N’oublie jamais qui est ton véritable ennemi - Bendo&Kayla

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N’oublie jamais qui est ton véritable ennemi

Bendo&Kayla

J'avais depuis quelques jours une mission. Nous avions entendu parler d'un jeune homme qui avait un dossier un béton et je me devais de le surveiller, d'en savoir un peu plus sur lui. Je traînais le soir dans le bar où on le voyait souvent et je n'avais jamais trouvé un prétexte pour lui parler. Ce soir, c'était le bon, j'étais pleine de ressource, je ne pouvais laisser passer l'opportunité. Je me devais d'être au top aux yeux de mes collègues, ils comptaient tous sur moi, je ne pouvais les décevoir. Je m'étais donc préparée en conséquence. Petite robe blanche et décolletée assez voyant, petites ballerines et cheveux détachés. Si il ne me remarquait pas, je ne comprendrais sûrement pas. J'étais accoudée depuis une petite heure au bar avec un verre de coca regardant à chaque personne rentrant dans le bar. Le temps était long, puis il arrivait enfin. Mon visage se détendait alors. Je devais paraître naturelle même si une femme dans ce genre d'endroit, seule, n'étais jamais anodin. Il ne me calculait pas une seconde, même pas un regard, même pas pour me snober, rien. C'était assez frustrant, je devais bien l'avouer. Mais il en était ainsi et je devrais faire preuve d'imagination pour l'approcher. En attendant, un homme vint m'aborder, il avait facilement quarante ans de plus que moi. « Hey ma Jolie, tu veux un peu de compagnie ? » Dit-il alors qu'il sentait le whisky à plein nez. « Non merci. Je n'ai pas besoin d'un alcoolique à mes côtés. » Dis je d'un ton froid afin qu'il comprenne que je n'étais pas intéressée, mais je savais qu'il n'allait pas se contenter de ces paroles. « Allez, ma Jolie, puis on fini la soirée ensemble ». En temps normal, je lui aurais foutu mon poing dans la figure et je serais partie, mais je me devais de rester calme et silencieuse. Je ne devais pas me faire remarquer par Bendo comme la violente du quartier. Je soufflais un bon coup avant de prendre mon insigne de police qui était bien cachée dans une pochette dans le sac que je portais. Il me regardait alors de haut en bas avant de me tourner le dos et partir à l'autre bout de la salle. J'étais alors enfin tranquille. Je vins à ranger et à cacher à nouveau cette insigne. Il fallait maintenant que je me lance et j'eus un coup de chance quand je vis que le jeune brun était de dos à deux chaises de moi. Je pris alors mon verre comme pour aller à une table et fis mine de trébucher. Je renversais mon verre sur le haut qu'il portait et je m'étalais en doucement sur le sol qui était froid. « Aïe » Dis-je en me frottant la hanche. Je me surprenais en tant qu'actrice, je pouvais me lancer dans le théâtre tout passerait inaperçu. Je me relevais péniblement, ou ce qu'il en paraissait avant de le regarder. Prendre un paquet de mouchoir dans mon sac pour essayer son haut. « excusez moi, je suis vraiment maladroite et confuse. Je pourrais vous le nettoyer si vous voulez. » Je faisais mine d'être affolée et vraiment désolée alors que ce n'était que jeu. J'espérais seulement que jamais il ne grille ma couverture. Si c'était le cas contraire, je ne saurais comment me dépatouiller de cette histoire. Mais j'allais prendre cette mission avec plaisir, parce qu'il fallait bien l'avouer, il était mignon.

Emi Burton

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ton arme bien en place dans ton jean, tu sors de chez toi et tu te diriges vers ce bar où tu traînes souvent. tu y vois pas mal de monde, mais tu ne parles qu'avec très peu. ce n'est pas réellement pour ça que tu y vas, c'est plutôt pour te sortir de ta solitude, pour passer du temps hors de chez toi et juste sortir. sortir et penser à rien. simplement et uniquement. tu t'avances, tu entres, et tu ne regardes personne, mise à part une table de libre, petite, où tu t'installes tout seul. tu passes cependant par le bar, et tu commandes une vodka, pour changer et tu t'installes ensuite. tu te perds dans ton téléphone, dans tes mails, tes messages avant de finalement être poussé mais surtout ... être trempé. tu sens un charmant liquide se rependre sur ton pull. à peine tu te redresses que tu l'aperçois la douce brune en robe si blanche. elle s'affole, elle s'excite d'ailleurs avant de sortir un mouchoir et commencer à tenter d'éponger ton pull. t'es énervé, mais pas trop, elle regrette, tu ne peux lui en vouloir indéfiniment n'es-ce pas ? d'autant qu'elle est mignonne la douce et qu'elle n'a certainement pas fait exprès. tu arrêtes son geste d'une main. c'est rien, c'est rien. tu t'écartes doucement d'elle, et retires ton pull, serein. tu te retrouves en t-shirt, rien d'extraordinaire. si vous ne l'aimiez pas, vous pouviez simplement me le dire, et je l'aurai retiré vous savez ? tu la cherches, tu la charmes, tu veux surtout la détendre avec un peu d'humour. histoire qu'elle se détende. pour la peine, je mérite de partager un verre vous non ? au moins un. tu tentes, le tout pour le tout. elle te doit bien ça n'est-ce pas ? alors tu tentes, tu n'as rien à perdre, tu accompagnes le tout d'un charmant sourire, qui pourrais résister ? elle peut-être bien.

