you and me we can ride on a star (louise)

Louise & Matt

Après être passé par la Grange Fleurie, c’est armé d’un bouquet de fleurs que le jeune Matt Whitford se présente devant la porte de l’appartement en centre-ville de la ravissante Louise. Il ne l’a pas prévenue, il a préféré lui faire une surprise. Il est plutôt nerveux. Ca ne lui ressemble pas, et il est habillé bien simplement pour tenir un bouquet de fleurs d’une telle ampleur. Il peut se cacher derrière tant ce dernier est gigantesque. Appuyant sur la sonnette, Matt attend patiemment que la jeune Archambault se dresse devant lui. Il cherche à la surprendre. Après avoir eu une discussion plus que bénéfique avec Jonny, Matt s’est décidé à prendre les devants. Il doit lui prouver qu’il vaut mieux que ce qu’elle a vu jusqu’à présent. Il ne peut pas s’empêcher d’angoisser, le grand blond. Parce qu’il est possible qu’elle ne soit pas chez elle et qu’il doive repartir avec l’immense marée de fleurs sous le bras. Et puis, ce n’est pas seulement ce qu’il a prévu. Il souhaite qu’elle passe un après-midi de rêve, comme elle l’aura décidé. Ils iront où elle le souhaitera et il finira par l’emmener manger à l’atelier, là où Numa travaille. C’est le restaurant rêvé pour passer une bonne soirée pour lui annoncer une autre surprise. Mais peut-être en fait-il trop, le rugbyman ? Les secondes lui paraissent interminables, angoissantes, déplaisantes. Il lui suffirait de voir son visage et son sourire pour que toutes ses craintes s’envolent.

Ce qu’il fait ici ? La réponse est toute simple dans sa tête. « Surprise ! » Lance-t-il arborant son plus beau sourire, se penchant légèrement pour qu’elle puisse voir son visage à travers ce bouquet bien trop massif. « How did you know it was me ? » Ce n’est pas comme s’il existait beaucoup d’hommes avec une telle carrure et une telle coiffure qui se dissimulaient derrière un bouquet, mais tous deux étaient plutôt doués pour les questions inutiles. « Actually, I thought it was for the cat ! » S’amuse-t-il à la taquiner. Il s’avance alors vers elle pour pouvoir rentrer dans l’appartement, et lui tend le bouquet alors qu’il se penche vers elle pour l’embrasser. Il ne lui a toujours pas donné la raison de sa venue, et refermant la porte, il avoue : « I thought we could hang out together this afternoon. But you choose where we go and what we do. At the end of the day, we’ll go to the restaurant. Sounds like a plan? » Il espère que ses idées ne sont pas déplacées, ni débiles. Ca se voit sur son visage qu’il est soucieux, mal à l’aise, mais il fait des efforts. Il cherche à lui plaire, et rien que cela devrait suffire à attendrir la jeune Archambault. D’ailleurs, ce n’est pas fini. « You look gorgeous in that dress. » En fait elle est belle tout le temps.

Toujours des plaisanteries entre eux. Ca rend leur relation bien moins étouffante, parce qu’ils manquent de sérieux la plupart du temps, ce qui ne signifie pas pour autant qu’ils la prennent à la légère, bien au contraire. « So you could have face a serial killer without knowing it. » Il lui fait un clin d’oeil. Lui, on pourrait le renommer Serial Kisser. Les fleurs lui plaisent, tant mieux, la fleuriste a eu bon goût. Il n’avait pas choisi tout seul, il aurait fait un faux pas ne connaissant pas la signification des fleurs. Louise s’exprime en français, et il a presque oublié ce que ça faisait car depuis qu’ils sont ensemble, elle s’est toujours exprimée en anglais. Ca sonne pourtant bien aux oreilles du rugbyman. Sa surprise a fait mouche. Il se promet de remercier Jonny alors qu’ils s’embrassent à nouveau dans l’appartement de la belle. « « Basically, you ask, you have ! » C’est le mot d’ordre de la journée. Ce qui risque d’être aussi amusant que plaisant, car elle pourrait bien le surprendre. « Don’t blush little one, you deserve it. » Lui répond-il alors qu’elle lui accorde un compliment, lui relevant le menton d’un doigt, pour contempler son visage. Lui, il est vêtu d’un simple jean et d’un polo, rien de bien extraordinaire. Alors qu’elle tente d’attraper un vase en hauteur, Matt s’approche d’elle, la saisit par les hanches et la soulève pour lui permettre d’atteindre le contenant. La reposant doucement au sol, il lui sourit, amusé, sans toutefois lui faire une réflexion sur sa taille. « So…What do you want to do ? » La journée sera parfaite, il en a le sentiment.

