vivre comme si c'était ton dernier jour. ah, mais en fait, ça l'est. | aramis

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aramis d'albon

We begin by joints or condoms ?

prénom : aramis, on t’a appelé comme ça, t’sais pas exactement pourquoi, c’est tes parents, sont un peu chelous sur les bords, mais bon, c’est pas pire que si on t’avais appelé dartagnan, hein. nom : d'albon, hérité de ton père, qu’il a hérité de son père, qu’il a lui-même hérité de son père, enfin bref, on pourrait y passer des jours. âge, date de naissance : vingt balais, né le 19 mai 1996, une journée banale, pas trop de trucs à dire là-dessus. à part qu'il y avait ta sœur, avec toi. lieu de naissance : t’es né à paris, dans un hôpital de bobos, dans un quartier bobo. origines, nationalité : t’es français, tes parents sont français, mais les parents de ta mère étaient corses. ça compte pour une origine ? orientation sexuelle : tu sais pas trop c’que t’es, t’as annoncé à tes parents que t’étais gay, puis, en fait, tu fais pas vraiment gaffe, t’manière c’est plus important, maintenant que tu peux plus coucher sous peine de refiler ta merde à d’autres. occupation : t’essayes d’échapper à la mort ? puis t'es caissier pour les entrées au zoo, aussi. te faut bien un peu de fric. situation financière : carrément dans la merde, mais tu peux encore te payer ta chambre à l'auberge, alors pour l'instant ça passe. statut civil : célibataire, et tu comptes bien le rester et finir ta vie d’ici un an, seul, avec peut-être pour seule compagnie ta perruche. même si c'est vrai qu'il est là, tu l'aimes, mais tu peux pas lui faire subir tout ça. traits de caractère :t'es pas compliqué, toi, à cerner. déjà que tu sais pas mentir, alors cacher ta personnalité ? hm, c'pas pour toi. t'es un lâche, ça, y'a pas à dire. tu fais que te défiler, tu esquives, tu ignores. tu aimes pas faire face à tes responsabilités, de toutes manières, t'en a aucune. avant peut-être, avant de flancher, t'aurais pu. t'aurais pu t'en sortir, t'aurais pu pas finir comme le raté que t'es aujourd'hui. mais c'est comme ça, y'a eu l'accident, tu t'en es voulu, et t'as fuis la vérité. d'un certain côté tu as peur de la vérité, mais tu ne sais pas la cacher. tu n'aimes pas entendre ce que tu ne veux pas entendre. t'es un gamin pourrie gâté, tu le seras toujours, même loin de tes parents, même sans fric. t'as toujours eu c'que tu voulais, alors aujourd'hui, être loin de tout ça, c'est frustrant. pourtant, derrière ça, t'es pas un mauvais gars. t'es gentil, peut-être un peu -beaucoup- de mauvaise foi, mais sympa. t'approches pas les gens, c'est eux qui t'approchent. mais c'est pas eux qui t'adoptent, c'est toi qui les accepte. parce que tu t'es fermé, depuis l'accident et que t'approches plus grand monde. un jour t'as approché jude. depuis, vous vous séparez plus. avec les gens ? ceux à qui tu tiens ? ceux que t'as acceptés ? tu les aimes. ils sont tout. ils sont ta seule vie, ta seule famille, parce que t'as plus ta sœur, t'as lâché tes parents, alors c'est les seuls. et quand tu aimes, tu protèges. t'es jaloux. t'es possessif. et t'as peur de l'abandon. t'as peur qu'ils te lâchent tous, comme t'as lâché tes parents, comme t'as lâché ta vie à Paris, comme t'as lâché ta sœur aussi, indirectement. puis aussi, y'a autre chose qui fait de toi celui que t'es. t'as pleins de tics, y'en a qui arrivent comme ça, sans prévenir, d'autres qui sont là depuis ta tendre enfance... quand t'es stressé, tu fait claquer des doigts. tu peux pas t'en empêcher. tu te ronges les ongles, aussi. jusqu'au sang. la peau. tes doigts ont longtemps étés recouverts de bandages pour ne plus que tu saignes. t'as pas la foi, t'es pas téméraire, t'abandonnes vite. tu crois en rien, tu rêves pas, t'es pessimiste. puis surtout, t'es maladroit. tu sais pas parler, tu sais pas t'exprimer. tu bégayes, des fois, quand ton cœur bat trop vite et que tes pensées dépassent la vitesse à laquelle tu parles. t'as jamais été doué à l'oral, autant dans ta vie privée que scolaire. en gros, t'es toi, t'as pas de chance, qui aimerait être toi, après tout ? toi t'as pas d'admirateurs, pas de personnes qui voudront te ressembler. toi.célébrité : sean grace groupe : il est kiffant.

