BENDO – you saved me.

« je connais cette hôpital comme si c'était chez moi. » Bien que tu avais toujours eu des doutes sur ses allées et venues dans ta chambre, de l'entendre te faisait tout drôle à l'intérieur. Jamais personne en dehors de ta famille et tes amis proches avaient fait autant de choses que lui avait pu faire pour toi depuis que tu avais croisée son chemin. Tu lui renvois un doux sourire, puis voilà que tu lui confies le fait que tu sortiras bientôt d'ici; tu viens de prendre cette résolution et tu comptes mettre tout les efforts possible pour y parvenir même si cela risque d'être ardu et complexe, tu sais que tu peux y parvenir. Tu poursuis dans ton monologue en lui demandant s'il n'a pas déjà pensé devenir coach de motivation, évidemment tu as mentionnée ça un peu à la blague; mais ce qu'il t'offre comme réponse te fait comprendre que c'est un homme droit avec des valeurs qui sont encrés profondément, t'as l'impression que rien ne semble l'atteindre, qu'il sait où il va sans se poser de question comme si c'était une évidence alors que toi, tu passes le clair de ton temps à te remettre constamment en question et douter. « je ne me suis jamais vu autre part que là où je suis.» Tu l'admires terriblement pour ça, mais tu t'abstiens de lui faire part. Puis, doucement tu t'es calée contre lui en lui faisant part que tu aimerais qu'il puisse rester pour cette nuit, bon évidemment tu ne l'as pas dit clairement; mais ça voulait dire ça. Puis doucement, dans un élan d'impulsivité de manière douce tu es venue déposer tes lèvres sur les siennes. Pour finir par te détacher et lui dire qu'il devrait peut-être partir.« non. » Sa réponse résonne dans la pièce, dans ta tête aussi; doucement il descend un peu dans le lit et voilà que sa main vient se perdre contre ta joue et qu'il tourne délicatement ta tête vers lui, l'obligeant à le regarder; son regard est terriblement intense. « je reste ici. »

Tu gardes ton regard encré dans le sien, t'as du mal à déglutir; alors qu'il s'approche de toi pour venir t'embrasser. Cette fois-ci, plus passionné et assumé que le premier qu'il a pu t'offrir, t'as comme une explosion en toi et tu l'accompagnes accompagnant tes propres émotions au sien. Finalement, vous vous détachez l'un de l'autre pour reprendre votre respiration; tu as l'impression que ton coeur pourrait te sortir du corps, mais c'est tellement bon. Vos lèvres sont à quelques centimètres et tu peux sentir son souffle se mélanger au tien. « à moins que tu ne veuilles que je parte. » Tu t'humectes délicatement les lèvres et tu observes chacun de ces traits te créant une image dans ta tête, puis tu lui réponds doucement; « J'peux pas te laisser partir... Pas après ce que baiser que tu viens de m'offrir, c'est comme si... comme si tu m'embrassais pour la dernière fois de ta vie...; bon sang, je serais trop stupide de te laisser filer.» Un doux sourire prend naissance au coin de tes lèvres laissant apparaître tes dents blanches, puis tu te mords doucement la lèvre, tu as l'impression de retomber en adolescence alors que tu viens de recevoir ton premier baiser. T'essaies de te contenir pour ne pas que tes joues se mettent à rosir comme une pauvre idiote. Doucement, tu viens lui caresser la joue du bout des doigts sans rien dire; tu ne sais pas trop quoi dire en fait, c'est l'inconnu qui te submerge et ça t'effraies un peu, autant que ça peut t'intriguer. Tu te demandes si parfois le destin n'y serait pas pour quelque chose dans cette histoire, en tout cas; tu te dis que la vie avait bien jouée ses cartes. « T'as déjà pensé quitter Barritz?.. J'veux dire, t'es déjà partie en voyage?» Tu demandes ça par curiosité, et aussi pour faire la conversation; parfois tu te dis que tu parles beaucoup trop, que c'est toi qui pose toujours les questions entre vous deux, tu sais que Bendo est un homme de peu de mots et tu ne veux pas l'obliger à s'ouvrir à toi non plus. Tu prends les choses comme elles viennent sans rien brusquer.