Il sourit. Elle sait le conforter quand il l faut. Elle sait que Matt ressent ce besoin d’être complimenté incessamment et elle ne se fait jamais prier pour le faire. Se mordillant la lèvre, il pose sur elle un regard presque timide pour lui demander innocemment : « And is he as good looking as he seemed ? » Il sait quelle sera la réponse. Et puis, ils aiment aussi se taquiner. Matt sait qu’il fait partie de la moyenne haute, qu’il fait partie des gens grands, il n’a jamais été en dessous des normales quand il était enfant, mais il ne se perçoit pas comme un géant car il côtoie des deuxièmes lignes qui eux sont terriblement grands, et encore ce ne sont pas des basketteurs, mais les basketteurs sont bien moins massifs que les deuxièmes lignes. Taquin, il s’approche de sa petite-amie et lui tourne autour, se rapprochant de son visage, et il souffle tout contre les lèvres de la demoiselle : « Yes you are, you’re my little one. » Pas besoin de surnoms débiles quand on possède celui-ci. Il n’a rien de commun, on le dirait plutôt à un enfant. Alors qu’il l’a soulevée à la manière d’une touche au rugby, il s’amuse de ses dires, parce qu’évidemment ça doit lui faire tout drôle d’être aussi grande tout à coup, comme perchée sur des échasses. Lui, a eu du mal à se mouvoir quand il a commencé à grandir à l’adolescence. Maladroit au possible, mais surtout, il s’est vu fondre physiquement, et ça, ça lui avait plu. « It did surprise me when I started growing up! » Le baiser qu’elle dépose sur sa joue, il le fait sourire mais également esquisser une grimace enfantine comme quand sa mère s’y met. « Anytime. » Dit-il en haussant les épaules. Les fleurs resplendissent dans le vase, et Louise fait état du programme. Elle dit avoir besoin de sortir ou tout ce qu’ils feront c’est partager son lit tout l’après-midi, lovés dans les draps. Matt ne dirait pas non bien qu’il ait aussi envie de passer du temps avec elle autrement qu’en la faisant monter au septième ciel. Mais il se plait à plaisanter quand même. « I wouldn’t mind though, but you decide! » La plage. Une balade en amoureux, une glace à partager, un paysage radieux, leurs fesses dans le sable humide, que demander de plus? La tranquillité peut-être ? Il espère que cette fois, les paparazzis ne s’en mêleront pas. « It sounds perfect. Let’s head to the beach! » La plage n’est qu’à dix minutes de chez elle à pied. Il lui prend la main, nouant ses doigts aux siens, s’empressant de sortir d’ici, pour vivre une sorte de premier rendez-vous de couple.  