Banana Split

ton plat préféré : t'aimes le foi gras, les truffes, et tout ce que tu mangeais dans ton enfance lors des dîners de famille et d'affaires de tes parents. ta boisson alcoolisée préférée : toutes les boissons les plus fortes possibles, t’es pas difficile. plutôt chat ou chien : les chats ça griffe, les chiens ça mord, t’aimes pas ça, tu préfères les oiseaux. ta relation avec tes parents en un mot : dégueulasse. t'es un bon menteur : une vrai merde, comme dans tout, en fait. quelles sont les trois choses que t'apporterais avec toi sur une île déserte : un couteau, une corde, et une échelle. le couteau soit pour te planter soit pour réussir à couper des trucs, la corde soit pour te pendre soit pour pas te perdre et l’échelle tu sais pas pourquoi. p’tet pour monter aux arbres ou pour monter sur un très haut point et sauter. une de tes peurs : la mort ? ton adolescence en un mot : compliquée. le pays que t'aimerais visiter : l’afrique du sud, pour les paysages. t’aimerais bien finir ta vie là-bas, mais t’as pas vraiment le fric. ton plus grand regret : avoir couché avec cette nana sans te protêger. ta plus grande fierté : t’es pas fier, tu peux pas être fier, t’es une sous-merde, tu sais pas te débrouiller seul, tu vas crever, alors t’es pas fier, nan. ta chanson du moment : 7 years, lukas graham.

toi et la clope, c'est souvent ? 5, depuis que t’as su que t’allais crever un jour ou l’autre, tu fumes limites un paquet par jour. mais tu fumes pas que des clopes. et tu te demandes pourquoi t’es bientôt à découvert, beh putain. est-ce que tu vas souvent au McDo ? 3, c’est pas très cher, mais t’as jamais suffisamment la dalle pour bouffer. t'aimes les repas gastronomiques ? 0, trop cher. en soirée, tu commences d'abord par la bière ? 0, t’attaques direct par les choses plus lourdes. le petit-déjeuner le matin, c'est obligatoire ? 0, t’as jamais assez la dalle, t’as perdu l’appétit depuis un an. les animaux, c'est ton truc ? 1, combien de fois va falloir le répéter ? nan, t’aimes pas ça, sauf les piafs. la plage, t'aimes ça ? 0, t’es blanc comme un cul, t’as jamais mis les pieds dans l’eau au part à l’école pour la piscine. tu rêves de vivre à la campagne ? 5, c’est calme, tu serais tout seul, tu pourrais crever en paix, ça t’irais parfaitement. voyager fait partie de tes plans pour l'avenir ? t’as vachement voyagé durant ton enfance et ton adolescence, avec tes parents. inde, chine, maroc, brézil, canada, états-unis… les enfants, ça te fait peur ? 0, t’y a jamais pensé, t’en aura jamais de toutes façon. biarritz, c'est une ville animée ? 5, y’a la drogue, y’a les bars, c’est suffisamment animé pour c’que t’as à y faire. puis accessoirement y’a l’hôpital, ça te sers, de temps en temps, quand ça te prend... quand même. quand tu sors, tu rentres seul(e) ? 5, à part pour boire un café. tu couches plus depuis que t’as appris pour la saloperie qu’est dans ton corp. tu respectes le code de la route ? 2, t’as pas de caisse, t’as eu ton permis, mais maintenant quand tu conduis, tu fais plus vraiment gaffe.