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Et si elle te demandait de partir, qu'est-ce que tu feras au juste ? tu sais très bien ce que tu feras; tu te lèveras de ce lit, tu passeras le seuil de la porte et tu partiras. non, tu ne pourras jamais te permettre de rester si elle te demande de partir, tu ne pourras jamais lui imposer ta présence contre sa volonté. pourquoi ça ? parce que tu ne peux pas t'attacher à elle, parce qu'elle ne peut pas s'attacher à toi. c'est aussi simple que ça. rester contre sa volonté, ça serait lui prouver que tu as besoin d'elle, ça serait te rendre compte que tu tiens trop à elle et tu ne pourras jamais faire une telle chose. non, ce n'est pas toi, ce n'est définitivement pas toi. pourtant, tu poses tes lèvres sur les siennes, pour la deuxième fois, pourtant tu t'approches d'elle, tu ne fais pas attention, tu te laisses aller à tes sentiments, à ce qui fait accélérer les battements de ton coeur. « J'peux pas te laisser partir... Pas après ce que baiser que tu viens de m'offrir, c'est comme si... comme si tu m'embrassais pour la dernière fois de ta vie...; bon sang, je serais trop stupide de te laisser filer.» qu'elle t'avoue. tu as envie de fermer les yeux, tu as envie de te repasser en boucle ses paroles, tu as juste envie de profiter sans te poser de questions sauf que tu ne peux pas faire ça n'est-ce pas ? seulement ses doigts viennent frôler ta joue, laissant de légers picotements. son sourire te happe et tu te perds une nouvelle fois dans sa contemplation. « T'as déjà pensé quitter Barritz?.. J'veux dire, t'es déjà partie en voyage?» ça sort comme si de rien n'était, comme si .. comme si le sujet était lancé depuis le début. tu ne réfléchis pas longtemps à cette question. « j'ai pas mal voyagé déjà. je viens de Paris, je suis né là-bas et je suis sur Biarritz depuis peu. plus de deux ans. » que tu lui réponds, le plus sincèrement possible. voyager est un grand mot, tu ne voyages jamais en tant que touriste, non, tu ne prends pas ton appareil photo, tu ne vas pas visiter les monuments, la ville. rien de tout ça, toi, tu y vas pour des cargaisons, pour des commandes, pour des choses illégales. toujours. « jamais en tant que touriste. » tu ne sais pas pourquoi, mais tu ressens le besoin de lui avouer, comme si tu avais besoin qu'elle le sache, qu'elle se souvienne que tu n'es pas un type bien. ce n'est pas faute de moyen que tu ne pars pas en voyage, c'est faute de temps. « tu en as envie ? de voyager ? » tu lui retournes la question, tu devrais plutôt l'inciter à se reposer, c'est le milieu de la nuit, et pourtant, tu lui retournes la question, comme si tu avais besoin de savoir ce qu'il se passe dans ses pensées.

