(joséphine) La vie est un voyage qui se finit toujours un jour ...

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Joséphine Tavennec

We begin by joints or condoms ?

prénom : Joséphine, un prénom simple et plutôt ancien mais que j'affectionne plutôt pas mal c'est Gwenaëlle et Loig mes grand-parents qui l'ont choisi, sauf qu'eux deux ... tout le monde et à commencer par moi, croit qu'ils sont mes parents nom : Tavennec un nom de famille purement breton. Mes parents sont en réalité mes grand-parents. Ma vraie mère était leur fille de dix-neuf ans, Emilie Tavennec qui est morte en me mettant au monde, mon vrai père quant à lui est un mafieux ukrainien nommé Yuri Ivanskov que je n'ai jamais connu et dont je ne connais pas l'existence. âge, date de naissance : il y a vingt six ans j'ai vu le jour, un 4 juilletlieu de naissance : je suis née dans une prison à Paris mais personne ne le sait, offciellement donc j'ai été déclarée à la Mairie de Paris par Loig Tavennec, mon grand père qui est ainsi devenu mon père officiellement. origines, nationalité : je suis bretonne et fière de l'être puis je suis française. j'ai également des origines ukrainiennes mais ça, je ne le sait pas. orientation sexuelle : j'ai toujours préféré les hommes car ils sont pour moi beaucoup moins compliqué et médisants que les femmes. occupation : lieutenant de police depuis cinq ans. situation financière : plutôt aisée mais je ne suis pas motivée par l'argent statut civil : je suis en couple avec un certain Vitali Andrews mon bel ukainien. je le trompe néanmoins régulièrement. a présent je suis enceinte de trois mois mais je ne sais pas de qui traits de caractère : #calme #déterminée #généreuse #badass #flic #tenace #tetue #bornée #jolie #sportive #amoureuse #passionnée #bretonne #voyageuse #délicate #enceinte #malademaisrefusedeledirecélébrité : Margot Robbie la magnifiquegroupe :Il est relou!.

Banana Split

ton plat préféré : Hamburger maison ta boisson alcoolisée préférée : Bière plutôt chat ou chien : Chats ta relation avec tes parents en un mot : Bonne (et inexsistante avec mes "vrais" parents) t'es un bon menteur : Oui quelles sont les trois choses que t'apporterais avec toi sur une île déserte : Un livre, un oreiller, un kit de survie une de tes peurs : mourir ton adolescence en un mot : normale le pays que t'aimerais visiter : Ukraine ton plus grand regret : Ne pas avoir eu d'affection de Gabriel, mon aîné ta plus grande fierté : mon poste de Lieutenant de police ta chanson du moment : Gwladys - Angry

toi et la clope, c'est souvent ? 3 est-ce que tu vas souvent au McDo ? 5 t'aimes les repas gastronomiques ? 0 en soirée, tu commences d'abord par la bière ? 5 le petit-déjeuner le matin, c'est obligatoire ? 5 les animaux, c'est ton truc ? 5 la plage, t'aimes ça ? 5 tu rêves de vivre à la campagne ? 3 voyager fait partie de tes plans pour l'avenir ? 4 les enfants, ça te fait peur ? 5 biarritz, c'est une ville animée ? 4 quand tu sors, tu rentres seul(e) ? 5 tu respectes le code de la route ? 5

Strawberry fields

Lorelei Sebasto Cha

pseudo/prénom : Kusum âge : 30 ayépays : Bretagne!type de personnage : inventé qu'est-ce que tu penses de LOL : j'aime toujours aussi peu :pquel niveau d'intervention laisses-tu à aléas de la vie : 3 crédits : tumblr et moi mêmedernier mot : je vous hais d'une force! :p