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Bendo&Kayla

J'étais plutôt fière de moi mais je ne pouvais le montrer. Au lieu de cela, je faisais mine d'être vraiment désolée et puis alors que je me confondais en excuses et que je lui essuyais le pull comme je le pouvais, il s'écartait afin d'enlever celui ci. Laissant apparaître son tee shirt et fallait le dire un corps assez parfait. Je fermais les yeux afin de reprendre mes esprits, ici, ce n'était pas le sujet, il fallait que je parle et que je me rapproche de lui. Et alors que j'avais déjà mené une partie de ma mission, il se mit à faire des blagues. Je vins à rire alors. « Oui c'est vrai, ça aurait été plus simple » Dis-je en souriant à mon tour. « Non sérieusement, il vous va très bien ce pull, je suis vraiment navrée ». Il était vrai que celui ci lui allait vraiment bien, mais si seulement il était au courant de ce qui se tramait autour de lui. Il me détesterait sûrement. Il m'invitait ensuite à boire un verre avec lui, je ne pouvais maintenant plus reculer, j'étais prise à mon propre piège. Je devais accepter et je devais aller jusqu'au bout. « Avec plaisir, mais pour la peine, je vous l'offre, je vous dois bien ça. » Dis-je avant de m'installer près de lui en ayant fait signe au serveur. Il connaissait ma situation professionnel, j'espérais qu'il ne me fasse pas griller. « Maintenant, que je suis là, je pourrais peut-être savoir votre prénom ? » Demandais-je avec mon petit sourire charmeur. A la regarder avec précision, je devais bien avouer qu'il avait un grand charme, il ne devait pas laisser la gente féminine indifférente. Je ne savais quoi lui dire après cela, j'espérais au fond de moi qu'il serait le premier à briser la glace. Pour la première fois depuis longtemps, j'étais mal à l'aise.

Emi Burton

Dernière édition par Kayla Morgane le Jeu 17 Mar - 17:14, édité 1 fois

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elle réagit à l'humour, t'as même le droit à un fin sourire qui se trace le long de ses lèvres. elle te complimente, tu hoches la tête de haut en bas pour la remercier et tu lui souris à ton tour, un de ces sourires en coin, un de ces sourires charmeurs parce que tu restes un homme, tu restes bendo et tu restes séducteur malgré tout. elle n'a certainement pas fait exprès pour le verre. elle a juste eu de la chance que tu sois de bonne humeur. surtout ça. elle s'installe du coup, à ta table, appelle le serveur d'un signe et décide de t'offrir un verre. comment refuser ? on sera quitte comme ça. elle a son petit sourire et tu ne la quittes pas des yeux la brune. il te semble ne 'lavoir jamais vu, tu ne la connais pas cette charmante jeune femme. elle doit avoir ton âge, peut-être moins que toi. elle passe au présentation et comme tu n'as rien a caché tu lui réponds simplement. bendo, pour vous servir. que tu dis simplement avant de voir le serveur débarquer. il regarde la brune assez longuement, mais tu te doutes de rien. elle a son charme, elle est charismatique, c'est donc tout à fait normal que son regard soit plutôt attiré par la brune dont tu ne connais pas encore le petit nom. ça sera une autre vodka pour moi s'il vous plait. ces boissons de l'est, ces boissons courante là-bas. t'aimes bien ce petit goût simple et sucré à la fois. elle prend sa commande aussi et il déguerpit aussi vite qu'il est arrivé. et vous alors ? quel est votre prénom ? tu te demandais maintenant ce qu'elle faisait dans sa vie, qu'est-ce qu'elle faisait dans ce bar, seule. ce n'est pas le plus recommandé. vous êtes seule ? je veux dire, dans ce bar ? c'est rare, généralement, c'est entre amies non ?