Vous êtes là, tous les deux dans ce petit lit beaucoup trop petit pour deux, mais vous vous en foutez. Naturellement comme si ça coulait de source, tu lui demandes s'il a déjà quitté Barritz, s'il a déjà voyagé. La jeune femme a quittée son pays d'origine très jeune, elle n'a jamais eu la chance d'y retourner à cause du concours de circonstances, mais c'était dans ses plans de le faire. « j'ai pas mal voyagé déjà. je viens de Paris, je suis né là-bas et je suis sur Biarritz depuis peu. plus de deux ans. » Tu l'écoutes, puis tu apprends qu'il est originaire de Paris; un parisien alors, tu réalises que tu viens d'apprendre quelque chose sur lui. Un infime détail dirait-on, mais quand même. Puis voilà qu'après quelques secondes de silences; il rajoute; « jamais en tant que touriste. » Tu comprends alors qu'il voyageait pour des raisons d'actions illégales, mais tu n'ajoutes pas de commentaire là-dessus n'y voyant pas l'intérêt de le faire d'ailleurs. Puis doucement, il te retourne la question et tu affiches un doux sourire laissant ton esprit vagabondé un peu. « J'aimerais beaucoup oui, c'était dans mes projets de retourner voir mes racines, ma famille.» Tu te mords doucement la lèvre et tu continues en disant; « L'un de mes objectifs c'était d'intégrer les grands ballets et voyager un peu partout dans le monde, tu vois..» Tu ressens cette grosse boule se former dans ta gorge, tu déglutis et poursuis; « J'avais reçu une lettre me disant que j'avais été accepté.» Ton regard s'embrouille un peu, puis elle passe rapidement sa main sur son visage pour essuyer les larmes qui allaient bientôt couler et elle renifle doucement, malgré la peine qu'elle pouvait ressentir, elle gardait toutefois le sourire. Tu avais prise des décisions, tu avait choisi de veiller sur ton petit frère et de faire passer sa famille avant ta passion, ta propre vie; étrangement, tu ne regrettais aucunement les actions que tu avais posée, malgré le fait que ça avait pu l'entraîner dans cette fâcheuse situation. « Fais-moi rêver un peu, comment c'est Paris»Tu connaissais Paris par l'entremise de site internet, de magasine, de références, mais tu n'y avait jamais mis les pieds. Toujours tes yeux rivés dans les siens, tu attendais patiemment qu'il te fasse rêver un peu; il était clair qu'après ta sortie de cette hôpital après que tu sois en meilleur forme, tu allais boucler tes valises et partir dieu sait où pour voir d'autres pays, d'autres cultures, autre chose que ce que Barritz pouvait t'offrir jusqu'à maintenant.

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voyager, non ça n'a jamais été dans tes plans, pas pour une question te tourisme en tout cas. tu ne t'es jamais dit que tu allais allée prendre l'air, prendre une bol d'oxygène, non jamais. partir pour voyager, découvrir le monde ou encore pour visiter des monuments, non, tu n'as jamais pensé de cette manière, tu as toujours eu d'autres priorités, comme si c'était ton destin de faire autrement. voyager n'a donc jamais fait parti de tes plans. « L'un de mes objectifs c'était d'intégrer les grands ballets et voyager un peu partout dans le monde, tu vois.. J'avais reçu une lettre me disant que j'avais été accepté.» tu la regardes, tu sens son désespoir, sa tristesse et tu viens doucement passer tes mains par dessus son petit corps si frêle. tu viens la prendre doucement dans tes bras comme pour la réconforter. comment est-ce qu'elle fait pour t'accepter ? pourquoi est-ce qu'elle ne te repousse pas ? après tout ça arrive bel et bien par ta faute, entièrement et uniquement ta faute, ne s'en rend-t-elle pas compte que tu es l'unique responsable de cette histoire ? elle ne pourra pas faire ce qu'elle veut par ta faute et pourtant tu es là, dans son lit d'hôpital à la tenir contre toi. « Fais-moi rêver un peu, comment c'est Paris» qu'elle te demande finalement et tu viens fermer tes yeux docilement, tu n'es pas du genre à parler, à raconter mais tu lui dois bien ça non ? « je connais Paris comme ma poche mais je ne connais pas forcément les bons coins, tu t'en doutes. je suis pourtant né dans les beaux quartiers, ceux qui puent l'argent mais je n'y suis jamais vraiment resté. » que tu commences comme si tu avais besoin de situer les choses. tu n'aimais pas ça, là où tu vivais, comme ta famille, ta mère cet être détestable, elle pourrait mourir devant tes yeux que tu ne ferais rien. « Paris, c'est grand, c'est tout. tu peux tout croiser à Paris, tu peux tout y voir à Paris. Là-bas, tout est possible. il n'y a pas de limite. » que tu lui susurres doucement. c'est vrai, tu lui dis ce qui est vrai, tu n'es pas du genre à mentir. « mais Paris, ça peut aussi être rien. que des apparences. je ne sais pas si j'arriverai à te faire rêver Alma .. sûrement pas plus que l'excursion à la plage. » non pour toi, c'était ça le rêve et c'est ta manière de le signifier, de lui avouer.