Code:: <mt>margot robbie</mt>◊ joséphine tavennec

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Search and Destroy

You call It madness, but I call It love

(01 Quand l’Ukraine rencontre la Bretagne) Il était une fois … mon histoire commence avant ma naissance. Depuis combien de temps Yuri Ivanskov et Emilie Tavennec sont amoureux? C’est une bonne question, quoi qu’il en soit, lui est un mafieux connu des services de police, Emilie quant à elle est une jeune étudiante bretonne, de dix ans sa cadette qu’il rencontre pendant son voyage Erasmus à Kiev. Il la courtise et elle ne sait pas qu’il est un criminel notoire, elle pourrait s’en douter vu le palace dans lequel il vit. Emilie, jeune et heureuse de se voir offrir des cadeaux somptueux, finit par lui céder, cet homme charmant et charmeur de vingt-neuf ans la met en émoi. Alors qu’elle retourne en France bien obligée après six mois à l’Université, il lui promet de la rejoindre, voir de la faire revenir. (02 Quand l’innocence d’Emilie se voit brisée) Ce n’est pas le portique de sécurité qui sonne à toute blinde, ou les chiens qui reniflent quelque chose sur la frêle personne qu’est Emilie, c’est tout un groupe qui l’attend à l’arrivée à l’aéroport de Paris. « bonjours messieurs, en quoi puis-je vous aider ? » mais son visage heurte la vitre en verre de la cabine de douane avec un bruit sourd. les autres passager sont surpris, Emilie était la passagère discrète, elle n’a pas fais d’esclandre, elle n’a pas appelé l’hôtesse de l’air outre mesure, elle a même joué avec cet enfant quand la mère a voulu aller aux toilettes. Voilà maintenant qu’on l’arrête? Leurs jugements sont vites faits, « on ne connait jamais vraiment les gens qu’on voit » et vous savez « si la police fait, la police a raison. » du moins c’est ce que leur esprit étriqué leur commande. « veuillez nous suivre mademoiselle Ivanskov » elle ne comprend pas et a beau se défendre, se dire être « Emilie Tavennec » rien n’y fait. Dans la petite pièce froide où elle est menottée à la table on lui présente les faits. Et son monde s’effondre. Des photos d’elle et Yuri. Et puis des coupures de presse. Le collier qu’il lui a offert à leur troisième rendez-vous volé au musée national, et ainsi de suite … elle est sans voix. Son Yuri s’est joué d’elle. Il lui a menti. (03 Quand on pousse son premier cri en prison) Mais ce voyage en prison, n’est pas la seule chose que l’ukrainien a laissé à Emilie pour se souvenir de lui. Trois mois après son incarcération -car oui on l’a jugée « coupable » et puis surtout qu’on a voulu « montrer l’exemple »- on découvre qu’elle est enceinte. Si sa famille lui exhorte de ne pas garder l’enfant pour Emilie, Yuri n’a rien à voir là dedans, elle ne pourrait jamais terminer une vie « il a rien demandé ce petit bout » disait-elle à sa mère en se caressant le ventre du bout de ses doigts « il a lui aussi le même droit que nous à vivre » en peu de temps son ventre avait doublé de volume, et on n’avait pourtant pas décidé de la placer dans une « prison spécialisée », vous comprenez, même si Yuri n’a jamais pris contact avec elle, la simple possibilité qu’il le fasse pendant un transfert est un risque qu’il ne se risqueraient pas à prendre. Et ce malgré les insistances des parents d’Emilie. « je vous en prie, je vous en pries, s’il vous plait, j’ai perdu les eaux … » finit-elle par murmurer de désespoir dans sa cellule. la gardienne décida finalement de l’amener à l’infirmerie, mais c’était déjà trop tard, la tête était déjà sortie. bien obligée, elle a du terminer l’accouchement dans la cellule. « c’est une fille » dit-elle avec pour une fois un peu d’émotion dans la voix, ce qui n’était pas habituel chez elle. « une … une fille … » murmurait-Emilie en prenant le nourrisson dans ses bras et la posant sur sa poitrine. « bienvenue petit bébé » dit-elle dans son dernier souffle. L’équipe médicale arriva -bien sûr- trop tard, Emilie avait succombé à l’accouchement et à son incarcération. Je suis née et une dizaine de minutes plus tard, ma mère est morte. (04 Quand on te permet d’avoir une vie vierge de malheurs) Ils ont bien du reconnaitre qu’ils avaient merdé. Une association les a mis face au fait accompli « une femme accusée à tord qui accouche de son enfant en prison avant d’en mourir » c’est sûr que ça passe mal. J’ai