son frère n’avait pas survécu à son accident, elle avait été un gros dégât. Elle l’était encore, parfois. Elle n’avait pas encore trouver le remède idéal à son deuil. Du coup, plutôt que de s’apitoyer sur son sort, elle se bat, elle porte son couple à bout de bras dans tous les sens du terme, elle bosse comme une folle pour subvenir à leurs besoins et quand ça tient plus, elle boit pour oublier, pour noyer son chagrin qu’elle ne montre pas. Ne jamais se montrer faible.  Il entraîne leur chiot à le défendre. Elle laisse échapper un simple rire. "Oh sorry… was that supposed to be scary! My bad!" Elle repose son regard sur l’adorable boule de poil qui semblait heureuse d’avoir trouvé une nouvelle maison. Puis elle lui crache la vérité sur l’état de son visage en pleine figure comme si de rien n’était. Il lui demande qui lui a fait ça. Elle s’en fiche royalement ne pensant qu’à une chose prendre son bain, se relaxer pour affronter le chantier qu’il resterait probablement quand elle en sortirait, elle ne se faisait pas d’illusions, elle était avec lui depuis suffisamment longtemps pour savoir qu’il ne ferait pas grand chose. "Oh my bad, was I supposed to ask him for his name before or after he punched me? Sorry I was too busy kicking them out to ask for names! It’s no big deal! It’s not even painful anymore it’s just ugly." Son ton se voulait sec même si elle le disait aussi et beaucoup pour le protéger, pour pas qu’il ne s’en mêle, pour ne pas qu’il s’inquiète. "Is that going to be your answer for everything? Threatening to leave? You’re not my prisoner, you are free to leave at all times, if that’s what you want. Go ahead. God knows i’ve been left before, I can handle it!" Elle soupire, en ayant assez de ses constantes menaces de partir. Elle avait déjà perdu son frère, il l’avait abandonné, elle l’avait longtemps vécu comme ça. Une des nombreuses étapes du deuil apparement ou un truc du genre. Elle le regarde se « laver les mains » non sans être suspicieuse sur la raison pour laquelle il faisait ça. Elle ne tarda pas à le savoir. Elle posa la poche de glace dans le lavabo en grimaçant avant de tenter tant bien que mal la main qu’il frottait sur son visage. "Seriously Cas’!" Sa voix est montéE en volume tandis qu’elle le pousse hors de la salle de bain avec vigueur, claquant la porte derrière elle. Impossible de la fermer à clé évidemment. Elle se déshabille et se glisse dans l’eau espérant qu’il est compris le message de lui foutre cordialement la paix. C’est mal connaître l’Australien. "DON’T YOU DARE COMING BACK IN HERE OR I’M DROWNING YOU!"

Elle aurait bien croisé ses bras sur sa poitrine mais sa main était toujours occupée à soigner sa pommette gonflée et revêtue d’une couleur douteuse. Alors elle se contenta de lever les yeux au ciel quand il affirma que le chiot deviendrait une bête. Pas tant qu’elle aurait son mot à dire, ça s’était certain. Leur chien ne deviendrait pas une de ses choses dont elle avait peur, hors de question. Que ça plaise ou non à l’australien d’ailleurs. "Look, let it go.  I mean it. Beating the shit out of that dude isn’t going to make me feel better. He is banned from the karting center. It’s not gonna happen again. I don’t plan on visiting you in prison anytime soon plus I don’t have time to find a hot new lover while you’re there." Une façon comme une autre de lui faire comprendre qu’il comptait pour elle. Maladroitement. Son principal modèle ayant été un homme pour la plus grande partie de sa vie, les grandes déclarations mielleuses c’était pas son fort. Elle se sentirait trop ridicule, trop nue. Si elle était moyennement pudique physiquement, sentimentalement elle l’était beaucoup plus, beaucoup trop. « You’re still far from ugly kiddo! » Elle fait une moue, presque un sourire sincère, avant de détourner son regard vers un miroir, regardant l’état de sa joue. "yeah but this is!" Elle pointe du doigt la bosse qu’elle avait sous l’oeil en grimaçant, fronçant les sourcils. Du bout des doigts, elle essaye de tater l’endroit. Aïe. Mauvaise idée. Elle fronce le nez. Agacée d’avoir à s’occuper de ça en plus de tout le reste. Comme si elle n’avait pas assez à gérer sans avoir à se soigner. "Clean the apartment like I asked you to, several times and the puppy can stay, it’s that simple, you