« je connais Paris comme ma poche mais je ne connais pas forcément les bons coins, tu t'en doutes. je suis pourtant né dans les beaux quartiers, ceux qui puent l'argent mais je n'y suis jamais vraiment resté. » Attentivement, tu gardes tout ton attention sur lui. T'apprends à le connaître entre les lignes, tranquillement tu enregistres ces informations dans ton cerveau te sentant privilégier de partager ce moment pourtant banal dans la pénombre de ta chambre d'hôpital. T'as du mal à l'imaginer vivre dans les beaux quartiers, Bendo c'est un voyou; cet environnement ne semblait pas lui coller à la peau, d'ailleurs il n'y est pas resté d'après ce qu'il te confit. Tu acquiesces doucement alors qu'il reprend; « Paris, c'est grand, c'est tout. tu peux tout croiser à Paris, tu peux tout y voir à Paris. Là-bas, tout est possible. il n'y a pas de limite. » Tes yeux s'illuminent légèrement et un frisson te parcourt le corps lorsqu'il te susurre ses mots, ton petit coeur fait un bon rapide dans ta poitrine et il expose aussi l'autre côté de la médaille avec honnêteté; « mais Paris, ça peut aussi être rien. que des apparences. je ne sais pas si j'arriverai à te faire rêver Alma .. sûrement pas plus que l'excursion à la plage. » Doucement, tu le contemples de manière silencieuse et à nouveau du lui caresse la joue doucement en disant doucement; « J'ai pas besoin que tu me fasses rêver grand, tu sais.. D'ailleurs, je te demande rien du tout; tu ne me dois rien, même si tu crois le contraire.» Tes yeux se ferment doucement alors que tu inspires pour remplir d'air tes poumons, puis tu les ouvres à nouveau croisant ainsi ces prunelles foncées. « Pour moi, notre excursion à la plage c'est plus magique qu'une balade en pleine rue de Paris.» C'est vrai, c'était ça pour toi aussi; tu n'étais pas une femme qui avait besoin d'artifices malgré ce qu'on aurait pu penser, malgré le fait que ton plus grand rêve était de briller sous les projecteurs d'une grande salle pleine de gens, au final les choses; les plus importantes pour toi demeuraient les moments de simplicités et votre moment à la plage comptait maintenant parmi ceux là. T'es honnête avec lui, comme il l'est avec toi depuis le début. Honnêtement, tu ne savais pas trop où ça allait te mener tout ça; Bendo et toi, mais à ce moment précis ce n'est pas important. Tu n'y penses pas réellement, tu préfères profiter de ce lien que vous avez, sachant qu'il peut être extrêmement fragile. De toute façon, tu a appris à laisser aller les choses maintenant, auparavant tout devait être planifié et tu devais avoir le plein contrôle, mais maintenant avec ton agression, tu as prise conscience qu'au final on ne contrôle pas grand chose. La vie est composée de choix et d'actions et parfois aussi de hasard. Inconsciemment tu t'es emparée d'une de ces mains et tu joues doucement avec ces doigts. Sa présence et son contact t'apaises terriblement, ça semble bénéfique pour toi alors qu'il mentionne le contraire.