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Bendo&Kayla

Il acceptait alors que je paie ma tournée. Il n'aurait pas eu le choix de toute façon, il fallait que je sois dans mon rôle et j'aurais tout fait pour être la fille sympa. La question ne se posait pas, il avait accepté, j'avais un tracas en moins à ce moment. Il se présentait alors, je lui fis un sourire charmeur. Mais avant que je ne puisse répondre, un autre tracas arrivait à grand pas, le serveur, il ne fallait pas qu'il grille ma couverture. Je venais souvent avec mes collègues et il nous connaissait plutôt bien. Je le regardais aussi intensément qu'il le faisait, il devait comprendre, il devait me laisser tranquille. Bendo pris une vodka et je fis de même. Il fit donc demi tour afin de nous préparer nos boissons, je pouvais respirer à nouveau. Je ne laissais rien paraître mais j'avais eu un semblant de sueur froide. Je revins vite au jeune homme face à moi, dans tout cela, je ne m'étais pas présentée et il me le fit savoir sympathiquement. « Oh excusez moi, enchantée de vous connaître Bendo, je m'appelle Kayla » . Je lui fis un grand sourire. Je le regardais longuement, cette mission serait sans doute l'une des plus dures. Il était charmant et charmeur. Il ne devait pas y avoir beaucoup de femmes à lui résister. Je pouvais tout à fait le comprendre, si je n'étais pas dans cette histoire, je viendrais sans doute à ne pas y résister non plus. Il fallait que je garde la tête froide et droite sur ce que je devais découvrir. Il pointait ensuite une chose juste, d'habitude, dans ce bar, nous ne pouvions être seule. Mais je ne pouvais que mettre le doigt sur le faite qu'il l'était également. « Je pourrais bien vous poser la même question » Dis-je en m’avançant sur la table et en lui adressant un sourire charmeur. « J'aime bien de temps en temps boire un verre seule après le travail ». Je m'arrêterais là en espérant qu'il ne me demande où je bossais. Il fallait que je trouve rapidement une réponse à donner si je ne voulais pas qu'il se doute de quelque chose. Le serveur nous apportait notre boisson, je le remerciais d'un signe de tête et il repartait aussi tôt. Je pouvais me reconcentrer sur l'homme qui me faisait face. « J'ai eu de la chance de tomber sur vous alors, deux personnes seules se retrouvent alors en bonne compagnie, nous ne pouvions demander mieux, non ? » Ce jeu entre nous deux s'était vite installer et j'étais rentrée dedans comme si tout était normal. J'avais hâte d'en savoir plus sur lui, que ce soit personnellement ou ce qui cachait derrière ce visage si angélique.

Emi Burton

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kayla qu'elle se prénomme, et la douce kayla ne perd pas de temps pour commander la même chose que toi. elle n'a donc peur de rien, intéressant, trop intéressant. tu ne dois pas t'intéresser à elle, tu ne la connais pas encore assez, pourtant, t'as trop envie de t'engouffrer dans cette brèche qui t'indique que la jeune femme n'attend que ça. qu'elle ne veut que ça. mauvaise intuition sûrement. ses cheveux tombant parfaitement en cascade le long de son visage, tu ne peux pas t'empêcher de la dévisager, d'observer chacun de ses traits. tu tentes une question, qui se retourne contre toi, c'est vrai que tu es seul toi aussi. tu hausses doucement les épaules, un sourire vient accommodé le tout alors qu'elle s'avancer vers toi. elle se cambre légèrement et tu fais de même, comme si vous alliez partager un sombre secret. elle finit tout de même pas partager se secret. c'est presque comme toi, sauf que généralement, c'est l'inverse. tu viens boire un verre avant de commencer le travail. si on peut appeler ça un travail, bien évidemment. le serveur vient t'interrompre, vous interrompre, alors que tu allais enchaîner sur une autre question. il pose vos verres, tu ne prends pas la peine de le remercier, la brune s'en charge très bien pour deux. en effet, nous ne pouvions avoir de meilleure compagnie. quoique toi peut-être bien, elle, c'était une autre histoire, tu n'étais pas forcément le gentleman parfait, ni même un partenaire idéal. tu était bien loin d'un entourage appréciable et respectueux. alors oui, elle aurait très bien pu rêver mieux, mais tu n'allais pas lui laisser le temps de s'en rendre compte. elle t'intéressait bien trop. alors, mis à part le fait que vous soyez maladroite, qu'est-ce que vous pouvez me raconter d'autre ? vous êtes de biarritz ? peut-être qu'elle était du coin, elle, peut-être qu'elle était de ceux qui ne vivent que pour leur ville natale, qui ne peuvent pas en découdre malgré tous leurs efforts. tu te demandais, si elle était de ces gens qui mettent en avant leurs origines, soit tout le contraire de toi. l'exact opposé.