connu la célébrité les quelques premiers mois de ma vie, j’étais « le bébé prison ». Mes grands parents ont réussi à obtenir ma garde, Emilie et Yuri n’étant pas mariés c’était normal. Il n’a jamais non plus cherché à me voir et puisque Loig Tavennec, mon grand père m’a déclarée comme sienne à la Mairie, il était mon père, j’avais aucune raison d’en douter. Ils sont retournés lui et Gwenaëlle à leur Bretagne natale. Ils avaient déménagé d’une petite ville dans le Finistère Sud où tout se savait à Brest, plus étendue, ou Tavennec était plus courant et où on ne ferait pas de lien forcément avec Emilie, et on n’avait jamais donné de nom au bébé que j’étais. J’étais donc officiellement la fille de mes grands-parents, sans que je ne le sache. Ils m’offraient une nouveau départ. « Elle s’appelle comment ? » avait dit Arthur qui avait été gardé par la voisine. Arthur c’était celui qui allait devenir mon frère. Il était beaucoup plus jeune qu’Emilie et n’en avait pas beaucoup de souvenirs puisqu’on lui a caché l’histoire. « Ta petite soeur s’appelle Joséphine » dit Grenaille à Arthur « Ma petite soeur? Ma … petite soeur! » j’étais encore bébé mais à l’époque il était tellement heureux du haut de ses quatre ans que je sois sa soeur qu’il jura « Je prendrai soin d’elle maman je te promets! » Ce fut simple de faire croire que Gwen’ était allée à Paris avec mon père afin d’accoucher. (05 Quand ton point de vue est biaisé tu ne peux pas tout comprendre … ) Celui qui n’a pas du tout réussi à accepter la supercherie c’était Gabriel, l’aïné de vingt ans qui faisait ses études sur Rennes. Mais il faut dire qu’il avait toujours cru à la culpabilité d’Emilie et avait cessé tout contact avec les parents au moment de l’incarcération de sa soeur. « Il n’est pas question que je l’appelle « soeurette. » c’est pas à nous de gérer les conneries d’Emilie! » disait-il à ma mère qui s’effondrait en larmes. J’entrais dans la pièce, timidement, Gabriel n’avait jamais été chaleureux avec moi et je ne l’avais jamais compris. Je n’avais pas non plus toutes les informations il fallait dire.« Ne dis pas ça de ta soeur » est elle ouvrit grand la bouche en me voyant. « Sors de la petit monstre! » hurla Gabriel alors que je fondis en larmes ne comprenant pas. Ma mère m’a expliqué à Arthur et à moi qu’on avait eu une grande soeur, Emilie qui avait un an de moins que Gabriel et dont il était très proche. Bouche bée on buvait ses paroles. « Elle est morte dans un accident à peu près au moment où tu es née ma chérie » en un regard elle nous a dissuadé de ne jamais en reparler. Pourtant on aurait pu en trouver des choses sur Emilie Tavennec. Mais nous n’avions pas de raison de remettre en question ce que notre mère nous disait. Peu de temps après, Gabriel coupait complètement les ponts avec nous, au plus grand désespoir de ma mère. « T’en fais pas maman, il reviendra! » lui dis-je en prenant de ma petite main la sienne tremblante. (06 Quand tu vis ta vie tranquillement) Rapidement on a déménagé encore, on aimait la Bretagne, mais papa a décidé de nous emmener dans le sud de la France. Ca a été difficile pour moi de quitter Brest où j’avais déjà toute ma petite enfance. J’avais mes amis, mon école, mes jeux, me habitude, enfin en un mot : ma vie. « Je peux pas rester ici moi? » avais-je tenté alors qu’il fallait que je m’installe dans la voiture. Mais bien sûr il n’en était pas question. Alors qu’Arthur me divertit tout le trajet, moi j’regarde le paysage défiler devant moi. Faut dire qu’à douze ans j’m’étais mise à me rebeller. Mais le soleil et les paysages avaient eu raison de moi et ma mauvaise foi. Même si je me considérais bretonne j’ai fini par apprécier la vie à Biarritz. Le soleil, la mer, tout ça c’et agréable bien sûr. Même si je ne renierai jamais mes origines bretonnes, je suis très bien ici. Je ne suis pas une enfant difficile, je n’ai aucune raison de l’être. Je suis entourée et ma famille est chaleureuse. Gabriel, lui, ne fait plus parler de lui. Si Arthur et moi supportions bien la chose puisqu’on ne l’a jamais beaucoup vu, les parents eux, ça les attriste sans qu’on puisse comprendre pourquoi. (07 Quand le choix que tu décides de prendre pourrait te sembler ironique si tu connaissais la vérité) J’ai toujours été quelqu’un d’énergique et de sportif. Depuis tout petite