Strawberry fields

Apy

pseudo/prénom : apy, puis j'm'apelle encore Maloé vivre comme si c'était ton dernier jour. ah, mais en fait, ça l'est. | aramis 478423410

âge : j'ai toujours quinze ans vivre comme si c'était ton dernier jour. ah, mais en fait, ça l'est. | aramis 3883965462

pays : la french ~~touch~~ type de personnage : un p'tit inventé, encore vivre comme si c'était ton dernier jour. ah, mais en fait, ça l'est. | aramis 478423410

qu'est-ce que tu penses de LOL : ~~j'le déteste, c'est moche, trop de vert, vous êtes pas accueillants, mais bon, j'suis pareille alors tant mieux.~~ quel niveau d'intervention laisses-tu à aléas de la vie : trois, parce qu'il aura pas de répit vivre comme si c'était ton dernier jour. ah, mais en fait, ça l'est. | aramis 3393903762

vivre comme si c'était ton dernier jour. ah, mais en fait, ça l'est. | aramis 3393903762

crédits : moi pour l'avatar puis après y'a pas vraiment de trucs sur le monsieur vivre comme si c'était ton dernier jour. ah, mais en fait, ça l'est. | aramis 2928427356

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dernier mot : vivre comme si c'était ton dernier jour. ah, mais en fait, ça l'est. | aramis 2486528855

vivre comme si c'était ton dernier jour. ah, mais en fait, ça l'est. | aramis 1501194597