Elle l’attendrit, elle le change. Louise, c’est l’ange tombé du ciel que Colleen Whitford n’attendait plus. Elle ne la connait pas encore, mais il n’y a qu’à poser le regard sur la petite community manager pour voir qu’elle est ce genre d’être qui change une vie. Avec elle, Matt se laisse porter, il ne se force à rien, les efforts viennent automatiquement. Et ce qu’il y a d’agréable, c’est qu’il peut continuer à la taquiner sans jamais paraitre lourd. Ils étaient bien trop complices avant que leur histoire ne débute pour que cela change. Elle est radieuse, et Matt remercie intérieurement son meilleur ami de l’avoir poussé à faire quelque chose qu’il n’aurait jamais fait d’ordinaire. Alors qu’elle plaisante elle-même sur sa taille, il s’en amuse, parce qu’au fond, elle lui plait comme elle est, elle n’a pas besoin d’être plus grande. « I can’t imagine you being any taller, it would be... weird! »C’est probablement ce qui la rend encore plus attachante. Comme si elle lui octroyait une récompense, la demoiselle se plait à jouer sur le comportement du rugbyman qui fronce le nez, comme si c’était dur de bien se comporter. « I’ll behave then, I wouldn’t miss that for anything. » Partager les draps avec elle c’était bien plus que ce que ça représentait avec une inconnue chaque soir. Tous ses sens étaient décuplés, toutes les sensations ravivées par le partage avec cette fille si particulière. Il fait si beau aujourd’hui que c’est un plaisir de sortir sous la lumière du soleil, nouant ses doigts à celle qui égaie ses journées même par temps de pluie. Ca a beau lui apparaitre presque inconcevable d’avoir une petite-amie, il n’échangerait pas sa place. S’il ne regrettait pas d’avoir été un homme à femmes pendant de longues années, il se félicitait de ne pas l’avoir laissée passer. L’imaginer aux bras d’un autre était inenvisageable pour lui. Il en deviendrait fou. Quand elle lève ses chaussures, il fait de même, délaçant ses chaussures en toile pour profiter de la chaleur et l’humidité du sable fin. La question de Louise le fait bien sourire. Il hausse les épaules et retire son t-shirt d’une traite. « Well, I guess it’s worth the try. I’m going to have a go and let you know! » Elle a bien dit les pieds, mais lui, a envie de tester la température de l’eau en intégralité. Il retire ensuite son pantalon et il court jusqu’à l’eau, plongeant tête première dans les vagues. Quand il ressort un peu plus loin, il laisse échapper un cri bien aigu. Il ressort immédiatement, et complètement trempé, il s’avance vers elle en souriant, secouant la tête pour retirer le surplus d’eau de ses cheveux. « It’s definitely cold! It will help for recovering! » Oui, mais il n’a pas pensé à prendre une serviette de bain, cet imbécile. « Brrrrr I should have thought before going, shouldn’t I? » Mais ça le fait rire quand même, bien qu’il continue de grelotter en se frictionnant énergiquement. « I hope I will dry quickly or we will have to buy a pair of boxers! »Quoique ça serait la bonne excuse pour lui acheter quelque chose.

« Yeah, preserve your tiny feet, princess! » Il ne se moquait même pas d’elle, il considérait juste qu’elle allait attraper froid comme lui, même si elle décidait de tremper un seul orteil. La jeune femme touche son bras, et il écarquille les yeux, prêt à faire une mauvaise plaisanterie. « Lou, you could touch me anywhere and you chose the arm ! We’re not friends anymore! » Il a l’air frigorifié et malgré le soleil, il a bien du mal à se réchauffer, ses lèvres toujours violacées. Il se met à bouger un peu faisant quelques pas, continuant de se frotter énergiquement mais il faudra bien plus que cela pour qu’il se réchauffe. Alors que Louise commence à se mettre à marcher, ce qui est une bonne idée s’il veut se réchauffer rapidement, elle admet que c’est une bonne chose qu’ils soient seuls. Mais bien vite, ses propos sont contrecarrés par l’apparition d’une vieille femme qui commence à le détailler sans ménagement. « Gross ! She could be my nan ! » Grimace-t-il, mais ça le fait rire, surtout que Louise ne se mette en tête de le dissimuler par son t-shirt, et il se passe une main dans les cheveux, intrigué. « Lou, what are you thinking you’re hiding with that ? I mean, my boxers are black ! » Mais il ne dit ça que pour l’embêter. Il sait que c’est pour éviter qu’on le reluque. La jeune femme est adorable, elle avait presque l’air d’une adolescente démarrant sa première relation, c’était touchant. S’il veut rentrer chez elle pour se sécher ? Non, pas la peine, ça mettrait à mal sa surprise. Ils ne rentreraient que lorsqu’ils auraient besoin de se changer pour aller au restaurant. Il secoua la tête. « Nah, I’m just going to need your help to get rid of my boxers and put my jeans on. » Ce qui signifiait qu’il allait devoir se coller contre elle et donc la mouiller, ce qui l’enchantait déjà. Le regard qui lui offre laisse présager le pire et elle n’a même pas besoin de le déceler qu’elle a déjà compris. Alors qu’elle a fait un pas en arrière, il lui bondit dessus et l’enlace de ses gros bras, collant son corps frais et humide contre celui de la petite Archambault. Ses bras entourent ses épaules, et approchant sa tête de l’oreille de la jeune femme, il lui dit : « Hide my bottom with my t-shirt, while I’m taking off my boxers and then I’ll put my jeans on. You think you can handle it ? Sorry to get naked so close to you. » La situation était caustique, mais au moins, une fois dans son jean, il pourrait continuer leur journée tranquillement. « I promise you we will buy some dry clothes straight after ! » Et il l’embrasse sur la joue.