are big guy you can do this!" Ton faussement maternelle, posant sa main sur l’épaule de son compagnon. Exténuée, elle finit par le pousser hors de la salle de bain pour enfin être seule avec son bain. Enfin un peu de détente bien méritée. Elle ferme les yeux, soupire de contentement dans l’eau bien chaude et la bonne odeur du bain moussant. Tranquille, enfin! Elle se déconnecte, se détend, ne prêtant plus aucune attention au bruit à l’extérieur de la salle de bain, se disant que peut-être il avait compris et qu’il était partie nettoyer l’appartement ou jouer avec son précieux chien. Elle sursaute quand la porte s’ouvre dans un fracas sans nom.  "CASEY NO!" Trop tard. La moitié du contenu de la baignoire s’était répartie sur le sol. "You mad babyyyy?" La mâchoire de la jeune femme se crispe. Elle se débat un peu violemment. Parvenant à libérer ses bras elle met une main derrière la tête de l’australien, l’autre sur le coté de sa tête, histoire d’éviter que celle-ci ne heurte le rebord de la baignoire et elle appuie de toutes ses forces pour plonger son visage dans le peu d’eau qu’il restait encore. Elle le ressort. "I warned you now, get out and clean that mess so i can pour some new hot water cause i’m fucking freezing thanks to you!"

 "Yeah well breaking news not everything is about you!" Alors qu’en réalité pour le coup ça l’était. Elle voulait le protéger. À sa façon. Elle adorait le détester autant qu’elle pouvait l’aimer. Elle était la seule à avoir droit de l’insulter et de le frapper (« gentiment »). Quiconque voudrait s’en prendre à lui aurait à faire à elle et pour le coup, elle était têtue comme une mule, elle ne lâcherait rien. "Oh I’d like to see you try! No one will tell you anything I’ll make sure of it!" Elle était bien loin de se laisser impressionné par son sérieux, le toisant du regard. Elle ne céderait pas. Elle le protégera qu’il le veuille ou non. « Still wishing to replace me, huh? But I am irreplaceable! »  Elle lève les yeux au ciel en secouant la tête. Il n’avait pas tort, elle ne pouvait pas le remplacer, elle ne voulait pas. Elle ne se l’expliquait pas, elle était d’ailleurs toujours sur la défensive quand on tentait de lui demander pourquoi elle était encore avec lui. Il lui tapait constamment sur le système, elle avait souvent avis de l’étrangler, de le noyer, de la gaffer et pourtant, s’il venait un jour à la quitter, elle serait bien incapable de s’en relever. « Put on some make-up to cover it up! » Elle grimace. Elle arrivait à peine à le toucher sans que ça lui fasse mal, le maquillage n’était absolument pas envisageable pour le moment. Tant pis, si on lui posait des questions dessus, elle esquiverait la question, elle dirait un truc du genre « you should see the other guys face » pour faire la forte tête et faire taire les remarques. Elle pouvait être bien menaçante quand elle le voulait mine de rien. «We should hire a maid! » Il a même l’audace de lever les yeux au ciel. Elle sort de ses gonds, parlant en agitant ses mains, sa voix partant dans des aigus presque ridicule. "With what money Casey!!!!!" Pour le moment, il n’avait pas eu le droit encore à son « Kazé » quand elle n’en peut vraiment plus de lui. Elle sait qu’il déteste qu’on écorche son nom et elle sait jouer avec ça quand elle en ressent le besoin. Prenant bien soin de ne pas le blesser, elle le « noie » comme elle l’avait menacer. Elle est dépité quand elle le voit toujours hilare. Un vrai gamin. Lourd, grand et vieux gamin de 30 ans, mais un gamin quand meme. "Oh no forget it!! I’m not in the mood" Elle savait très bien ce qu’il avait en tête pour la réchauffer. Et quand elle dit qu’elle n’était pas d’humeur, sur le moment elle le pensait. Il prend possession de ses lèvres, elle fronce les sourcils décidé à resister. Pour combien de temps…? Il descend ses baisers le long de sa mâchoire puis dans son cou. Elle ferme les yeux. Agacée d’avoir si peu de resistance à ses lèvres. Elle finit par passer sa main dans les cheveux de l’Australien, l’intimant à continuer tandis qu’elle se redresse, toujours collé contre lui histoire de faire couler un peu d’eau chaude. "You’ll still need to clean this up though… it’s not over…" Moyennement autoritaire pour le coup bien trop occupé à savourer le contact avec son homme.