Arthur et moi enchaînions les footing, les séances de musculation. Tous les deux nous étions inséparables, l’un n’allait pas sans l’autre, tellement que mon premier petit ami fut un copain d’Arthur. Un mec charmant qui a craqué pour mes yeux bleus et ma chevelure dorée. « Mais arrête Arthur, c’est pas pareil, toi t’es mon frère, tu sera toujours plus important pour moi! » l’assurais-je après avoir déserté un repas de famille pour aller me promener ou jouer au foot avec mon petit ami. Nous grandissions l’un et l’autre, et l’énergie que j’avais j’arrivais à l’ordonner, à la canaliser surtout. « Bonjour … » dis-je timidement à la conseillère d’orientation. Je réfléchissais à ça depuis un moment. « Est ce que … enfin … » je triturais mes mains dans tous les sens, il fallait que je crache le morceau, elle me regardait néanmoins avec attention et patience. Ce dont je lui étais gré. « Comment on fait pour entrer dans la police ? » j’étais rentrée à la maison avec plein de prospectus dans mon sac. Contrairement à ce qu’on aurait pu penser, c’était pas mes parents qui ont été le plus surpris de mon choix de carrière, mais Arthur. « Mais, Joséphine, tu peux pas être flic! C’est pas possible » et par A+B il me prouva qu’il avait raison. « Tous les flics ne sont pas comme tu le dis, et fort heureusement. Arthur, je veux faire le bien, je veux défendre les gens. » j’étais peinée qu’il ne se réjouisse pas pour moi et encore plus qu’il m’encourage à ne pas continuer. Je mettais ça sur le compte de sa petite amie du moment, une hippie toujours prête à accuser les forces de l’ordre de tous les maux de la terre. Mais mes parents n’étaient pas vraiment rassurés non plus. Peut être étais-ce à cause de leur expérience passée avec la police, Emilie et cet emprisonnement qu’elle avait du endurer. Peut être que c’était aussi parce que dans leur rangs je pourrais en savoir plus sur Emilie, et découvrir qui était ma vraie mère … et mon père ce bandit … mais ils ne dirent rien et je préparais tout pour passer le concours. A vingt-et-un ans, titulaire d’un bac + 3 je m’envole pour Cannes Ecluses pour un an et demi afin de me former. Studieuse et très soucieuse de bien faire je gagne rapidement la réputation de la première de la classe. Ce qui ne me dérange pas le moins du monde. D’ailleurs ça paye parce que j’obtiens du coup une affectation à Biarritz avec le titre de « lieutenant de police ». (08 Quand le passé ressurgit mais que tu ne le sais pas parce que tu n’as pas toutes les cartes en main) « Fêtons ça! » oh bien sûr sans abus, j’étais à présent dans la police nationale comme aimaient mes amis à me le rappeler. Il était assis à l’autre bout de la pièce et pourtant je l’ai tout de suite vu à travers la foule. Il avait un charme fou et pendant tout le reste de la soirée, mon regard n’eut de cesse que de le chercher. C’est à la fin de la soirée que, légèrement émechée, je le retrouvais sur le trottoir, devant le bar, en train d’allumer un clope. « Bonsoir! » dis-je simplement avec mon plus beau sourire. « Bonsoir » répliqua t’il sans se troubler. Dix minutes plus tard on s’embrassait langoureusement contre le mur. Une demie heure plus tard je visitait sa chambre pour la première fois d’une bonne flopée d’autres. Vitali Andrews était ukrainien, il avait le charme slave qui m’a tout de suite conquise. Mais en réalité, Vitali était mon demi-frère. Envoyé par Yuri pour me surveiller de plus près, moi sa fille qu’il avait toujours eue à l’oeil. Moi sa fille qui ne connaissais même pas son existence et qu’il n’avait jamais cherché à contacter. Et aussi simplement qu’Emilie était tombée sous le charme de Yuri, je tombais sous celui de Vitali. Comme quoi, l’histoire a une fâcheuse tendance à se répéter. « Il faut que je vous le présente! Vous êtes à la maison demain avec papa? » au bout du fil, Grenaille paniquait. « il est Ukrainien tu dis ? » elle n’avait que de mauvais souvenirs à cette évocation. « T’en fais pas maman, ça va très bien se passer. » et je n’eus pas tord. Leur réticence à le rencontrer je la mis sur le coup du fait qu’il leur « enlevait » leur fille alors qu’en réalité ils avaient peur qu’il s’agisse d’un des sbires de Yuri Ivanskov. Mais il faut dire que Vitali a joué l’illusion à merveille et c’est passé crème. (09 Quand tu te rends compte que t’as foutu ta vie