« As you wish princess ! You decide, indeed ! » C’est sa journée. Ce n’est pas son anniversaire, mais la surprise était faite comme si c’était le cas. Il voulait lui montrer qu’il pouvait être celui dont elle rêvait. Il a beau être un coureur de jupons, le jeune Whitford veut se montrer sous un meilleur jour en sa présence, et si la situation actuelle est plutôt caustique par sa faute, ça ne rend pas la journée plus désagréable, du moins il l’espère. Si elle est embarrassée, il trouve cela attendrissant, voire touchant. Il se fiche bien qu’une vieille mégère le voit en boxer, ce n’est pas comme si elle pouvait voir à travers. Elle se défend comme elle peut la petite rousse, elle voulait simplement protéger ce qu’elle juge intime, et dans le fond, elle n’a pas tort, mais la pudeur n’est pas quelque chose de problématique chez l’anglais qui a bien trop l’habitude de se dévêtir devant un public bien plus dérangeant puisqu’il s’agit d’un grand nombre de rugbymen. « Don’t worry, I wasn’t totally naked there ! » Il rit, il n’avait d’ailleurs pas pensé à la possibilité de perdre son boxer dans les vagues en plongeant comme un dératé. Heureusement, aucun accident n’était à déplorer. « You’re frigging cute, Lou ! » Il lui avoue en passant sa main sur sa joue rosie par l’embarras. Elle s’étonne de la froideur de son corps et il se frotte encore plus à elle pour l’ennuyer, lui soufflant : « You wanted to know if the water was warm enough, now you know. » Si elle frissonne de froid, le corps de Matt lui est parcouru d’un frisson engendré par le contact avec la douce Archambault. Choc thermique entre les deux corps. Alors qu’il lui explique sa solution, elle cherche à lui poser des problèmes, effrontée au possible. Il tire une moue pour lui répondre et ajoute : « I won’t mind you know, but I don’t want you to turn crimson red ! » Il s’amuse une fois de plus en caressant du bout des doigts le nez retroussé de la jeune femme. Il éclate de rire alors qu’elle continue d’ironiser une fois tout contre lui alors qu’il se débarrasse de son boxer. « Yeah but we’re in a public place, so I doubt you would give in to my charms, so it may be hard for you to resist! » Il disait vraiment n’importe quoi, mais ça le faisait rire en tout cas. Remontant son pantalon, surpris par l’inconfort d’un jean sans boxer, il s’écarta légèrement de sa petite-amie après lui avoir embrassé la joue, et évidemment, il n’en fallait pas plus à Louise pour se venger. Elle le faisait sourire. Se pinçant les lèvres, il commença : « Well… I’m saving the rest for later ! » Il lui tire la langue, mais il finit quand même par la prendre dans ses bras et caressant sa joue, il finit par lui offrir un baiser langoureux, après tout, c’était ce qu’elle avait demandé, non ?