Code:: <mt>sean grace</mt>◊ aramis d'albon

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l'envie de tout

You call It madness, but I call It love

(l'envie d'débarquer) t’es né y’a vingt ans, dans un hôpital de paris, l’un des meilleurs, dans l’une des chambres les plus luxueuses, avec tout un service quasiment pour toi et ta mère. après tout, ton père avait payé cher, très cher, pour avoir des conditions optimales pour sa femme et son nouveau né. enfin, ses nouveaux nés. ouais, parce que vous étiez deux, dans le bide de ta mère. puis y’a eu l’épreuve des prénom. ils avaient déjà choisis, un peu, même s’ils avaient décidés de pas connaître les sexes. ils avaient préparés deux prénoms pour les filles, et deux prénoms pour les gars. mais ils se doutaient pas que y’aurais un de chaque qui serait utilisé. pour les filles, c’était entre adélie et aliénor. ils ont pris adélie. pour les gars, entre côme et aramis, c’est tombé sur aramis. des parents un peu hasardeux, qui aiment jouer. ils l’ont fait à pierre feuille ciseau.
(l'envie d'grandir) t’as grandis. adélie aussi. vous étiez proches, vous étiez vous. vous vous complétiez, vous vous aimiez. c’était ta meilleure amie, ta petite sœur, la femme de ta vie. parce que les femmes dans ta vie, tu savais bien que y’en aurait que deux. ta mère et adélie. et ça, tu le savais déjà à quinze piges. sauf que tu l’a su par une erreur, une erreur que tu regretteras, une erreur pour laquelle tu te maudiras, chaque instant de chaque minute jusqu’à ta mort. tu l’as su, parce que t’as embrassé le copain d’adélie, ou plutôt, c’est lui qui t’a embrassé. il était pas clean, il avait fumé un peu, adélie aussi, t’étais le seul, tu voulais pas, toi. elle était partie aux toilettes, vous vous entendiez bien… puis quand elle est revenue, elle vous a vu, elle vous a cramer, ah, les cons. vous auriez pas dû, et lui comme toi, vous vous en voulez aujourd’hui à un point inimaginable. quand elle vous a vu, elle s’est barré, elle a lâchée son téléphone, elle a couru, elle a dévalé les escaliers de votre grande maison et, elle est tombée. elle s’est brisée la nuque. elle est morte sur le coup.
(l'envie d'oublier) puis t’es tombé, t’as commencé à faire des conneries, t’as commencer à trainer avec les personnes qu’il fallait pas, à arrêter de bosser au lycée, à fumer, plus ou moins des choses illégales, à t’enivrer, même si tu restais toujours un peu raisonnable. après tout, t’es pas con, enfin, t’étais pas con, t’avais juste fait une connerie, t’avais conduit ta sœur à la mort, par une erreur, et tu t’en voudra toute ta vie. un an et demi après la mort d’adélie, t’avais dix sept ans. et tu l’a annoncé à tes parents, t’as dit que t’étais gay, que t’aimais les hommes, que les femmes ne t’attiraient pas, qu’ils auront jamais de petits enfants, maintenant qu’adélie n’était plus. ils l’ont mal pris.
(l'envie d'fuir) t'as quitté paris. t'as quitté tes parents. t'as fais tes valises, sans rien dire à personne. t'as brisé ta vie, sans penser à personne. mais t'étais egoïste, tu pensais à toi, seulement à toi. tu pensais à ton mal-être, depuis la mort d'adélie. ta maison, c'était plus la tienne. c'était celle dans laquelle t'avais grandi, c'était celle dans laquelle t'avais vécu, dix-huit ans. mais au final, sans elle, il n'y a plus de vie. alors tu t'es barré. t'as tout lâché, t'as tout quitté. ils bossaient, tes parents. t'as pris tes affaires, tu leur à volé du fric. t'as pris ta carte bancaire, t'as ouvert un compte à part, t'as tout mis dessus. t'as disparus. t'as pas laissé de carte, pas de mot. t'as juste laissé une photo de toi. de toi et d'adélie. sur ta table de chevet. tu sais pas s'ils t'ont cherchés, tu sais pas s'ils te cherchent encore. tu sais pas s'ils sont heureux que tu te sois enfin barré, que toi, le fautif dans l'histoire, t'ais mis les voiles. de toutes manières, ça faisait un an que tu leur avais pas adressé la parole. un an que vous mangiez en décallé, un an qu'ils jouaient les hypocrites avec toi, lorsque vous receviez du monde, des amis, pour les diners d'affaires et qu'ils disaient haut et fort que tu étais leur fils, leur fierté, leur bonheur. tu les a jamais cru.
(l'envie d'vivre) t'as été la première fois de quelqu'un. ouais. la première expérience de quelqu'un. quelqu'un qui aujourd'hui, est tout pour toi. ton frère, ton meilleur ami. ton double, ton âme-soeur, ton âme de coeur. il est tout pour toi, il le sera à jamais, et on sait bien, que le jamais pour toi, il est pas si loin. jude. quelques semaines après ton arrivée à biarritz, vous vous êtes rencontrés. une soirée banale, une soirée sympa. il te plaisait pas plus que ça, et toi non plus. mais vous vous entendiez bien, et il t'a fait une proposition. il avait jamais testé les mecs, et il voulait savoir si vraiment il aimait les femmes, ou si les hommes le dérangeaient pas. toi ça te gênait pas. tu l'aidais, t'y a gagné une bonne nuit. la satisfaction d'être quelqu'un pour lui. le bonheur qu'il devienne ton seul vrai ami, à cette période. mais la reproche qu'il soit là, quand toi tu ne l'es qu'à moitié, que tu le traines vers le fond, alors qu'il est pas plus chanceux que toi. la honte de le détruire, en même temps que tu te détruits toi. sauf que lui, il va pas mourir. sauf que lui, il va continuer à vivre, il va être heureux.