en l’air pour une histoire de fesses) « On aurait jamais du … » assise sur le lit je le regarde encore sous le draps. Hier soir on a eu affaire à un truc plutôt musclé. Un accident de la route plutôt injuste. Un mec qui fumait à fait tombe sa clope allumée dans l’habitacle. Bien sûr la fumée à envahi le véhicule et il a quitté la route des yeux, deux secondes, pour essayer d’écraser du pieds le mégot. Deux secondes. Un stop grillé. Une mère et sa fille dans un état critique. Le choc. Le mec n’avait pas bu, pas la moindre goutte d’après l’ethylotest qu’on lui a fait passer. Mais la petite est morte dans l’ambulance l’amenant à l’hôpital. Il était là quand je suis allée vomir dans l’allée plus loin. J’avais déjà assisté à des choses horribles alors pourquoi celle là m’a plus émue. Aucune idée. Et puis c’est devenu une habitude, une sorte de rendez-vous. Je me sentais mal parce que j’aimais Vitali, mais en même temps, il y avait des choses qu’il ne pouvait pas comprendre. 10 Quand tu as envie de fermer les yeux et de hurler jusqu’à ne plus avoir de voix) Ca a commencé par des clics. Ces petits clics ou des moments de blocage. Dans les mains particulièrement. Quand elles sont trop crispées autour du volant. Quand elle tient la clope entre ses doigts fins. Je me suis pas inquiétée. J’ai laissé courir. « Police, ouvrez! » arme brandie nous avions été appelés pour un banal cas de tapage nocturne. « MADAME Bertrand, c’est l’inspecteur Tavennec, répondez nous » mais c’était le silence le plus total. D’un geste de la main je fis venir le bélier et d’un bruit sec la porte céda. Personne dans l’entrée, j’allais dans le salon suivie de mes hommes et la vis, au milieu de la pièce, avec lui dans le dos. « Monsieur Bertrand! Calmez vous » plusieurs fois on était venu à leur domicile, violence conjugale. C’était monnaie courante malheureusement pour cette femme au foyer. « Reculez où je lui tranche la gorge ! » et il ne rigolait pas j’en étais sûre. « Joséphine, je vous en prie, faites ce qu’il vous dit! » je levais les bras et mon arme. « D’accord. D’accord! On recule » dis-je en le faisant et invitant mon équipe à le faire aussi. « Je vais poser l’arme sur la table. D’accord ? » dis-je en sentant le coin de la table contre ma cuisse. Lentement je baissais la main et posais l’arme dessus. Mais impossible de lâcher l’arme. Ma main était crispée et à la fois engourdie. Je secouais la main mais rien à faire « Lieutenant! Attention! » la balle me toucha de plein fouet au niveau de la clavicule. […] « Pardon? » je me mis à rire nerveusement. « Je … je suis désolée, je suis trop jeune pour ça … » mon rire s’amplifiait dans la pièce mais le regard du médecin ne changeait pas. « J’ai que vingt-six ans bordel! » dis-je en me passant la main dans les cheveux. C’était pas rien. La maladie de Charcot. Normalement ça ne touche que les « vieux » mais il avait falllu qu’elle me choisisse moi … J’pensais être là que pour ma clavicule cassée et voilà qu’on me diagnostiquais une maladie rare … icurable. C’était le premier avril? « Joséphine, ça va ? » « Fous moi la paix ! » et je me suis mise à courir, à courir de tout mon saoul. Jusqu’à l’épuisement. Jusqu’à sa porte. Il m’a accueillie sans poser de questions. Je le laissais me prendre dans ses bras. M’enlacer toute la nuit. M’apaiser. « Vous êtes aussi enceinte Mademoiselle Tavennec. » comme si ça ne suffisait pas. « C’est dangereux dans votre condition. Vous savez que … » « … la maladie de Charcot est très probablement héréditaire. » il serait donc probable de transmettre ça a l’enfant. « Surtout si vous arrivez à terme. Je ne veux pas vous alarmer mais, il est possible que la grossesse amplifie certains symptômes et favorise la paralysie … » ce qu’il était gai. « Vous devriez en parler au père et prendre la décision qu’il faut, pensez à vous » J’étais perdue. J’avais pris mon sac et claqué la porte. Le père hein … mais c’était qui? Vitali ou mon amant ? Mon amant ou Vitali ? Est ce que je voulais être mère? Et cette maladie. Je baissais mes yeux sur mes mains qui tremblaient. Peur ou symptômes ... depuis trois mois je vis dans cette terreur. Je n'ai rien dit. J'ai caché mes tremblement par la balle dans la clavicule. Mais la grossesse elle, va bientôt se voir plus ... sans compter l'engourdissement de mon épaule droite ...