 "Then if it is about me I’m asking you to let it go! Please!" Please, voilà un mot qu’elle n’employait pas souvent à son égard. "I don’t want you to get in trouble! I can take care of myself!" Elle fronce les sourcils, le regardant dans les yeux. Aucun des deux ne semblait décider à lâcher le morceau, connement, essayant tous deux de se protéger l’un l’autre, montant sur leurs grands cheveux. Il se craque les phalanges, elle ne peut s’empêcher de poser sa main sur celle de l’Australien. "Cas’ stop!" Sa voix et son regard se voulait plus doux même si elle était plus que novice en matière de douceur la jeune Wilkinson. « I can bribe them! I can tell you that I will know who he is. » Elle secoue la tête incapable de trouver les mots pour l’en dissuader. Elle soupire. Elle ne rajoute rien mais fera quoi qu’il en soit en sorte qu’il ne découvre pas qui lui a fait ça, elle savait qu’il ne reviendrait pas, que c’était arrivé sous le coup de l’adrénaline et qu’elle n’était pas en danger. Elle ne voulait pas qu’il aille mettre de l’huile sur un feu déjà éteint. Elle était convaincue qu’elle pouvait s’en sortir toute seule et qu’il valait mieux en rester là. "I appreciate what you are trying to do trust me, but please don’t." Puis il en vient à proposer qu’ils prennent une femme de ménage et qu’il l’a paye en nature. Elle lève un sourcil. Il est sérieux là? Il veut vraiment qu’elle lui en mette une. Reste zen Liz, il le fait exprès pour t’agacer, ne rentre pas dans son jeu. "Well if we ever have enough money to get a maid i’ll make sure to keep that in mind and get one as ugly and old as humanly possible…" Elle le fusille une fois de plus du regard avant d’enfin prendre son tant attendu bain. Qu’il vient évidemment interrompre lourdement. Il la couvre de baiser et une petite voix à peine audible dans sa tête lui dit de ne pas céder. Trop tard. « We’ll see that later...Too busy right now! » Bon t’auras essayer Liz. Elle se laissa aller sous ses lèvres expertes, elle peine à parler "This …….. isn’t …………….. over" Ça fait bien longtemps qu’elle avait perdu toute crédibilité, la pauvre. Elle laisse aller sa tête contre le rebord de la baignoire, ses yeux se ferme, sa deuxième main passe dans le dos de l’Australien le griffant un peu sans trop s’en rendre compte, ses jambes s’enroulent autour de lui. Ils reparleraient ménage plus tard… Bien plus tard… Des bruits de pattes sur le sol mouillé suivi d’inlassables aboiements lui firent rouvrir les yeux et lâcher les prises qu’elle avait autour de son compagnon. Saleté de chien.