(l'envie d'tenter) puis t'as eu envie, toi aussi. envie d'essayer avec les femmes, envie de voir si tu pouvais les aimer. une experience. tu voulais faire comme jude. puis y'a eu cette nana, au bar d'une des soirées auquelles t'as participé. elle buvais sa vodka, seule, elle te lançait des petits regards, parfois même elle te souriait, enjôleuse. mais elle était bien murgée et toi aussi, alors ça à finit aux chiottes. y'avait bien la capote, mais t'avais pas calculé. t'avais pas pensé qu'elle pouvait être trouée. t'avais pas pensée que cette experience pouvait ruiner ta vie. parce que tu savais pas qu'elle était séropositive.
(l'envie d'arrêter) y'a d'abord eu la fièvre. puis les boutons qui apparaissaient sur tout le corp. puis la fatigue. puis la chiasse. t'as d'abord cru à une grippe, un mal que t'avais attrapé tu sais plus trop comment. alors t'es allé voir ton medecin, et il t'a dit que tu devrais faire le test du VIH. tu voulais pas y croire, en fait, t'y croyais pas. tu voyais pas comment t'aurais pu l'attraper, et tu voulais pas te dire que c'était la fin. que t'avais râté ta vie, même en fuyant ton passé. tu pouvais pas concevoir que t'avais fais une connerie en plus, que t'avais couché avec la mauvaise personne... c'était quinze jours après cette fameuse fête. c'est comme ça que t'as fais le rapprochement. entre la nana, la capote déchirée, et le VIH. alors tu t'es barré, t'as quitté l'hôpital, tu t'es terré dans ta chambre, à l'auberge, pendant une vingtaine de jours. t'as pas voulu sortir, t'as pas voulu aller à d'autres soirées. c'était finit, pour toi. puis t'es retombé sur la demande de consultation du médecin, qui te donnait le numéro de téléphone d'un spécialiste à l'hopital, pour que tu prennes rendez-vous. tu pouvais pas rester dans l'incertitude, même si t'en étais quasiment sûr. et puis, jude te poussais à y aller. parce qu'il avait deviné en voyant l'avis. alors t'as appelé. et ouais, t'étais séropositif. oh, ils t'ont bien proposés des vaccins, des antibiotiques, que des conneries selon toi. là aussi, tu t'es barré. t'as pris tes résultats, t'as remercier le médecin, et t'as quitté l'hôpital. t'y a pas remis les pieds, depuis.
(l'envie d'aimer) il est là, il est parfait. il est là, il t'attend. il est là, il te veut. mais toi tu veux pas, non, toi tu l'évites, tu souffres, mais tu fais ce que t'as l'habitude de faire : fuir. parce que tu veux pas le faire souffrir avec ce qu'il t'arrive, tu veux pas lui donner espoir, et tu veux pas qu'il te donne de l'espoir non plus. mais tu peux pas te passer de lui. tu peux pas l'ignorer, parce que tu l'aimes. il est ton colocataire avec d'autres, mais il est là. et toi t'en peux plus.
(l'envie d'clamser) un an. une putain d'année sans aller à l'hôpital, pour voir où en était ta maladie. une putain d'année à pas prendre d'antibiotiques. une putain d'année à te dire que t'allais mourir, d'ici peu, avec la vaine que t'as. une putain d'année à fumer tout ce que tu pouvais trouver, à boire les boissons les plus fortes et à dégueuler pendant des jours tellement tu t'étais torché. une putain d'année à pas coucher, parce que tu faisais plus confiance aux capotes. mais un an, c'est long. un an, ça laisse le temps à l'espoir de se faufiler dans ta vie, dans ton être. un an, ça t'a laissé espérer, en tout cas. mais y'a deux jours, c'est revenu. la fièvre, la fatigue, les boutons. avec les sueurs nocturnes, les problèmes de peau, les gonflements des ganglions. là t'as compris. t'as compris que c'était la fin. genre, vraiment. qu'il te restait plus longtemps, quelques mois, trois ans au plus, peut-être. parce qu'en un an, t'as fait des recherches sur le mal qui te rongeait. t'as appris que c'que tu vivais, c'était la deuxième phase. la phase qui voulait dire que tu t'étais pas bougé le cul, que t'allais clamser. la phase qui voulait dire que tu pouvais attraper autre chose. un cancer. une sorte de champignon. un truc qui te conduirait droit à la mort. mais tu t'es pas bougé plus. sauf que tu peux pas. non, tu peux pas. faut que t'y ailles, faut qu'ils te disent combien de temps exactement il te reste. faut qu'ils t'expliquent. faut qu'ils te soignent. parce que tu peux pas vivre avec ces maux.