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BIENVENUE A LA MAISON tu connais la chanson du love

voui, j'connais, j'aime, j'vous aime, j't'aime (joséphine) La vie est un voyage qui se finit toujours un jour ... 2683729542

(joséphine) La vie est un voyage qui se finit toujours un jour ... 3558307287

(joséphine) La vie est un voyage qui se finit toujours un jour ... 1367095429

Invité

(joséphine) La vie est un voyage qui se finit toujours un jour ... 4286044189

Tu as trop un choix de fou ! Margot quoi !
Re-bienvenue chez toi. (joséphine) La vie est un voyage qui se finit toujours un jour ... 2287049494

Invité

rebienvenue ici mon chaton (joséphine) La vie est un voyage qui se finit toujours un jour ... 2287049494

bon courage pour cette fiche avec ce personnage (joséphine) La vie est un voyage qui se finit toujours un jour ... 2150148810

la jolie margot (joséphine) La vie est un voyage qui se finit toujours un jour ... 2150148810

rebienvenue I love you

Invité

Margot est tellement belle (joséphine) La vie est un voyage qui se finit toujours un jour ... 3259770864

Rebienvenue (joséphine) La vie est un voyage qui se finit toujours un jour ... 3079660713

Merci mes amours :) j'vous aime, et j'veux des liens avec touuuuuuuus d'entre vous! (joséphine) La vie est un voyage qui se finit toujours un jour ... 4286044189

hiii, re-bienvenue, avec margot en plus (joséphine) La vie est un voyage qui se finit toujours un jour ... 2150148810

bonne chance pour ta fiche ma belle I love you

Encore toi ?!
Re-bienvenue ma belle.

Invité

Margot est un superbe choix re-re-re bienvenue parmi nous donc bon courage pour ta fiche, comme dirais Margaux tu connais la chanson

Invité

ça, c'est du choix.
re. (joséphine) La vie est un voyage qui se finit toujours un jour ... 993098006

(joséphine) La vie est un voyage qui se finit toujours un jour ... 2814607392

hé oui, encore moi, j'devais attendre deux semaines, ce que j'étais prête à faire quand une certaine Admin d'amour m'a mp pour faire mon perso en avance (joséphine) La vie est un voyage qui se finit toujours un jour ... 2389628975

(joséphine) La vie est un voyage qui se finit toujours un jour ... 2389628975

(non j'te balance pas du tout @Anam Khiel c'est pas vrai) du coup bah me revoila héhé.
Je suis ravie que Margot vous plaise c'est vrai qu'elle est juste sublime! (joséphine) La vie est un voyage qui se finit toujours un jour ... 996788244

(joséphine) La vie est un voyage qui se finit toujours un jour ... 996788244

Sinon, j'ai fini ma fiche mes poulets (joséphine) La vie est un voyage qui se finit toujours un jour ... 1367095429

(et désolée la bio est un peu longue (joséphine) La vie est un voyage qui se finit toujours un jour ... 116022720

(joséphine) La vie est un voyage qui se finit toujours un jour ... 3034868720

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Invité

OMG l'histoire hyper triste de la belle. :(
Elle en a vécu des malheurs la choute ! La prison, puis Emilie...
Je suis désolée, je ne te mets pas le formulaire de validation (un peu compliqué de naviguer sur le fofo ici), mais le coeur y est. Tu connais la maison et j'ai hâte de voir ce que tu vas nous faire de ce personnage. Réserve-moi un lien. I love you

Et amuse-toi surtout !

» (joséphine) love me link me
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