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« J'ai pas besoin que tu me fasses rêver grand, tu sais.. D'ailleurs, je te demande rien du tout; tu ne me dois rien, même si tu crois le contraire. Pour moi, notre excursion à la plage c'est plus magique qu'une balade en pleine rue de Paris.» bien sûr que tu penses le contraire, c'est obligatoire, elle est dans cet état par ta faute, cette balle était pour toi, pas pour elle. elle l'a prise et tu es responsable. il n'y a rien d'autre à dire, sauf que tu ne vas pas venir le lui dire, lui signifier non. tu ne vas pas revenir à la charge, tu sais ce que tu penses, tus ais que tu as raison, qu'elle a tort et c'est ainsi que ça se passe. elle doit être fatiguée, tu n'as pas envie de lui tenir tête alors pour une fois, tu ne dis rien non, tu restes calme simplement. elle prend une de tes mains d'ailleurs, et commence à jouer avec tes doigts. tu souris, sans t'en rendre compte, mais quand tu le fais, tu te reprends bien vite. « on y retournera, à la plage. » tu lui assures, en quelques sortes, tu lui avoues, pour qu'elle le sache, que tu l'amèneras de nouveau sur la plage, tu feras en sorte de t'organiser. même si le soir, normalement, tu as des obligations envers le gang, tu sais que tu pourras prendre du temps pour alma, quoiqu'il arrive. « maintenant, tu devrais te reposer alma, endors toi, sinon, tu vas dormir toute la journée de demain et louper tes visites. » en réalité, tu t'en fiches, tu es égoïste, si elle reste réveillée avec toi et qu'elle dort pour les autres demain, tu t'en fiches, c'est leurs problèmes, mais d'un autre côté, elle a besoin de se reposer, la nuit, les infirmières se poseront des questions. d'autant que la journée, elle doit faire sa rééducation et il faut donc qu'elle soit en forme. donc non, tu ne l'empêcheras pas de dormir, tu vas même l'en contraindre.

T'affiches un doux sourire, lorsqu'il t'annonce que vous retournerez à la plage. Au fond de toi, tu associes cet endroit comme votre repère à vous deux, votre endroit où vous pouvez être ensemble et que rien ne semble vous atteindre. Puis, il reprend la parole en disant que tu devrais dormir pour te reposer un peu. C'est vrai que la nuit avance et demain, tu as forcément de la rééducation à faire; du coup tu ne peux pas te permettre de ne pas être en forme, surtout que tu es décidée à tout faire pour sortir d'entre ces quatre murs le plus rapidement possible. Du coup, tu acquiesces doucement à ces dires; puis t'as cette peur qui s'empare de toi, malgré le fait de t'avoir mentionné qu'il ne partirait pas, qu'il resterait auprès toi; t'as cette petite peur qu'en ouvrant les yeux à ton réveil dans quelques heures, qu'il se soit volatilisé. Cependant, tu gardes cette crainte pour toi; tu n'as pas envie de passer pour une fille qui demande pleins de caprices. Tu te contentes de te caler doucement contre lui, puis tu lui glisses un baiser sur la joue et tu fermes les yeux doucement. Ta respiration est calme et régulière alors que tu sens sa présence auprès de toi et ses bras autour de toi. Tu as l'impression d'être entièrement rechargée et prête à affronter les prochaines épreuves en lien avec ta rééducation. Tu te sens comme une guerrière avec toutes les armes pour toi, dans le but de redevenir celle que tu étais auparavant, évidemment tu te doutes que tu ne seras pas entièrement comme avant, l'agression t'a changée quand même un peu, mais au final tu demeures toujours Alma. Tranquillement, tu es transportée dans des rêves et tu ne ressens aucune angoisses, tu es juste bien et ça ne t'ai pas arrivé depuis longtemps; en réalité tu arrivais à mieux dormir depuis quelque temps et ça c'était dû à sa présence interdite dans ta chambre, mais là de le sentir là; avec toi, c'est encore mieux.

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