 « What are you scared of? » Elle lève les yeux au ciel, dialogue de sourds. "Of you getting in trouble i can’t fucking make it any clearer dickhead!" Ses mains se crispent dans l’air comme si elle voulait l’étrangler, en réalité, elle avait juste avant de le menotter à un radiateur pour l’empêcher de sortir et de mettre dans des situations impossibles comme il en avait tant l’habitude, cependant il pourrait aimer ça, le bougre. « Easy tiger, I said ‘WE’ not I! Though I’d enjoy it more if you played the sexy maid! » Il est vraiment impossible, il sortait des bêtises plus grosses que lui. Elle ferme les yeux n’en croyant pas ses oreilles. "Yeah well I’m not bi or lesbian or whatever and watching my man playing with another woman is not my thing! But hey you know what keep a job for over a month and i’ll play the sexy maid!" Le connaissant, avec cette proposition elle ne prenait pas trop de risques, il ne tenait jamais si longtemps à un de ses travails. Si lui s’amusait à l’agacer, à titiller ses nerfs, elle avait du mal à tenir et se disait que si ça continuait à ce rythme là, elle aurait vite des problèmes de tensions et des cheveux blancs. Mais à chaque fois qu’elle essaye de se calmer il en remet une couche. Quand elle commence enfin à se calmer et à profiter de la proximité avec son homme, le chien de malheur vient tout cassé. Il sort s’occuper de son précieux chiot. C’est la goutte d’eau qui fait déborder le vase. Le rouge lui monte aux joues, de colère, d’humiliation d’avoir été laissé en plan pour un sale cabot. Elle enlève le bouchon de la baignoire coupe l’eau. Elle sort de la baignoire, en tenue d’Eve bousculant Casey intentionnellement, elle prend une serviette au passage et sort de la salle de bain "Yeah you do that!" et se dirige vers la seule pièce de leur petit appartement qui avait une porte qu’on pouvait fermé à clé. Les toilettes. Pas l’endroit le plus glamour mais au moins elle pourrait y être seule, sans être déranger pour se calmer et essuyé ce sentiment de « jalousie » vis à vis d’un putain de clébard, ce sentiment d’humiliation, elle ne trouvait pas d’autre mot pour ça, d’avoir été lâchée comme ça alors qu’elle s’était autorisé à être à sa merci. Elle ferme les yeux essayant de contrôler tout ça, serrant la serviette autour de sa poitrine.  Elle avait besoin d’un verre. Elle sort, se sert un shot de la première bouteille qui lui tombait sous la main, elle n’était pas d’humeur à faire la difficile. Elle part vers la chambre pour s’habiller. Elle avait décidé de sortir, s’il n’avait pas envie d’elle, elle trouverait bien quelqu’un d’autre qui l’apprécierait pour ce soir. Elle n’avait pas l’intention de le tromper juste de sortir, pour se sentir belle, pour essuyer cet échec cuisant qui avait fait plus que mal à son égo. Elle va dans la chambre, elle cherche quelque chose à se mettre. Remarque le panier du chien à coté du lit du coté où l’australien dormait. "Of course », se dit elle à elle-même.  Elle sort finalement une robe noire, moulante, do nu, courte. Tout ce qu’elle n’était pas, donc tout ce qu’il lui fallait ce soir.  Elle s’habille rapidement, se maquille l’hématome, attrape son sac, ses clés, Casey est bien trop occupé avec le chiot pour s’apercevoir de tout ça. Elle ouvre la porte.  "I’m going out, don’t wait up!" Elle s’enfuie comme une voleuse. Prend les escaliers, perchée sur ses talons, et plus elle descend plus elle se sent ridicule. Un étage plus bas, elle finit par se laisser tomber sur les marches, assise. "Fuck!" Même ça elle n’arrivait pas à le faire. Elle enlève ses chaussures et remonte dans son appart’, laisse tomber ses affaires dans l’entrée avant de se glisser directement dans son lit, passablement irritée.