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Bendo&Kayla

Alors que je m'étais avancée sur la table, il en avait fait de même. Je trouvais ça plutôt amusant. C'était un peu dangereux, je devais bien l'avouer. Alors que nous ne connaissions pas, enfin du moins, qu'il ne me connaissait pas, je me sentais à l'aise en sa compagnie. Je ne devrais pourtant pas. Je devais garder cette distance et garder à l'esprit que c'était un ennemi. Pourquoi m'avait-on confié une mission aussi difficile. Il aurait pu être moche, petit, avec pleins de boutons sur la tête avec une coupe playmobil que j'aurais préféré. Bendo était charmant et tendre, du moins avec moi. Je n'avais pas peur. Je n'avais pas ce ressenti que j'avais avec certains détraqués que j'arrêtais. Je n'avais pratiquement pas besoin de faire semblant. Je restais moi même face à lui tout en lui cachant ma situation. Il était en face de moi, si proche que je pourrais avec un peu d'attention, sentir son souffle. Le serveur était alors venu nous servir, je me reculais. C'était une bonne chose qu'il soit ainsi arrivé. Je l'avais remercié alors que Bendo vint à continuer notre conversation. Il acquiesçait le faite que l'on soit tout deux en bonne compagnie. « Alors si on abandonnait le vouvoiement ? » Ce tutoyer ca serait tellement plus chaleureux. Soudain, j'ai un un pincement au cœur. Oui parce qu'un jour, il saura, un jour il me détestera. Je devais vivre le moment présent avant que la désillusion vienne frapper. Simplement, parce qu'elle arrivera bien trop vite, j'en étais sur. Avant de lui parler, avant de le contempler, je ne pouvais savoir qu'il viendrait autant à m'intriguer, à prendre toute mon attention ainsi. Je devais une fois encore avouer qu'en d'autres circonstances, il aurait pu me plaire. Loin de ma ville natale, loin de mon ancien coéquipier, loin de ma famille, je pouvais vivre ma vie et profiter. Il aurait pu être cet homme avec qui j'aurais profité. Il vint une nouvelle fois à prendre la parole et il a attiré tout de suite mon attention une nouvelle fois. Sa première phrase me fit rire, j'avais tellement eu ce bon geste qu'il n'y en avait vu que du feu. Il m'était le doigt sur un sujet assez sensible. En effet, je n'étais pas d'ici, mais d'ailleurs. Cet ailleurs où j'avais laissé ma vie et sans doute mon âme sœur. C'était pour notre bien mais à chaque fois que l'on me parlait de mon ancienne vie, je ne pouvais m'empêcher d'y penser. J'étais partie comme une voleuse, recommencer à zéro. Je revins très vite à la raison, ce n'a du prendre que deux petites secondes, ce qui passait inaperçu. « Je suis une maladroite professionnelle » Dis -je au départ en riant. Puis je vins enchaîner. « Je ne suis pas de Biarritz, je suis de Nice pour tout te dire. Je ne suis venue qu'ici pour changer d'air, changer de vie. Et toi alors ? Tu as toujours vécu sur cette petite île ? » Demandais-je avec un petit sourire. « Si je devais deviner, je dirais que non. Peut-être que je me trompe » Dis-je en m’avançant une nouvelle fois vers lui. Je baissais d'un ton comme si je ne voulais que personne ne l'entende « Tu es bien trop chaleureux pour être né ici » Dis-je en lui faisant un sourire sincère mais charmeur.

Emi Burton

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Elle te propose finalement d'arrêter le vouvoiement et de passer au tutoiement puisque vous êtes en si bonne compagnie, tu hoches la tête en guide d'affirmation et tu l'observes pendant que tu lui demandes d'où elle vient. elle a une mini-absence que tu ne remarques presque pas. puis elle finit par te répondre. nice, une ville que tu ne connais absolument pas, tu ne sais pas comment sont les gens là-bas, comment c'est rien de tout ça. tu connais plutôt marseille, de part tes activités peur légales, mais pas plus non plus. tu hoches la tête à ses paroles jusqu'à ce qu'elle te demande d'où tu viens toi. est-ce que tu lui réponds ? elle tente de deviner pendant qu'un sourire en coin s'affiche sur tes lèvres. elle a tout juste et tu es presque à deux doigts de la féliciter mais tu te retiens alors qu'elle te pense chaleureux. tu n'es pas chaleureux, tu es manipulateur, tu es malin et tu toi. tu es bendo, tu n'es pas forcément appréciable, mais tu fais avec, tu vis avec, tu t'en sors dans tous les cas. tu trouves que les gens d'ici ne sont pas chaleureux ? attends de monter sur Paris ma belle, et tu verras ce que c'est que de ne pas être chaleureux. que tu commences à dire en rigolant à moitié. c'est vrai que les parisiens ne sont pas les gens les plus sympas, ça dépend des jours disons. dont oui, je viens de Paris, je suis né à la capital et je suis venu ici il y a deux ans, environ, histoire de prendre un peu de soleil, ce qui est rare là-haut. tu n'en dévoiles pas trop, pas tant que ça parce que tu ne veux pas non plus qu'elle s'inquiète ou qu'elle parte en courant. tu veux encore passer du temps avec la brune.

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