MON BEBE D'AMOUR ET SON NOUVEAU PERSOOOO !!
Trop perf, rebienvenue du coup et j'espère que tu vas me garder de la place pour RP !!

t'auras toujours plein de place pour plein de rp, bb. vivre comme si c'était ton dernier jour. ah, mais en fait, ça l'est. | aramis 1501194597

vivre comme si c'était ton dernier jour. ah, mais en fait, ça l'est. | aramis 2389628975

merciii.

vivre comme si c'était ton dernier jour. ah, mais en fait, ça l'est. | aramis 3259770864

vivre comme si c'était ton dernier jour. ah, mais en fait, ça l'est. | aramis 2814607392

Invité

Re-bienvenue sur le fofo. I love you

Bonne rédaction louloute. <33

Invité

Yeah ! Le coloc ! ça va être la joie avec Mattie, elle, elle aime tout les animaux sauf les oiseaux x)

J'espère bien ma p'tite bombe

merci mes p'tits loups vivre comme si c'était ton dernier jour. ah, mais en fait, ça l'est. | aramis 478423410

c'est sûr que la coloc' ça va être la joie avec toute cette animalerie vivre comme si c'était ton dernier jour. ah, mais en fait, ça l'est. | aramis 2928427356

aramis va bien embêter mattie avec sa perruche vivre comme si c'était ton dernier jour. ah, mais en fait, ça l'est. | aramis 2389628975

Invité

c'est Ariane qui va être contente bienvenue chez toi chaton, n'hésite pas au besoin

ah mais oui, c'est vrai ça, pauvre ariane vivre comme si c'était ton dernier jour. ah, mais en fait, ça l'est. | aramis 2928427356

j’espère qu'elle est pas dérangée par le bruit ? vivre comme si c'était ton dernier jour. ah, mais en fait, ça l'est. | aramis 478423410

~~d'ailleurs mattie, on va rester dans les noms disneys, hein ? 8) Scar la perruche, ça sonne bien /meurt/~~

Invité

sean

vivre comme si c'était ton dernier jour. ah, mais en fait, ça l'est. | aramis 2683729542

rebienvenue vivre comme si c'était ton dernier jour. ah, mais en fait, ça l'est. | aramis 116022720

rebienvenue :hey: vivre comme si c'était ton dernier jour. ah, mais en fait, ça l'est. | aramis 2389628975

merci mes amours vivre comme si c'était ton dernier jour. ah, mais en fait, ça l'est. | aramis 1367095429

Invité

bienvenue sur lol

on fait péter le champagne !

Le coup des parents avec le shifumi, ça m'a tellement tué ! vivre comme si c'était ton dernier jour. ah, mais en fait, ça l'est. | aramis 2928427356

Mais mais mais, pourquoi t'a tué Adélie ? :( Et omg le lien avec Jude quoi !!! Je suis fan de ta fiche, je vais les shiper de près tous les deux. I love you

Faut pas qu'il disparaisse ton loulou. Je te valide. <3 Amuse-toi ! *-*

merciiii

ahah, j'ai hésité à la tuer, la miss, parce que j'hésitais à la faire en pré-lien, seulement je voyais pas trop, et puis l'idée de la sœur m'est venue après, pour le déclencheur des conneries de mimis vivre comme si c'était ton dernier jour. ah, mais en fait, ça l'est. | aramis 478423410

ah, jude, le bff, j'peux te dire qu'on en a parlé avec lui de ce lien vivre comme si c'était ton dernier jour. ah, mais en fait, ça l'est. | aramis 2928427356

z'allez pas être déçus avec les deux dépressifs en rp vivre comme si c'était ton dernier jour. ah, mais en fait, ça l'est. | aramis 2015466390

et sisisi, il va partir mon loulou, mais pas tout de suite vivre comme si c'était ton dernier jour. ah, mais en fait, ça l'est. | aramis 2389628975

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