Louise est une femme charmante qui a de sérieux atouts. Et pourtant, il faut croire qu’elle ne le réalise pas. Elle ne se fait jamais mousser. Elle qui vient pourtant d’une famille richissime, elle a la tête sur les épaules, et c’est peut-être ça qui a attiré Matt en premier lieu. Elle ne se rend pas compte du diamant brut qu’elle est. Il sait que de nombreux hommes crèveraient d’envie d’être à sa place, et Matt se félicite d’avoir su conquérir son cœur, et c’est pour cela qu’il ne compte pas s’arrêter en si bon chemin. La rassurer ne lui pose pas de problème. Gisèle Bündchen en bikini aurait pu le reluquer qu’il n’en aurait eu que faire. « Personally, I don’t care who it was! »Parce que Louise lui suffisait amplement. Il avait fini par se dire qu’une femme exceptionnelle peut suffire à vous combler de bonheur. L’insécurité dont elle fait preuve le pousse à croire qu’il peut lui faire confiance, qu’elle n’ira jamais voir ailleurs, qu’elle n’a d’yeux que pour lui. Posant un regard droit sur elle, il fait glisser une mèche de ses longs cheveux roux derrière son oreille, lui assurant : « I’m not making fun, I’m serious! »Il voudrait faire plus, lui dire que plus rien ne compte à part elle, qu’il est prêt à s’engager sur le long terme. Parce que si tout va très vite entre eux, il a l’intime conviction que c’est du solide. La taquinerie de Louise montre qu’elle évolue dans un milieu d’hommes et qu’elle est capable de les comprendre. Matt se plait à lui infliger une moue boudeuse ne sachant quoi répondre. Elle ne l’a pas vexé, mais c’est ce qu’il veut lui faire croire. Et puis Louise fait de même, parce qu’ils se rendent coup pour coup, ce qui le pousse à faire un constat : « At the end of the day, we won’t bear each other ! » Il ne le pensait pas le moins du monde, parce qu’il avait changé depuis qu’il était avec elle. Tout le monde lui faisait la remarque et lui commençait à croire qu’il appréciait d’autant plus la vie depuis qu’elle y était rentrée. L’un comme l’autre, ils sont comme deux adolescents lors de leur première histoire d’amour. Les sentiments sont là, les preuves aussi. L’un contre l’autre, en pleine joute verbale, ils se plaisent à affirmer des choses sans se soucier de ce que ça signifie vraiment. Si bien que léger, Matt laisse entendre que la jeune femme ne peut plus se passer de lui. « You just love us making love, that’s it! »On dit souvent que pour le bien d’une relation, le couple doit avoir une vie sexuelle épanouie. Whitford ne ferait que confirmer. Les sentiments rendent l’acte encore plus appréciables et l’acte renforce ses sentiments envers elle. Son jean mis sur son corps nu, il récupère le t-shirt des mains de Louise avant de se rendre compte que ses sous-vêtements sont apparents. S’il n’est pas vraiment à l’aise dans le jean rêche à même la peau, il se soucie aussi de l’image de sa dulcinée et lui redonne alors le t-shirt. « Well it’s pretty uncomfortable so I really need to buy a pair of boxers and I’m sure you wouldn’t mind buying another dress cause we can see pretty everything now! For now, just put on my tshirt! » Qu’on le voie torse-nu est un moindre mal. Le baiser qu’il lui offre, il pourrait se poursuivre indéfiniment, ses lèvres ont le gout du bonheur. « I could do it all day! » Avoue-t-il en s’écartant d’elle, lui souriant sincèrement. Et puis, alors qu’il se saisit doucement de ses doigts qu’il noue aux siens, il se rend compte qu’elle doit avoir froid. Alors, ni une, ni deux, il la prend dans ses bras, la portant comme il porterait son petit-frère. « Let’s go little one! » Au moins, l’un comme l’autre cachent les malheurs de l’eau. Direction une boutique pour mieux s’équiper, bien sûr sur le compte de monsieur.